Ppl
#51
salut j espère que tu vas bien t amuser en l air en restant concentrer quand meme! je viens d avoir mon ppl théorique je m attaque a la nav ce moi ci!:king:
#52
t'as du bol d'avoir eu ton théorique (enfin, c'est du travail, je sais !!!) : je ne suis pas aussi avancé que toi !
Quant à s'amuser, je commence à éprouver du plaisir (au fur et à mesure que je suis moins exclusivement accaparé par l'apprentissage, je commence à faire un peu plus attention au fait de voler).
Quant à s'amuser, je commence à éprouver du plaisir (au fur et à mesure que je suis moins exclusivement accaparé par l'apprentissage, je commence à faire un peu plus attention au fait de voler).
C2D E 6750, Asus P5KC, Nvidia 8800 GT 512 Mo, 2 Go de RAM, Cougar FFSB R1, TIR PRO 3 + VE, PC dash 2
#54
oui c est sur le théorique sa m a bien pris 3moi a bosser! c est quand je suis tout seul maintenant que je prend du plaisir car je sais que je suis responsable et dans un avion on a beaucoup de responsabilités... mais j adoir etre seul dans mon avion et parler a la tour faire mes arrondie sans mon instructeurs!(heureusement qu il est la défois!! 
):sweatdrop bonne chance a toi et profite car je me dit que l on a énormément de chance car tout le monde n a pas les aides ou les moyens de se payer une formation ppl:yes:
):sweatdrop bonne chance a toi et profite car je me dit que l on a énormément de chance car tout le monde n a pas les aides ou les moyens de se payer une formation ppl:yes:#55
Yeeepeeeee ! A y est ! Enfin lâché ! Depuis le temps que j'attendais/redoutais ça ! Et bien sûr, rien ne s'est passé comme redouté et tout s'est passé comme prévu !
C'était hier (dimanche), très peu de temps avant l'orage, entre 13h10 et 14h20. On a donc commencé classiquement les tours de piste, auxquels j'avais déjà consacré les 6 dernières heures de vol (dimanche, à 13h10, j'avais 14h30 de vol en tout ). Le temps était plutôt favorable : pas de vent au début, qui s'est transformé en un 8-10 knts de vent de face (venant grosso modo du 110) au fur et à mesure que l'orage s'approchait (ce dernier est venu à la fois du sud et de l'est, vu depuis St-Cyr en tout cas).
Avec la piste 11 en service, on a donc fait 4 tours de piste. Pas nuls mais pas très bons non plus : j'ai systématiquement mal évalué le moment de couper les gaz (on ne fait que du tout réduit dans mon aéroclub), ce qui m'obligeait à remettre 3 ou 4 fois un peu de gaz pour refaire un palier, le temps de rattraper le plan (6 ou 7°) par le bas... ce qui m'a un peu vexé mais je n’ai cessé de sous-estimer le vent de face qui avait commencé à se lever.
Après ce dernier tour de piste, le FI hésite quelques secondes puis dit, sans avoir l'air d'y toucher : "Bon, tu veux le faire tout seul ?".
