TOMS a écrit :Il a détruit en quelques minutes ce que quelqu'un a construit en plusieurs milliers d'heures.
C 'était beau avant, ça ne ressemble à rien après.
C'est nul!
Non, un D112, c'est moche - ok avec un rocher au milieu ça l'est encore plus...C 'était beau avant, ça ne ressemble à rien après.
Non pas que je veuille défendre l'homme au cailloux en particulier, mais le qualifier d'andouille n'a pas sa place ici.Warlordimi a écrit :c'est peut-être pire encore que cette andouille avec ses rochers même pas Ferrero!
*Aquila* a écrit :Il est des circonstances où l'individu obtempère pour des raisons qui, bien qu'aléatoires, n'en comportent pas moins un intérêt subséquent. A condition bien sûr que sa tendance kafkaïenne coïncide avec sa vision optimale de la vie. Non?
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Mhhh... c'est pas faux.Warlordimi a écrit :J'oubliais également qu'il est impossible d'analyser la phase transitoire post-narrative qui ne se borne pas à être une passion empirique dans une perspective kierkegaardienne contrastée!
Ce n’est pas étrange que dans la période récente de son travail, les pierres soient apparues devenant un de ses principaux outils d’exploration du champ de bataille. Son art est une aventure, pas nécessairement spectaculaire mais ancré dans le quotidien. Pour tester le sol, il lance des pierres destinées à cogner tout sur leur passage. Parce que la pierre est un symbole de toutes les difficultés et complexités de l’histoire humaine, l’objet même qui exprime la relation non résolue entre l’Homme et la Nature, désormais entre les différentes civilisations déterminées par des conceptions différentes de cette relation. Pour un bon européen d’aujourd’hui, l’Homme n’est pas seulement coupé de la Nature mais se prend pour le maître de celle-ci. L’art devient en réalité la métaphore de cette domination. Pour un Cherokee, au contraire, l’Homme n’est jamais en conflit avec la Nature mais en constitue une partie intégrante. Alors l’art pratiqué n’est rien de plus que l’articulation de cette relation harmonieuse. La pierre n’a pas à être sculpté pour devenir le monument d’une sépararion, elle est la matérialisation d’une communion.
Je te laisse libre de tes propos !!Warlordimi a écrit :Marcher dans de la merde ne me laisse pas non plus indifférent.
Mais bon, la frontière entre folie (douce ou pas) et recherche artistique est très ténue. Lui, là, il n'est pas forcément dangereux, mais il est bien atteint!
TOMS a écrit :Il a détruit en quelques minutes ce que quelqu'un a construit en plusieurs milliers d'heures.
C 'était beau avant, ça ne ressemble à rien après.
C'est nul!
Bon, je vais de ce pas, aller faire un peu de maté, il faut que je me souvienne que la yerba ne se fume point!D'où venons-nous
Où allons-nous
J'ignore de le savoir
Mais ce que je n'ignore pas de le savoir
C'est que le bonheur est à deux doigts de tes pieds
Et que la simplicité réside dans l'alcôve
Bleu et rose et rouge et mauve
De nos rêveries bleues et roses et rouges et mauves
Et et et et pourpre
Et et et et paraboliques
Et vice et versa
Quelle que soit leur époque, les artistes, à partir du moment où ils sont affranchis de leur rôle "d'employé de création" sous la tutelle d'un mécène ou d'un seigneur ont pour certain été confrontés à l'incompréhension voire au rejet jusqu'à bien des années plus tard du fait qu'ils ont pu laisser libre cours à leur créativité.FAFG_Xav a écrit :L'art moderne, c'est la légalisation de l'escroquerie...
