En fait le AIM-9L souffre également d'une charge trés faible, et plusieurs appareils touchés sont rentrés au bercail.
Possible pour la charge, mais pas tout a fait d'accord quand au résultat.
Au moins aux Malouines, ça s'est produit au max trois ou quatre fois.
Dont le Canberra du 1er mai touché par deux missiles, et le Hercules de Ward touché par un missile et fini au 30mm. donc...
Pour les Malouines, il faut prendre toutes les données concernant les combat aériens avec des pincettes. En effet, pour les Sea Harrier, c'était un véritable tir au pigeon: les appareils d'attaque A-4 et Mirage/Dagger arrivaient sur zone avec juste assez de pétrole pour rentrer à leur base, sans aucun potentiel d'évolution ou d'esquive, surtout qu'ils étaient en radada et chargés comme des mulets de bombes...
Pas tout à fait exact sur l'ensemble du conflit.
Et même en partant de ce principe, peu de missiles sur les conflits de cette période ont été tirés sur des cibles très manoeuvrantes. la plupart ne l'étaient même pas du tout, voir l'exemple des kills de Rankin en 81/82.
De l'autre coté, les Sea Harrier disposaient en exclusivité de AIM-9L fraichement livrés. Et il s'agissait d'une vraie petite révolution, le conflit des Malouines étant, il me semble, le premier à voir un missile IR tout secteur au combat...
Autrement dit, les Argentins ne connaissaient pas les tactiques permettant d'esquiver un tel missile capable d'attaques frontales et latérales... En fait, quasiment personne ne connaissait ses techniques d'esquives...
tu te contredis un peu sur les conditions, non?
Mais pas d'accord non plus, il est avéré qu'il y a eu un seul cas ou le 9L à fait la différence par rapport au 9G, un des kills du 24 mai par Dave Smith.
Et sur la seule opportunité d'un head on, en fait le 1er mai, le missile ne s'est pas locké.