Ce n’est pas comme si les Chinois étaient coutumiers de ce genre d’intimidation en plus !DeeJay a écrit : ↑mer. mai 08, 2024 9:15 amLargement pas impossible que ce soit accidentel.
Si ils ont du DAM (?) il arrive parfois à ces bébêtes là de déclencher une detection arrivée missile sur du retour Doppler de rotor d’hélico ou hélices d'autres avions ...
Ou une mauvaise utilisation de leur RWR avec couplage lance-leurre resté actif en approchant le MH-60 (?)
Évidement. Cependant, lors d'un début de tentative de raisonnement rationnel, le postulat à priori est le Rasoir de Hanlon: « Ne jamais attribuer à la malveillance ce que la bêtise suffit à expliquer. »
La Chine décrète de nouvelles règles maritimes, au grand dam des autres riverains de la mer de Chine méridionale. À partir de ce samedi, les gardes côtes chinois ont le droit d’arrêter des navires qui franchissent une ligne de démarcation imposée par Pékin qui englobe la quasi-totalité de ses eaux stratégiques.
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Les incidents se multiplient ces derniers mois en mer de Chine méridionale entre Chinois et Philippins. Mais le nouvel épisode de ces rivalités entre les deux pays se jouera - une nouvelle fois - sur le terrain juridique. Manille a demandé aux Nations Unies de reconnaître la souveraineté des Philippines sur un plateau continental au large de ses côtes, en réponse à une nouvelle loi chinoise entrée en vigueur ce weekend.
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Les garde-côtes chinois ont annoncé, lundi, qu'un navire philippin "a ignoré de nombreuses sommations de la partie chinoise" et "provoqué une collision" avec un bateau chinois près des îles Spratleys, en mer de Chine méridionale. De son côté, le gouvernement philippin a accusé des navires chinois d'avoir éperonné et endommagé des bateaux en mer de Chine méridionale.
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Dans le même temps, le ministère taïwanais de la Défense a de nouveau fait état de la présence de vingt avions et de sept navires de l’APL dans les environs de Taïwan. « Douze de ces avions ont traversé la ligne médiane [du détroit] et sont entrés dans notre zone d’identification et de défense aérienne [ADIZ] », a-t-il précisé.
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la force aérienne taïwanais [RoCAF – Republic of China Air Force] possède 12 avions de patrouille maritime P-3C Orion ainsi que des hélicoptères 500MD et S70C Super Blue Hawk, dotés de capacités de détection sous-marine.
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En profitant du fait qu' actuellement l'Ouest a envoyé toutes ses armes et munitions en Ukraine...OPIT a écrit : ↑jeu. juin 20, 2024 6:31 pmLes russes comme les chinois ont décidé de renverser la table. L'ordre mondial ne leur convient pas et ils entendent bien ne plus s'y soumettre, avec la certitude que l'autre partie du monde ne lancera pas la 3è GM. Comme en prime les éventuelles sanctions économiques sont maintenant à double tranchant depuis que la Chine est devenue un élément incontournable dans beaucoup de choses, le sentiment d'impunité arrive à son paroxysme et annihile les dernières retenues.
Il ne reste plus beaucoup d'options pour enrayer cette mise en roue libre qui piétine ouvertement les règles convenues. D'une manière ou d'une autre, ça va piquer. Sévère.
...et qu'il s'auto-inflige des politiques ruineuses qui ont pour seuls effets de creuser sa dette et de l'empêcher de se réarmer... alors qu'en face, ces scrupules et la bien-pensance y relative n'existent pas, bien au contraire.ironclaude a écrit : ↑jeu. juin 20, 2024 7:40 pmEn profitant du fait qu' actuellement l'Ouest a envoyé toutes ses armes et munitions en Ukraine...
Même en le répétant plusieurs fois ça ne sera pas vrai.ironclaude a écrit : ↑jeu. juin 20, 2024 7:40 pmEn profitant du fait qu' actuellement l'Ouest a envoyé toutes ses armes et munitions en Ukraine...
Je sens bien que tu n'es pas content, mais je ne saisis pas le sens de ton message, ?OPIT a écrit : ↑jeu. juin 20, 2024 10:43 pmMême en le répétant plusieurs fois ça ne sera pas vrai.ironclaude a écrit : ↑jeu. juin 20, 2024 7:40 pmEn profitant du fait qu' actuellement l'Ouest a envoyé toutes ses armes et munitions en Ukraine...
Et si c'est du second degré ce n'est même pas drôle.
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C'est un record. En l'espace de 24 heures, 66 avions et sept navires de guerre chinois ont été repérés autour de Taïwan, d’après un communiqué du ministère de la Défense publié jeudi 11 juillet. Parmi ces appareils, 56 ont franchi la ligne médiane du détroit qui sépare les côtes taïwanaises de celles de la Chine continentale.
Cette manœuvre a lieu à un moment particulièrement opportun. Le sommet de l’Otan se tient, en effet, en parallèle à Washington et les alliés occidentaux ne cessent de pointer du doigt le soutien de la Chine à la Russie. Le ministère des Affaires étrangères chinois dénonce quant à lui une volonté de l’Otan d’étendre son pouvoir en Asie et a réagi à ces accusations : « La rhétorique de l'Otan sur la responsabilité de la Chine en Ukraine est injustifiée et malveillante », a assuré son porte-parole, Lin Jian.