Gros moment d'arrêt pour moi : est-ce je peux VOULOIR quelque chose qui me tente tout en me faisant peur ? Puis, comme dans un rêve, je m'entends répondre d'un air faussement dégagé : "ouais, OK, bonne idée, pourquoi pas, aimes-tu les films de gladiateurs, etc...". Lui contacte donc la tour et demande à couper la piste 11 droite (on était sur le taxiway central) pour aller à la tour car c’est pour « en élève en solo ». La tour nous demande d'attendre le décollage d'un avion qui est déjà aligné (j'ai oublié le modèle de l'avion car j’étais toujours dans ce drôle de demi-rêve, mais je l'ai trouvé très beau !!). Je le conduis à la tour, il descend, me met deux tours de trim vers l'avant pour compenser son absence, me dit « bon, tu refais tout comme d’habitude », à quoi je réponds « hun hun ». je verrouille la verrière en constatant que c’est la première fois que je fais cela en étant seul à bord. Je demande à la tour la clairance pour aller au point d’arrêt, clairance que j’obtiens tout de suite, je mets un peu de gaz et constate que, seul à bord, le piper a radicalement changé : il est devenu très vif aux pieds alors qu’il est plutôt pataud au roulage d’habitude. Je me rends au point d’arrêt en slalomant pour voir si la cuvette du début de la piste 11 ne cache pas un avion en train de faire ses essais moteur. Je me mets au point d’arrêt, fais le R.E.C. (réglage du Trim (oups ! mais il est complètement vers l’avant… Ah oui, c’est vrai, c’est le réglage pour le lâché), essence (circuit ouvert et autonomie contrôlée… elle est d’ailleurs assez juste : 1 heure de vol dans les réservoirs, réserve comprise) et réchauffe carbu coupée). J’annonce à la tour « Fox Tango India, au point d’arrêt piste 11 droite, prêt », à quoi elle répond « fox tango india, alignez-vous piste 11 droite, autorisé à décoller ». Dès que j’entends cela, je vais chercher le maximum de piste en allant dans la luzerne tout en collationnant l’autorisation.
Je suis maintenant aligné, je jette un dernier coup d’œil à la biroute (vent de face, pas de correction particulière à prévoir aux ailerons et pas d’effet girouette), à la pression d’huile et à la température, puis je mets plein gaz et pousse le manche simultanément. Premier constat : c’est beaucoup plus simple de garder son axe car l’avion répond mieux et, surtout, j’ai une bonne vue sur ce qu’il y a devant, alors que d’habitude, je ne vois que le dos de mon FI !!! Au bout de quelques secondes, l’avion se met en ligne de vol, prend de la vitesse. A 80, je décolle légèrement et met l’avion en pallier à un mètre du sol, je le laisse accélérer à 100 et prend ma pente de montée tout en veillant à rester sur l’axe (car, à droite, en sortie de piste 11, il y a Cecilia Sarkozy et il paraît qu’il est très déconseillé d’aller ‘taquiner’ cette belle maison !!!). La première rangée d’arbres arrive et je tourne à gauche avec une inclinaison faible (20°) tout en surveillant la symétrie (miracle ! je vois enfin la bille, d’habitude complètement masquée par l’instructeur) et la vitesse. En termes de performance, l’avion monte incontestablement plus vite que d’habitude, mais pas dans les proportions que j’imaginais : avec mon FI, normalement, j’atteins les 1100 ft QNH du tour de piste en virant depuis le vent traversier vers la vent arrière (au-dessus des 3 bosquets lorsqu’on décolle de la 11) ; tout seul, je les atteins un peu avant mais la différence n’est pas flagrante non plus.
En vent arrière, je contacte la tour, qui me dit que je suis n°2. Je mets la réchauffe et veille à ne pas aller trop vite (si si, c’est possible en J3 !!). Je laisse l’autoroute sur ma droite et la ferme sur ma gauche, je vire sur le petit pont pour passer en base, direction : le cimetière (gloups !). Je recontacte la tour en base, qui me donne la 11 gauche. Arrivé à 45° du seuil de piste, je coupe les gazs, laisse la vitesse chuter à ma vitesse de finesse max (100 kmh) prend ma pente de descente (grosso modo 6-7° à corriger en fonction de la vitesse). Je regarde mon repère « 2 alphas » de travers descendre progressivement, fais mon dernier virage vers la 11 gauche, constate que je suis bien trop bas du fait de ce maudit vent de face, remets les gazs en repassant en pallier pour rejoindre mon plan, recoupe, remets, recoupe et me maudissant, remets et recoupe enfin, pour passer quelques mètres (je pense qu’on a l’impression de passer pas haut au-dessus de l’autoroute mais qu’en réalité, on doit passer à une bonne dizaine de mètres au-dessus du grillage) au-dessus du grillage de l’autoroute. La piste se rapproche, je commence mon arrondi plus haut pour tenir compte de l’observation de mon FI, la vitesse verticale diminue, le badin aussi. Je positionne mon repère capot au bon endroit pour mettre le J3 en 3 points, contact très léger, l’avion roule, je l’oriente par à-coups (pression dans un sens au palonnier puis brève pression en sens inverse pour ne pas faire un cheval de bois) vers le taxiway central et en bon utilisateur de J3, je sors au 1er tiers de la piste. La tour me dit d’aller au point d’arrêt et de reprendre contact, etc…
Pour la faire brève, le 2nd arrondi s’est passé de manière plus bordélique que le premier car j’ai trop corrigé vers la fin et l’avion est remonté assez haut (2 ou 3 mètres) alors qu’il n’avait plus de vitesse. Pas de panique, je remets un bon coup de gazs et l’avion se pose comme une fleur. Quand au troisième atterro, il s’est bien passé malgré une aile droite qui s’est fait remonter par une rafale de vent vicieuse. J’ai donc touché de la roue gauche d’abord, avec un moment d’appréhension lorsque j’ai constaté que le manche à droite pour ramener les ailes à l’horizontale ne fonctionnait guère. Mais tout s’est bien passé.
