Rhooooooooooooooo font pas un peu de sur place la..... les écrivains:yes:
Mhmm....."après vous "
Werner...."je n'en ferais rien....après vous très cher"
Mhmm...."non .non après vous hors de prix.....!!"
on a déja semé Knell quelque part dans les crevasses vous allez pas la jouer avalanche de politesses pour commencer l'Année........
"Hhaaaajjmère"
Ce qui d'abord apparu comme un râle sacerdotal s'insinua comme une maladie dans les murmures frelatées
de la petite salle de prière. Et déjà, les bougies se mirent à couler comme des larmes le long des candélabres
mourants. Après que les boutons furent scellés, les écharpes nouées, le peuple retourné, s'en alla défarder
ses perversions plus loin, et le silence revient coucher ses poussières dans la commisure des murs.
"Heimer" claqua comme un drap entre les lèvres encolletées du Curé.
"Que le seigneur ait pitié de lui et des siens."
La rigueur de la pluie sur le toit dilua la présence du curé dans un froid impénétrable. La petite troupe sautillait
comme s'ils devaient pisser. Et le curé porta sa main que l'age avait fini de feuilleté, jusqu'à sa poche, cette
poche déformée par la poigne des décédés pour lesquels il avait fait figure de la rampe du Salut.
Entre ses doigts, une clef éclot.
"Suivez moi".....
"Tenez la ramp les mecs" lachat werner en suivant le curé.
Durant ce temps, dans une cellule, Heimer respire. Les pas de la petite troupe devale la volée d'escaliers qui
menait au sous sol. Heimer ne distingue pas les frémissements de son corps et le déboulement des pas du
troupeaux mené par le curé. Il tient debout comme un vieux corsaire étriqué par le cordage des nerfs et des
vaiseaux. Et déjà le mouvement inconscient de soulèvement et de replis de sa respiration devient, à
l'épluchement des secondes, de plus en plus compliqué à tenir en équilibre sur lui.
Heimer qui était couché se redressa d'un trait. La clé pénétre la porte. Il jeta sa tête en arrière et écouta le
frottement de son inspiration le long de sa trachée comme glisse un poignard dans un fourreau de chair.
La toile de son matelas sucait le tambourinement des pas de la troupe contre le plancher, et le fragile équilibre
de l'ésoufflement se rompit aussitôt comme un ballon éclate.
"Ca frotte, dit-il tout bas ça frotte. Pas bon. Cette fois, y aura pas d'issue. Ca va se boucher.
Il parcouru la pièce d'un regard de faucheuse en cherchant un tube. Il prit un vieux stylo dont il demonta les
extremités, et tient ce petit tube contre lui, au cas où... comme un crucifix.
" si ça se referme, je n'aurai qu'à me l'enfoncer dans la gorge, juste temps que ça se calme"... "j'ai peur
d'avoir mal, mais l'air passera par le tube et ça ira et ça ira."
Ses mains étaient déjà moites d'inquiètude mais il avait maintenant son petit chapelet. La porte s'ouvre tout
doucement. De l'extérieur, la pièce paraissait vide. Et Heimer roula son oeil dans la direction de l'attroupement
qui fourmille devant lui...
J'ai continué un petit morceau de récit, mais c'est encore en modelage.
De toute façon c'st très dur de gérer les personnages que l'on a pas introduit
soi-même, ca c'est clair.
Werner a toujours é]****** Le petit chapelet entre les doigts porté à l'aurée de ses lèvres, Heimer
voyait les ombres de la petite troupe lui passer dessus et le piétinner. Mais
le moindre effort était une apnée sans fond et les doigts couronnés de
picottement portaient déjà la saveur des rosées d'angoisse. Dans un
silence de bilbiothèque, Heimer feuilletait les moindre sensations qui se
frottaient contre son corps et le sillage de ses pensées semblaient
raturées comme la tête d'un disque trébuche sans cesse sur la même
rayure.
"Seigneur..., cria le curé, aidez-moi à le coucher, il faut
le calmer ; calme Heimer, calme toi. Il n'y a rien. Tu n'as rien, juste
quelques blessures, mais tu n'es pas malade; c'est pas de la maladie."
Le curé se tourna vers la troupe et dit comme une confidance "ce pauvre
garçon est épuisé, une telle fatigue que la moindre sensation éprouvée
se traduit par une impression incontrolable. Les nouveaux nés ont le même
symptome lorsqu'ils apprennent la marge qu'il y a entre les sentations
courantes et la douleur"
Werner qui slalomait entre les crachat du dernier sermon et le relan
tétu du vin de messe, fit un bon en arrière. Le troupeaux se disloqua
avec son cri. Les quelques miettes de lueur qui transpirait sur Heimer avait
devoilé quelque chose de sérieux, cette fois... Il avait vraiment l'aire d'un
rat creuvé.
La petite troupe se mis autour de Heimer et tapottait avec ses souliers
dans ce corps amorphe qui changeait sans cesse d'aspect. Tantôt tendu
comme l'érection du pendu, tantôt aussi résigné que ses defections sous
le gibet d'un condamné.
"- Mais c'est quoi ce bordel !" cria Werner, "je ne vois qu'un sot-l'y-laisse
de boche qui pue la saucisse de francfort.
- Allez debout connard ! Ranges ton stylo avant que je t'en fasse son étui !!!"
Et Heimer se leva d'un coup, pied nu, il bondit sur la porte en giclant le curé
contre la troupe. Il prit le couloir et sauta dans la ruelle qui menait à la cote.
Le temps que Werner insuffla l'ombre d'une pensée a ses acolytes, Heimer
était déjà loin.
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encore un petit modelage comme celui ci ...........et il y en aura deux à la ramasse
Wernnnnnnnnnnnnnnner Knelllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll on se réveille
Werner rameuta ses troupes et chargea le roquet fou de rassembler suffisamment de piqueux et de chiens errants pour partir en chasse au Heimer.
Vu le goût particulier du chien pour les arrière-trains teutons, la meute hurlante fut très vite assemblée. Pour les piqueux, Werner lorgna vers le cureton qui, sous ce regard lourd de menaces, se hâta de constituer une troupe aguerrie de villageois avinés.
Werner fit humer un bout de caleçon défraichi de Heimer au chien, qui toute langue dehors et hurlant à la mort, lança la troupe canino-humaine vers la côte. Werner, sourire aux lèvres, voyant le gras curé encourageant les chiens alors que lui-même n'arrivait pas à suivre le train d'enfer, s'écria "Pas si vite Don Canino, l'est tellement louf ce Heimer qu'il est parti au port pour piquer un bateau et passer de l'autre côté. On le chopera en angleterre !!!"...
Oli, qui tente de repasser le rubycon...
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