De son côté, le ministère taïwanais de la Défense a affirmé avoir « surveillé la situation et agi en conséquence ». Il a même publié un document montrant que certains avions se sont approchés à moins de 33 milles nautiques (61 km) de la pointe sud de Taïwan.
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Ces derniers mois ont été marqués par plusieurs incidents entre les Philippines et la Chine dans les environs de l’atoll Second Thomas, sur lequel Manille entend faire respecter sa souveraineté, ce que conteste Pékin, qui, pour rappel, revendique la quasi-totalité de la mer de Chine méridionale. C’est d’ailleurs pour cette raison que d’autres contentieux opposent les deux pays, comme celui concernant le récif de Scarborough.
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Cette semaine, alors que les Philippines venaient de lancer des manœuvres navales avec les États-Unis, l’Australie et le Canada, l’Armée populaire de libération [APL] a annoncé qu’elle allait mener un exercice militaire près du récif de Scarborough [appelé « Huangyan » à Pékin].
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C’est dans ce contexte qu’un nouvel incident est survenu entre les forces philippines et chinoise, ce 10 août. Ainsi, le chef d’état-major philippin, le général Romeo Brawner, a accusé l’APL d’avoir « harcelé » un avion de transport tactique NC-212i [c’est à dire un CASA C-212 construit sous licence en Indonésie par Aviocar] alors que celui-ci survolait le récif de Scarborough. Ainsi, deux avions de combat chinois auraient « exécuté une manœuvre dangereuse vers 09H00 du matin » en lançant des « fusées éclairantes sur la trajectoire » du NC-212i.
« L’incident a constitué une menace pour l’avion philippin et son équipage, a interféré avec les opérations de vol légales dans l’espace aérien relevant de la souveraineté et de la juridiction des Philippines et a enfreint le droit international et les réglementations régissant la sécurité de l’aviation », a détaillé le général Brawner. Et d’ajouter que l’état-major philippin « condamne fermement les actions dangereuses et provocatrices de la force aérienne de l’Armée populaire de libération qui ont mis en danger la vie de notre personnel effectuant des opérations de sécurité maritime ».
Deux responsables philippins ont donné plus de détails sur cet incident à l’Associated Press. « Les avions chinois ont volé à une distance très proche » du NC-212i. Ils ont mis la vie de nos pilotes en danger », a dit l’un d’eux. Le second a précisé qu’au moins « huit fusées éclairantes » avaient été lancées. Le mode opératoire décrit par le général Brawner n’est pas surprenant : ces dernières années, des avions de patrouille maritime et des hélicoptères américains, canadiens et australiens ont en effet été confrontés au même genre d’action que celui que vient de subir le NC-212i philippin.
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Les Philippines ont accusé samedi 24 août la Chine d’avoir tiré à deux reprises des leurres sur l’un de leurs avions de patrouille civils au-dessus d’îlots disputés en mer de Chine méridionale, dernier épisode en date d’un conflit territorial de plus en plus acerbe. La Chine revendique la quasi-totalité de la mer de Chine méridionale, une région stratégique où plusieurs pays riverains ont des prétentions concurrentes. Elle ignore une décision de la justice internationale datant de 2016 selon laquelle ses revendications ne reposent sur aucune base juridique.
(...) Un avion de chasse chinois a tiré des leurres « à plusieurs reprises à une distance dangereusement proche » d’un avion philippin du Bureau des ressources de pêche et aquatiques (BFAR), près du récif de Scarborough le 19 août, à environ 350 km à l’ouest de Manille, a affirmé la mission opérationnelle philippine chargée de cette zone, la National Task Force for the West Philippine Sea – terme philippin pour désigner les parties de la mer de Chine méridionale revendiquées par Manille. Le même avion a été visé trois jours plus tard par des leurres tirés depuis le récif de Subi, contrôlé par la Chine, alors qu’il « surveillait et interceptait des braconniers qui empiétaient sur la zone économique exclusive et sur les eaux territoriales » des Philippines, a-t-elle ajouté dans un communiqué.
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Vendredi, Pékin avait annoncé avoir pris des « contre-mesures » contre des avions militaires philippins accusés d’avoir pénétré le 22 août dans son espace aérien au-dessus du récif de Subi, également revendiqué par Manille. La partie chinoise a pris « les contre-mesures nécessaires conformément à la loi, afin de protéger sa souveraineté et sa sécurité », avait affirmé le ministère chinois des Affaires étrangères dans un communiqué. La Chine continuera « de protéger fermement sa souveraineté territoriale et ses droits maritimes, et s’opposera fermement à toute action les enfreignant », avait-il ajouté. Le communiqué chinois ne mentionnait pas d’incident le 19 août au-dessus de Scarborough.
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Le ministère taïwanais de la Défense a recensé le passage de 153 avions chinois à l'issue de manœuvres militaires d'encerclement, menées lundi par l'armée chinoise autour de l'île. Des opérations qui ont accru les tensions déjà vives entre Taïwan et la Chine. Taipei a exhorté Pékin à ne pas compromettre la paix et la stabilité dans la région.
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Sur ces 153 avions, 111 ont franchi la ligne médiane du détroit de Taïwan, qui coupe en deux ce détroit de 180 kilomètres de large entre l'île et la Chine continentale.
Ces manœuvres militaires chinoises se sont déroulées quelques jours après un discours du président taïwanais Lai Ching-te, lors de la fête nationale de l'île jeudi. Lai Ching-te s'était engagé à "résister à l'annexion" chinoise de Taïwan ou "à l'empiètement de [sa] souveraineté".