Je demande la clairance pour retourner au parking, en passant devant le restaurant « les ailes » d’où me regarde ma copine, puis je « gare » l’avion, oublie de demander l’autorisation de quitter la fréquence (je m’en suis rendu compte hier soir) enlève les casques et la batterie, mets les cales, vois mon FI regagner le club house, le rejoins : lui me regarde avec les yeux un peu plus brillants que d’habitude, et… me sers la main ! Beau moment d’émotion pour moi qui suis tout sourire après cette expérience où ce qui m’a surpris, c’est que je n’ai eu peur à aucun moment ! Je n’ai même jamais été aussi serein !
Comme quoi, on se connaît bien mal !
En tout cas, j’y retourne dès que possible : dès mercredi si le vent le permet. Je m’entraîne un peu en solo sur le J3, puis je vais commencer à voler sur le DR-221 du club et j’irai peut-être donner une suite à mon vol d’initiation à la voltige sur le cap-10 de St-Cyr !!!!
C'était hier (dimanche), très peu de temps avant l'orage, entre 13h10 et 14h20. On a donc commencé classiquement les tours de piste, auxquels j'avais déjà consacré les 6 dernières heures de vol (dimanche, à 13h10, j'avais 14h30 de vol en tout ). Le temps était plutôt favorable : pas de vent au début, qui s'est transformé en un 8-10 knts de vent de face (venant grosso modo du 110) au fur et à mesure que l'orage s'approchait (ce dernier est venu à la fois du sud et de l'est, vu depuis St-Cyr en tout cas).
Avec la piste 11 en service, on a donc fait 4 tours de piste. Pas nuls mais pas très bons non plus : j'ai systématiquement mal évalué le moment de couper les gaz (on ne fait que du tout réduit dans mon aéroclub), ce qui m'obligeait à remettre 3 ou 4 fois un peu de gaz pour refaire un palier, le temps de rattraper le plan (6 ou 7°) par le bas... ce qui m'a un peu vexé mais je n’ai cessé de sous-estimer le vent de face qui avait commencé à se lever.
Après ce dernier tour de piste, le FI hésite quelques secondes puis dit, sans avoir l'air d'y toucher : "Bon, tu veux le faire tout seul ?".
