Et si les AWACS chinois de demain prendront forme d'un drone doté de radars conformes ? En tout cas c'est dans ce sens que le groupe électronicien chinois CETC est en train de travailler, avec le premier vol réussi de son "drone à capteurs" Tian Shao.
Ben "avant", un radar c'était de l’électronique et une antenne. Antenne qui, dans le cas des radars embarqué sur aéronefs avait plus ou moins la forme d'une poêle à frire, donc le coté conforme c'était pas trop ça ! C'est la forme de l'avion qui devait s'adapter à l'antenne et non l'inverse.
"Maintenant", avec les radar à balayage électroniques à antenne active (AESA), les antennes sont en fait constituées de multiples "modules" d’émission/réception que l'on assemble. En jouant sur l'assemblage de ces modules on peut faire prendre la forme que l'on souhaite à l'antenne, et intégrer des radars dans les bords d'attaques par exemple.
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Sans parler du fait que les bord d'attaque présente une plus grande surface, donc meilleurs performances possible, et, surtout, possible de faire des fréquences plus basses avec des performances équivalente ... ce qui devient trèèès intéressant.
Reste le soucis de la puissance nécessaire pour émettre, sur un petit drone, on a pas accès à une énergie infinie.