Sur Air Défense, mais peut-être que la source originale sur le web est là (entre 10 et 12 ") :
ou là :
Ou encore là :
Sur Air Défense, mais peut-être que la source originale sur le web est là (entre 10 et 12 ") :
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Pour la production du Rafale, la cadence 3/mois à débutée à Seclin pour la production de pièces primaires. Avec une durée de fabrication de 36 mois, il faudra donc attendre 2026-27 pour voir 3 Rafale sortir de Mérignac tous les mois. La cadence de livraison va donc progressivement atteindre les 2 avions par mois (20 avions à livrer en 2024).
Les problèmes de supply chain rencontré dans l'ensemble du secteur aéronautique mondial vont de leur côté continuer courant 2024, mais pour ce qui est des livraisons pour le Rafale, les risques sont limités et impliquent des retards de livraison relativement anecdotiques. Deux Rafale prévu pour l'Armée de l'Air et de l'Espace ont par exemple été livré en ce début d'année au lieu de fin d'année dernière (13 avions livrés sur 15 en 2023).
Les problèmes de supply chain sont par contre plus important pour la production de la gamme civile
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Je croyais que c'était 2 ans pour produire un Rafale, on m'aurait menti ?Deltafan a écrit : ↑mer. mars 06, 2024 6:49 pminfo spécifique du journaliste Bruno Etchenic sur le rapport annuel 2023 de Dassault :
viewtopic.php?f=279&t=219519#p1953683
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Pour la production du Rafale, la cadence 3/mois à débutée à Seclin pour la production de pièces primaires. Avec une durée de fabrication de 36 mois, il faudra donc attendre 2026-27 pour voir 3 Rafale sortir de Mérignac tous les mois. La cadence de livraison va donc progressivement atteindre les 2 avions par mois (20 avions à livrer en 2024).
Les problèmes de supply chain rencontré dans l'ensemble du secteur aéronautique mondial vont de leur côté continuer courant 2024, mais pour ce qui est des livraisons pour le Rafale, les risques sont limités et impliquent des retards de livraison relativement anecdotiques. Deux Rafale prévu pour l'Armée de l'Air et de l'Espace ont par exemple été livré en ce début d'année au lieu de fin d'année dernière (13 avions livrés sur 15 en 2023).
Les problèmes de supply chain sont par contre plus important pour la production de la gamme civile
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OK, bon après la source n'est pas en béton armé
https://www.capital.fr/entreprises-marc ... me-116799524 mois. C’est la durée de fabrication d’un exemplaire de l’avion, un tiers pour la fabrication des pièces principales, un tiers pour l’assemblage des sous-ensembles, un tiers pour finaliser l’ensemble. 7.000 emplois dépendent du programme Rafale, entièrement fabriqué en France (en Ile-de-France, en Aquitaine et en Midi-Pyrénées). Outre Dassault (pour la maîtrise d’œuvre), Thalès (pour l’électronique) et Safran (pour les moteurs), 500 sous-traitants sont nécessaires à sa fabrication dans toute la France.
Après la multiplication des commandes du Rafale (18 en 2024, 60 en 2023 et 92 en 2022), Dassault Aviation s'est mis en ordre de marche pour augmenter la cadence de production de l'avion de combat tricolore. « Nous passons d'une cadence, qui était quasiment inférieure à un en 2020, où cela devenait vraiment critique, à une cadence 3. Aujourd'hui, nous sommes à cadence 2 », a expliqué en décembre le PDG de Dassault Aviation Eric Trappier lors d'une rencontre avec l'Association des journalistes de défense (AJD). L'avionneur atteindra la cadence de trois Rafale par mois « fin 2024 », a estimé le patron de Dassault Aviation (...)
Cette montée en puissance de la production du Rafale se déroule au moment où la chaîne de sous-traitance aéronautique rencontre de profondes difficultés récurrentes. Le Rafale est également concerné par cette problématique. « Nous observons certains retards sur les livraisons de Rafale mais ils ne sont pas du même niveau que les Falcon », a d'ailleurs constaté Eric Trappier. Pour gagner un point de cadence, Dassault Aviation a besoin en règle générale d'un an environ mais avec les difficultés de la chaîne « un petit peu plus », a-t-il précisé. Et pour fabriquer un Rafale - des pièces primaires à la livraison - il faut environ 36 mois à l'avionneur.
L'avionneur estime que la cadence de trois Rafale par mois est compatible avec les contrats signés, y compris la commande entérinée fin décembre par le ministère des Armées (42 appareils) tout en obtenant quelques contrats supplémentaires à l'export. Enfin, Dassault Aviation se dit capable, à condition d'obtenir de nouvelles commandes (Inde, Arabie Saoudite...) de passer à une cadence de quatre Rafale par mois. L'usine de Mérignac est capable de soutenir une telle cadence, a assuré Eric Trappier.