Gros moment d'arrêt pour moi : est-ce je peux VOULOIR quelque chose qui me tente tout en me faisant peur ? Puis, comme dans un rêve, je m'entends répondre d'un air faussement dégagé : "ouais, OK, bonne idée, pourquoi pas, aimes-tu les films de gladiateurs, etc...". Lui contacte donc la tour et demande à couper la piste 11 droite (on était sur le taxiway central) pour aller à la tour car c’est pour « en élève en solo ». La tour nous demande d'attendre le décollage d'un avion qui est déjà aligné (j'ai oublié le modèle de l'avion car j’étais toujours dans ce drôle de demi-rêve, mais je l'ai trouvé très beau !!). Je le conduis à la tour, il descend, me met deux tours de trim vers l'avant pour compenser son absence, me dit « bon, tu refais tout comme d’habitude », à quoi je réponds « hun hun ». je verrouille la verrière en constatant que c’est la première fois que je fais cela en étant seul à bord. Je demande à la tour la clairance pour aller au point d’arrêt, clairance que j’obtiens tout de suite, je mets un peu de gaz et constate que, seul à bord, le piper a radicalement changé : il est devenu très vif aux pieds alors qu’il est plutôt pataud au roulage d’habitude. Je me rends au point d’arrêt en slalomant pour voir si la cuvette du début de la piste 11 ne cache pas un avion en train de faire ses essais moteur. Je me mets au point d’arrêt, fais le R.E.C. (réglage du Trim (oups ! mais il est complètement vers l’avant… Ah oui, c’est vrai, c’est le réglage pour le lâché), essence (circuit ouvert et autonomie contrôlée… elle est d’ailleurs assez juste : 1 heure de vol dans les réservoirs, réserve comprise) et réchauffe carbu coupée). J’annonce à la tour « Fox Tango India, au point d’arrêt piste 11 droite, prêt », à quoi elle répond « fox tango india, alignez-vous piste 11 droite, autorisé à décoller ». Dès que j’entends cela, je vais chercher le maximum de piste en allant dans la luzerne tout en collationnant l’autorisation.
Je suis maintenant aligné, je jette un dernier coup d’œil à la biroute (vent de face, pas de correction particulière à prévoir aux ailerons et pas d’effet girouette), à la pression d’huile et à la température, puis je mets plein gaz et pousse le manche simultanément. Premier constat : c’est beaucoup plus simple de garder son axe car l’avion répond mieux et, surtout, j’ai une bonne vue sur ce qu’il y a devant, alors que d’habitude, je ne vois que le dos de mon FI !!! Au bout de quelques secondes, l’avion se met en ligne de vol, prend de la vitesse. A 80, je décolle légèrement et met l’avion en pallier à un mètre du sol, je le laisse accélérer à 100 et prend ma pente de montée tout en veillant à rester sur l’axe (car, à droite, en sortie de piste 11, il y a Cecilia Sarkozy et il paraît qu’il est très déconseillé d’aller ‘taquiner’ cette belle maison !!!). La première rangée d’arbres arrive et je tourne à gauche avec une inclinaison faible (20°) tout en surveillant la symétrie (miracle ! je vois enfin la bille, d’habitude complètement masquée par l’instructeur) et la vitesse. En termes de performance, l’avion monte incontestablement plus vite que d’habitude, mais pas dans les proportions que j’imaginais : avec mon FI, normalement, j’atteins les 1100 ft QNH du tour de piste en virant depuis le vent traversier vers la vent arrière (au-dessus des 3 bosquets lorsqu’on décolle de la 11) ; tout seul, je les atteins un peu avant mais la différence n’est pas flagrante non plus.
