L’avion que vous voyez ci-dessous ( un curtiss SBC-3 ) a fait un atterrissage forcé le 22 septembre 1938 près de l’aérodrome de NAS Cape May, New Jersey . Jusque la rien d’extraordinaire me direz vous.
Le problème c’est que c’est le mitrailleur qui a réalisé cet atterrissage. Et pourquoi le mitrailleur ?
Le pilote a été jeté de l’avion suite à un piqué prononcé. Le mitrailleur se rendant compte que son pilote avait disparu a donc dut utiliser la double commande à sa disposition pour faire atterrir l’avion.
Source squadron signal sbc helldiver page 14.
Y’ a t – il un pilote dans l’avion ?
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#2
Heureusement que le mitrailleur avait des notions de pilotages!
On sait ce qu'il est advenu du pilote? (parachute?)
On sait ce qu'il est advenu du pilote? (parachute?)
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#3
Pas de remarques sur le pilote.Ob dit seulement que le mitrailleur a eut une citation. En fait c'est une photo + legendeDedge a écrit :Heureusement que le mitrailleur avait des notions de pilotages!
On sait ce qu'il est advenu du pilote? (parachute?)
#4
Dans le même style, sans recourir à un piqué prononcé, et pire avec un cockpit fermé, l'histoire incroyable du Flight 5390 de la British Airways, ou comment un pilote se retrouve dans cette position à bord d'un BAC One-eleven :
Le malheureux s'est retrouvé ejecté de son siège suite à une décompression explosive dût a un problême de fixation du pare-brise, ses pieds se sont emmelés sur le yoke ce qui entrainé une forte assiette négative, le copilote à dût batailler pour remettre l'appareil en palier.
La suite, se sont les membres d'équipages qui se sont rués pour retenir le commandant de bord par les jambes , qui, au passage s'en sort indemne avec dans l'ordre du pire au plus " supportable " : manque d'oxygène + froid (- 20°) + vent = 700 Km/h , bref même l'enfer n'aligne pas cette équation !
Tout ca pour dire que je me régale à regarder l'émission le samedi sur France 5 : Danger dans le ciel, c'est serieux, pas de voyeurisme morbide, et assez pointilleux dans la reconstitution.
Je vous la recommande car en plus on y apprends pas mal de chose dans les procédures d'urgence.
Le malheureux s'est retrouvé ejecté de son siège suite à une décompression explosive dût a un problême de fixation du pare-brise, ses pieds se sont emmelés sur le yoke ce qui entrainé une forte assiette négative, le copilote à dût batailler pour remettre l'appareil en palier.
La suite, se sont les membres d'équipages qui se sont rués pour retenir le commandant de bord par les jambes , qui, au passage s'en sort indemne avec dans l'ordre du pire au plus " supportable " : manque d'oxygène + froid (- 20°) + vent = 700 Km/h , bref même l'enfer n'aligne pas cette équation !
Tout ca pour dire que je me régale à regarder l'émission le samedi sur France 5 : Danger dans le ciel, c'est serieux, pas de voyeurisme morbide, et assez pointilleux dans la reconstitution.
Je vous la recommande car en plus on y apprends pas mal de chose dans les procédures d'urgence.
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