Un avion chypriote s'écrase en Grèce avec 121 personnes à bord

[Snake (PB0_Foxy)]

en tout cas je n'etais pas au courant que l'histoire du SMS etait un canular !
y'a vraiment des idiots !!!!

a voir ici

SV snake

[babar]

Un avion s'est écrasé aujourd'hui au Vénézuéla, c'est abominable y'a que des crashs en ce moment ...

[Warlordimi]

en tout cas je n'etais pas au courant que l'histoire du SMS etait un canular !
y'a vraiment des idiots !!!!

a voir ici

SV snake

Putain, ya de ses cons, parfois!

[II/JG69_Manfred]

Moi je m'en souviens, si je ne me trompe pas c'etait un avion genre Learjet avec une start du foot a bord (foot ou autre sport... j'sais plus !)

A ce sujet..., une des dernières dépéches de l'AP

"Crash du Boeing chypriote: la piste de l'accident du Learjet

WASHINGTON (AP) - Le crash en 1999 d'un Learjet américain, qui avait survolé une partie des Etats-Unis en pilotage automatique avant de heurter le sol, pourrait aider les enquêteurs à comprendre les raisons de l'accident du Boeing chypriote qui s'est écrasé dimanche près d'Athènes, faisant 121 morts.

Selon le bureau américain de la sécurité des transports (NTSB), qui avait enquêté sur le crash du Learjet, les membres d'équipage avaient perdu le contrôle de l'appareil parce qu'ils n'avaient plus d'oxygène en raison d'une dépressurisation brutale en cabine. Le golfeur Payne Stewart avait notamment été tué dans cet accident.

Jim Hall, qui était président du NTSB à l'époque ds faits, associe le crash du Learjet 35 avec celui du Boeing 737-300 d'Helios Airways, qui a provoqué la mort des 115 passagers et six membres d'équipage. "C'est très semblable", a-t-il affirmé.

Selon les premiers éléments de l'enquête, le Boeing a subi une soudaine dépressurisation à très haute altitude. Les températures et les niveaux d'oxygène auraient dégringolé et laissé tout le monde à bord inconscient et gelé alors que, longtemps avant de s'écraser, l'avion volait en pilotage automatique.

D'après Jim Hall, les enquêteurs vont s'employer à déterminer si les pilotes ont mis leur masque à oxygène suffisamment rapidement et si l'oxygène a manqué dans le cockpit. "L'accident n'aurait pas dû se produire", a-t-il soutenu. "Il est probablement lié à un problème de formation ou d'équipement."

Robert Benzon, du NTSB, qui a mené l'enquête sur le crash du Learjet, dirige l'équipe de trois autres enquêteurs du bureau, arrivés lundi à Athènes pour aider à trouver ce qui a causé l'accident d'Helios Airways, la pire catastrophe aérienne de l'histoire grecque.

S'il y a eu une soudaine baisse de pression en cabine, les experts aéronautiques ne comprennent pas pourquoi les pilotes et le personnel de bord n'ont pas réagi comme leur formation le prévoit. "C'est bizarre", a observé Terry McVenes, responsable de la sécurité aérienne pour l'Air Line Pilots Association. "C'est très rare d'avoir un problème de dépressurisation et, en général, les équipages sont très bien entraînés pour gérer cela."

Quand le Boeing a survolé l'espace aérien grec, les contrôleurs aériens grecs n'ont pas pu joindre les pilotes par radio. Des avions de chasse ont alors intercepté l'appareil, qui volait à une altitude de 10.300 mètres.

Les pilotes de chasse ont vu que le commandant de bord ne se trouvait pas dans le cockpit, que le co-pilote était effondré sur son siège et que les masques à oxygène pendaient dans le cockpit, inutilisés. Ils auraient également vu deux personnes qui semblaient essayer de prendre le contrôle de l'avion.

C'est cette succession d'événements qui intriguent les experts aéronautiques. Des instruments de bord doivent se mettre en marche pour avertir l'équipage si un avion connaît une brusque dépressurisation. Les pilotes sont entraînés à mettre immédiatement leurs masques à oxygène et à plonger à 3.700 mètres, où il y a suffisamment d'oxygène pour que les passagers puissent respirer.

Paul Czysz, professeur en ingénierie aérospatiale à l'université américaine de Saint-Louis, doute de l'hypothèse de la dépressurisation parce que des personnes essayaient apparemment de piloter l'avion et que le co-pilote était effondré sur son siège. "Il n'aurait pas pu perdre connaissance pour une petite décompression à 10.000 mètres", a-t-il souligné. "Il y a quelque chose qui cloche."

Le pilote et le co-pilote auraient dû avoir beaucoup plus d'oxygène que les passagers, qui pouvaient en bénéficier pendant environ 15 minutes, a-t-il ajouté.

De plus, un médecin de l'Institut médico-légal d'Athènes a déclaré mardi que les autopsies pratiquées sur vingt corps des victimes de l'avion chypriote, dont un steward, avaient montré qu'elles étaient vivantes au moment du crash.

Enfin, les pilotes de chasse qui ont vu l'appareil en vol n'ont pas vu de hublots percés, ni de trous dans le fuselage, qui sont les causes les plus probables d'une perte de pression catastrophique, a poursuivi Bill Waldock, spécialiste en sécurité aérienne à l'Université d'Arizona. Bref, le mystère reste entier. AP"

[benzene31]

Putain, ya de ses cons, parfois!

Certes , il n'empeche que pour un canular arrivant aussi tôt apres l'evenement il est assez proche de la realité ,ce qui est quand même troublant

[Snake (PB0_Foxy)]

merci pour la depeche Manfred !
je ne comprends toujours pas ce qui a pu arriver moi non plus !

j'ai eu une fois le cas d'un avion qui a eu une depression en vol et il est rentré sans probleme , les passagers avec leurs masques sur le nez !

franchement je ne vois pas ... , une depressurisation violente , aurai fait reagir l'equipage d'une maniere violente !
peut etre qu'il n'ont pas vu le truc venir et que la depressurisation s'est faite lentement

en esperant que l'enquete apporte des reponses a tout ca

SV snake