En vent arrière, je contacte la tour, qui me dit que je suis n°2. Je mets la réchauffe et veille à ne pas aller trop vite (si si, c’est possible en J3 !!). Je laisse l’autoroute sur ma droite et la ferme sur ma gauche, je vire sur le petit pont pour passer en base, direction : le cimetière (gloups !). Je recontacte la tour en base, qui me donne la 11 gauche. Arrivé à 45° du seuil de piste, je coupe les gazs, laisse la vitesse chuter à ma vitesse de finesse max (100 kmh) prend ma pente de descente (grosso modo 6-7° à corriger en fonction de la vitesse). Je regarde mon repère « 2 alphas » de travers descendre progressivement, fais mon dernier virage vers la 11 gauche, constate que je suis bien trop bas du fait de ce maudit vent de face, remets les gazs en repassant en pallier pour rejoindre mon plan, recoupe, remets, recoupe et me maudissant, remets et recoupe enfin, pour passer quelques mètres (je pense qu’on a l’impression de passer pas haut au-dessus de l’autoroute mais qu’en réalité, on doit passer à une bonne dizaine de mètres au-dessus du grillage) au-dessus du grillage de l’autoroute. La piste se rapproche, je commence mon arrondi plus haut pour tenir compte de l’observation de mon FI, la vitesse verticale diminue, le badin aussi. Je positionne mon repère capot au bon endroit pour mettre le J3 en 3 points, contact très léger, l’avion roule, je l’oriente par à-coups (pression dans un sens au palonnier puis brève pression en sens inverse pour ne pas faire un cheval de bois) vers le taxiway central et en bon utilisateur de J3, je sors au 1er tiers de la piste. La tour me dit d’aller au point d’arrêt et de reprendre contact, etc…
Pour la faire brève, le 2nd arrondi s’est passé de manière plus bordélique que le premier car j’ai trop corrigé vers la fin et l’avion est remonté assez haut (2 ou 3 mètres) alors qu’il n’avait plus de vitesse. Pas de panique, je remets un bon coup de gazs et l’avion se pose comme une fleur. Quand au troisième atterro, il s’est bien passé malgré une aile droite qui s’est fait remonter par une rafale de vent vicieuse. J’ai donc touché de la roue gauche d’abord, avec un moment d’appréhension lorsque j’ai constaté que le manche à droite pour ramener les ailes à l’horizontale ne fonctionnait guère. Mais tout s’est bien passé.
Je demande la clairance pour retourner au parking, en passant devant le restaurant « les ailes » d’où me regarde ma copine, puis je « gare » l’avion, oublie de demander l’autorisation de quitter la fréquence (je m’en suis rendu compte hier soir) enlève les casques et la batterie, mets les cales, vois mon FI regagner le club house, le rejoins : lui me regarde avec les yeux un peu plus brillants que d’habitude, et… me sers la main ! Beau moment d’émotion pour moi qui suis tout sourire après cette expérience où ce qui m’a surpris, c’est que je n’ai eu peur à aucun moment ! Je n’ai même jamais été aussi serein !
Comme quoi, on se connaît bien mal !
En tout cas, j’y retourne dès que possible : dès mercredi si le vent le permet. Je m’entraîne un peu en solo sur le J3, puis je vais commencer à voler sur le DR-221 du club et j’irai peut-être donner une suite à mon vol d’initiation à la voltige sur le cap-10 de St-Cyr !!!!
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#56
c est bon tu as fait le grand saut ! bravo a toi! moi je devrais passer le BB pratique d ici fin juin!
#57
oui, c'est le premier pas qui coûte ! Pour le BB, je ne sais pas si je le passerai (ça ne sert pas non plus à grand-chose). Le tout est de passer le PPL, non ?
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#58
Bravo, ça fait super plaisir pour toi! 
Et puis chouette récit, merci, j'avais l'impression d'y être.
Et puis chouette récit, merci, j'avais l'impression d'y être.
"If everyone is thinking alike, then somebody isn’t thinking."
#59
merci pour vos réactions : en fait, ce moment était d'autant plus joussif que je l'attendais depuis longtemps (2-3 mois environ !!).
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#60
C'est la saison des lachés sur J3. 
Moi c'était l'inverse, un poil long car j'ai réduits les gaz comme d'hab mais ça plane mieux tous seul.
Félicitation
Moi c'était l'inverse, un poil long car j'ai réduits les gaz comme d'hab mais ça plane mieux tous seul.
Félicitation
#61
Oui, l'actu a été chaude pour l'aéroclub trebod : deux lâchés en une semaine !
Le piper J3 est encore une sacré machine à former du jeune !! (faut dire que, depuis 70 ans qu'il en forme, il sait faire le bougre !)
Le piper J3 est encore une sacré machine à former du jeune !!
