(Déja que les glass cockpits c'est pour les tapettes...

Aru
euh t'as pas inversé ? un avion russe simple et ergonomiqueTooCool_12f a écrit : c'est comme pour les avions de chasse... tu prends un F-16, t'as des check-lists en veux-tu en voilà... la procédure de mise en marche est longue comme mon bras...
puis tu prends un Su-27, la procédure de mise en marche consiste à appuyer sur le bouton "START", tout simplement.
Concevoir un produit en fonction de son utilisation par un utilisateur lambda!!o_Oo_O ca va pas non !!gillouf1 a écrit :...Il faudrait également que les ingénieurs réalisent que les systèmes qu'ils conçoivent ne sont pas destinés à être utilisés par d'autres ingénieurs ou des pilotes d'essai ayant participé à la "philosophie" de conception de ces systèmes.
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non, non.. et je l'ai appris en lisant un article écrit par un pil d'essai US qui a fait un tour en russie et a pu voler sur le Sue... et ça l'a scié, la simplicité de la mise en route: un bouton et basta.firag a écrit :euh t'as pas inversé ? un avion russe simple et ergonomique
déjà, sur le rafale, rien ne dit que cet interrupteur n'est pas planqué dans un arrière-sous-menu du quatrième MFD en bas à droite du genou du pilote...gillouf1 a écrit :Cela dit, sur le Rafale j'ai un doute quant à la présence d'un interrupteur "réchauffage sondes"...(quand on regarde des photos de la cabine, ya pas des masses d'interrupteurs tout court d'ailleurs), mais je peu très bien me tromper...
Sur les chasseurs "d'ancienne génération", l'interrupteur "réchauffage sondes" doit toujours être en position "marche" avant le décollage et durant tout le vol (sinon voyant allumé au tableau d'alarmes). C'est vrais que je ne comprend pas pourquoi un système aussi crucial n'est pas couplé à une alarme ou un voyant signalant son état...il y a certainement un problème d'ergonomie, de conception de la part du constructeur. Il faudrait également que les ingénieurs réalisent que les systèmes qu'ils conçoivent ne sont pas destinés à être utilisés par d'autres ingénieurs ou des pilotes d'essai ayant participé à la "philosophie" de conception de ces systèmes.
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Je sais...un interrupteur aurai été trop simple (d'autant que l'on peut en permanence contrôler sa position ). C'est pour cela que je trouve qu'il y a là un problème d'ergonomie, voir d'adaptation du matériel par rapport à ces futurs utilisateurs.KoV a écrit :@gillouf1 : Ce n'est pas un interrupteur mais un case à cocher informatique.
Sauf que ces sondes, que l'on doit apparemment commencer à réchauffer sur Mirage 2000 à partir du moment où on décolle (d'après quelqu'un qui apparemment sait), ne supporteraient peut-être pas d'être soumis à cette température (sans être "refroidies" par le vent relatif) pendant les quelques dizaines de minutes que peuvent parfois prendre la configuration du système après la mise sous tension (bien au chaud dans la hangarette)...Arekushi a écrit :Le réchauffage des sondes est un bon exemple, pourquoi mettre un bouton alors qu'il doit de toutes façons toujours être allumé ? Bah au cas où on peut l'éteindre, en sachant ce qu'on fait ça peut permettre de grapiller un peu de voltage par exemple.
A priori, la position off pour le dégivrage et le rechauffage est un vrai off. Lorsqu'on met en route au sol, il vaut mieux que tout ça ne soit pas réchauffé car en l'absence de vent relatif, ça risque de cramer. C'est pareil pour les vitres désembuées par des resistances, au sol ça crame la vitre (on a oublié de mettre sur off pendant un point fixe, une fois quand j'étais bien plus jeune...JulietBravo a écrit :N'est-ce pas la même chose sur les liners ? L'interrupteur "de-ice" existe aussi, il me semble. Ce que je ne sais pas, c'est si c'est du tout ou rien ou pas : hors basculement de l'interrupteur, est-ce que les sondes sont quand même réchauffées, mais pas assez pour éliminer du givre, d'où le niveau de chauffage supplémentaire accessible par l'interrupteur ?
De même pour les bords d'attaque, qu'ils soient dégivrés par chauffage ou à l'aide de dispositif pneumatiques.
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ca pique les frais de mise en oeuvre d'un drone !La mise en oeuvre des drones posent des problèmes complexes en matière de personnels et de liaison sattelitaires. L'US Air Force estime que la permanence 24 h sur 24 d'un Reaper nécessite l'emploi de 174 personnes au total... Le cout humain de ce système sans pilote s'avère donc très élevé en termes de remunérations et charges sociales. Même chose pour les liaisons satellitaires indispensables à leur pilotage et la transmission des données. Même les Américains commencent à faire grise mine : 7000 dollars la minute ! On ne dispose pas, malheureusement, des chiffres français.
Faut voir combien de personnes pour en faire autant avec des chasseurs pilotés...Une permanence H24 ça demande énormément de moyens humains et matériels; l'avantage du drone, c'est qu'il peut tenir une permanence sur zone incomparablement plus longue qu'avec un chasseur. Il faudrait décupler le nombre d'appareils pour en avoir en l'air en permanence plus les ravitailleurs en vol. Non, 174 ça ne me parait pas affolant (surtout lorsqu'on connait la politique de l'USAF, pour le déploiement d'un nombre similaire d'appareils l'AA projète moitié moins de personnel).Snake (PB0_Foxy) a écrit :...ca pique les frais de mise en oeuvre d'un drone !
je m'attendais pas à autant