Bah, ça devait être des sous-offs, des gadgets quoiSV_SilentFrog a écrit :N'empeche que même pas une chaise pour le mitrailleur d'IL2... Sont vaches
:exit:
Bah, ça devait être des sous-offs, des gadgets quoiSV_SilentFrog a écrit :N'empeche que même pas une chaise pour le mitrailleur d'IL2... Sont vaches
Il n'y a pas que Tubs, vu que c'est moi qui ai posé la question.Je ne vais pas faire comme Tubs des déductions et des recoupements pour trouver le nom d'un gars qui a fauté un jour.
(ca t'a apporté quoi d'avoir son nom ?)
Bah, ça devait être des sous-offs, des gadgets quoi
Mon grand père était mécano, j'ai son brevet militaire supérieur de mécanicien aéronautique sous les yeux là... Et il est décerné au Caporal Nom Prénom.même pas sous offs.. c'était des mécanos au début et pendant longtemps et ils avaient souvent pas de grade particulier
Sisi... Mais tu ne dis pas que ça, rassure toi... enfin en tout cas à mes yeux.Tu ne crois pas que je sort assez de conneries comme ça?
Ce qui est grave, c'est de ne pas comprendre (à ton âge !) quand je dis que je ne trouve pas d'excuses au nazisme, que je ne parle pas du pauvre trouffion lambda de la Wermacht, mais des cadres du régime qui ont imaginé et mis en oeuvre la solution finale.Vike a écrit :Non mais là,ça devient grave les gens qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez...
Si je pousse plus loin ton raisonnement :Rama a écrit :c'est équivalent au raisonement suivant: "Aristote a des oreilles, tous les chiens ont des oreilles, donc Aristote est un chien".
Le tout avec des énOrmités visiblement bien assumées...III/JG52-Freiherr V. Kaos a écrit :Dingue qu'on ne puisse pas parler d'un sujet ww2 sans dériver systématiquement sur nazisme/camps/juifs/tuttiquanti....
ce que je voulais dire c'est que, généralement, les mécanos étaient pas très gradés... la très grande majorité étaient, de mémoire, l'équivalent de nos "militaires du rang"... donc, si on prend le cas de l'armée française ça nous donnerait:
C'est la loi de Godwin ça...III/JG52-Freiherr V. Kaos a écrit :Dingue qu'on ne puisse pas parler d'un sujet ww2 sans dériver systématiquement sur nazisme/camps/juifs/tuttiquanti....
La loi de Godwin fait partie du folklore Usenet. En 1990, Mike Godwin énonça la règle empirique suivante : « Plus une discussion sur Usenet dure longtemps, plus la probabilité d'y trouver une comparaison avec les nazis ou avec Hitler s'approche de un » (original en anglais : As a Usenet discussion grows longer, the probability of a comparison involving Nazis or Hitler approaches 1.).
On peut remarque que n'importe quoi peut remplacer le nazisme dans l'énoncé de cette loi, en effet plus une discussion est longue plus on a de chance d'y mentionner n'importe quoi.
Cette « loi » s'appuie sur l'hypothèse selon laquelle une discussion Usenet qui dure dans le temps amène peu à peu les esprits à s'échauffer et à remplacer les arguments par des insultes. Le nazisme étant souvent considéré comme la pire des idéologies, toute comparaison avec un mouvement de ce genre est considérée comme le signe de l'échec de la discussion, du moins si le sujet de départ était très éloigné. On estime alors qu'il est temps de clore le débat, dont il ne sortira plus rien de pertinent, pour repartir sur des bases saines. On dit alors qu'on a atteint le point Godwin de la discussion.
L'expression point Godwin a, par extension, également pris un autre sens : un point Godwin est un point donné au participant qui aura permis de vérifier la loi de Godwin en venant mêler Hitler, le nazisme ou toute idéologie haineuse à une discussion dont ce n'est pas le sujet.
Dans le folklore Usenet, on considère que vérifier la loi de Godwin revient à « perdre » le débat, peut-être parce qu'un troll s'en est mélé. Cependant, certains considèrent que le fait de clore un débat en invoquant cette loi n'est qu'une façon de fuir la discussion avec ceux qui n'ont pas utilisé ce genre de comparaisons. D'autres remarquent que cette loi peut être difficile à invoquer dans une discussion, car cela reviendrait à tenter de jeter le discrédit sur l'interlocuteur.