(faut dire que, depuis 70 ans qu'il en forme, il sait faire le bougre !)C2D E 6750, Asus P5KC, Nvidia 8800 GT 512 Mo, 2 Go de RAM, Cougar FFSB R1, TIR PRO 3 + VE, PC dash 2
#62
bravo a toi et au J3, le laché c'est une fois dans sa vie... 
et merci pour le recit, on dirait du Clostermann !
nan, j'deconne !!!
mais c'est trés sympa quand meme.
et merci pour le recit, on dirait du Clostermann !
nan, j'deconne !!!
mais c'est trés sympa quand meme.
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Ce profil provient du site N-N virtuel
"Si tu téléphones à une voyante et qu'elle ne décroche pas avant que ça sonne, alors raccroche."
JC Van Damme
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#63
non non, tu as raison : c'est juste par modestie que je n'ai pas décrit le moment où la tour de contrôle, lors du deuxième tour de piste solo, a sorti la DCA. Leur idée était de matérialiser mon plan de descente en créant un mur d'acier au-dessus des 8° et en-dessous des 4°. Mais je n'ai pas eu peur !!
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#64
C'est normal: après tout ce que tu as déjà traversé dans Falcon, c'est quand même pas un peu de DCA qui va t'effrayer!Mais je n'ai pas eu peur !!
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#65
Oui, c'est exactement l'état d'esprit dans lequel je me suis situé : face au flot de traçantes, je me suis souvenu des cours de falcon 4 pris avec Maître Eutopos-Yoda. J'ai donc fermé les yeux pour sentir la force, et je suis passé entre les flots. 
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#66
comme bcp de ses élèves qui ont aussi fermé les yeux à ce moment, pour ne plus jamais les rouvrir:Jumpy:
#67
là où master Eutopos-Yoda passe, l'élève ne repousse plus !
Ca me rappelle d'ailleurs un cours pris avec Wild à l'EDC : à l'époque, je galèrais pas mal en maintien de PS et on avait décidé de faire un atterro en PS : je me cale donc à sa droite en léger retrait, en bataillant pour rester accroché à lui. Arrivé à 300 ft sol, je continue à me battre, je constate que je suis un peu bas, je remets des gazs, l'avion accélère, reprend à peine de hauteur... mais a en revanche, tapé bien fort la piste, tellement fort qu'il a explosé... Mais j'étais resté en PS jusqu'au bout... sauf durant l'arrondi !
Wild m'a expliqué après l'atterro qu'il fallait cesser de regarder le leader en-dessous de 300 ft sol pour s'occuper de son propre atterrissage !!
Ca me rappelle d'ailleurs un cours pris avec Wild à l'EDC : à l'époque, je galèrais pas mal en maintien de PS et on avait décidé de faire un atterro en PS : je me cale donc à sa droite en léger retrait, en bataillant pour rester accroché à lui. Arrivé à 300 ft sol, je continue à me battre, je constate que je suis un peu bas, je remets des gazs, l'avion accélère, reprend à peine de hauteur... mais a en revanche, tapé bien fort la piste, tellement fort qu'il a explosé... Mais j'étais resté en PS jusqu'au bout... sauf durant l'arrondi !
Wild m'a expliqué après l'atterro qu'il fallait cesser de regarder le leader en-dessous de 300 ft sol pour s'occuper de son propre atterrissage !!
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#68
Ouais, depuis je n'oublie pas de bien toujours le préciser à l'élève avant. 
Notez qu'Electro avait fait un trou dans la piste d'une précision absolue. Vraiment un excellent élément!
Notez qu'Electro avait fait un trou dans la piste d'une précision absolue. Vraiment un excellent élément!
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#69
:laugh: :laugh: :laugh: :laugh: :laugh: :laugh: :laugh: :laugh: :laugh: :laugh:
Féloches pour ton lâcher Electro
Féloches pour ton lâcher Electro
"Man must rise above the Earth [...] for only thus will he fully understand the world in which he lives." Socrate
#70
eutoposWildcat a écrit :Ouais, depuis je n'oublie pas de bien toujours le préciser à l'élève avant.
Notez qu'Electro avait fait un trou dans la piste d'une précision absolue. Vraiment un excellent élément!
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