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Ce n'est pas impossible selon ce qu'on entend par "fabrication". En l'occurrence je n'ai pas l'impression que ça prenne en compte les matières premières, pourtant nécessaires à la fabrication.
Les matières premières, ça fait remonter loin
Je ne parle pas de l'extraction, mais l'approvisionnement prend un temps non négligeable.
Bon, l'info sur le Su-35 rappelle l'info (jamais confirmée et rapidement retirée du media d'origine...) sur les essais, en Egypte, entre le Rafale et les Su-35. Su-35 qui ne sont, dans la réalité, jamais allés jusqu'en Egypte (de ce que l'on en sait). Quant aux essais du Rafale contre les F-16 indonésiens, aucune source n'est citée et je vois mal les Indonésiens divulguer ce genre d'info (si tant est que les essais en question aient eu lieu et que les résultats aient été ceux-là...)(...)
Among these high-tech sensors is the SAGEM OSF Infrared Search and Track [IRST] system. This compact, powerful tool gives the Rafale the capability to detect and track fifth-generation stealth fighters, as well as the lighter Chinese Su-35. “A nose-mounted infrared search and track system, the Thales/SAGEM OSF optoelectronic circuit, autonomously carries out target search, identification, telemetry, and tracking,” insiders revealed.
The Indonesian F-16s attempted to evaluate the prowess of the SAGEM OSF system, which could spot them from over 100 km away. At a stretch of 70 km, visuals from the Indonesian F-16 began pouring into the Rafale’s tracking system. This detailed visual intelligence included information about the F-16’s shape, the weapons it was armed with, and its speed. It’s fair to say that the Su-35, formidable as it is, simply cannot match the Rafale’s detailed analytic potential.
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En lisant l'article (qui n'est pas très clair), je comprends qu'il y a eu des démonstrations contre leur F-16A/B, mais que la comparaison avec le Su-35 est uniquement sur le papier, sur la base des technologies employées.Deltafan a écrit : ↑dim. mars 10, 2024 1:55 pmA prendre avec de (très, très) grosses pincettes :
Article Bulgarian Military, avec le titre : Rafale’s IRST is capable of detecting stealth and China’s Su-35
https://bulgarianmilitary.com/2024/03/0 ... nas-su-35/
Bon, l'info sur le Su-35 rappelle l'info (jamais confirmée et rapidement retirée du media d'origine...) sur les essais, en Egypte, entre le Rafale et les Su-35. Su-35 qui ne sont, dans la réalité, jamais allés jusqu'en Egypte (de ce que l'on en sait). Quant aux essais du Rafale contre les F-16 indonésiens, aucune source n'est citée et je vois mal les Indonésiens divulguer ce genre d'info (si tant est que les essais en question aient eu lieu et que les résultats aient été ceux-là...)(...)
Among these high-tech sensors is the SAGEM OSF Infrared Search and Track [IRST] system. This compact, powerful tool gives the Rafale the capability to detect and track fifth-generation stealth fighters, as well as the lighter Chinese Su-35. “A nose-mounted infrared search and track system, the Thales/SAGEM OSF optoelectronic circuit, autonomously carries out target search, identification, telemetry, and tracking,” insiders revealed.
The Indonesian F-16s attempted to evaluate the prowess of the SAGEM OSF system, which could spot them from over 100 km away. At a stretch of 70 km, visuals from the Indonesian F-16 began pouring into the Rafale’s tracking system. This detailed visual intelligence included information about the F-16’s shape, the weapons it was armed with, and its speed. It’s fair to say that the Su-35, formidable as it is, simply cannot match the Rafale’s detailed analytic potential.
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Pour le Su-35, je pense qu'ils ont pompé le vieil article, qui était, selon toute vraisemblance, un fake, sur les essais égyptiens Su-35 - Rafale.jojo a écrit : ↑dim. mars 10, 2024 7:23 pmEn lisant l'article (qui n'est pas très clair), je comprends qu'il y a eu des démonstrations contre leur F-16A/B, mais que la comparaison avec le Su-35 est uniquement sur le papier, sur la base des technologies employées.Deltafan a écrit : ↑dim. mars 10, 2024 1:55 pmA prendre avec de (très, très) grosses pincettes :
Article Bulgarian Military, avec le titre : Rafale’s IRST is capable of detecting stealth and China’s Su-35
https://bulgarianmilitary.com/2024/03/0 ... nas-su-35/
Bon, l'info sur le Su-35 rappelle l'info (jamais confirmée et rapidement retirée du media d'origine...) sur les essais, en Egypte, entre le Rafale et les Su-35. Su-35 qui ne sont, dans la réalité, jamais allés jusqu'en Egypte (de ce que l'on en sait). Quant aux essais du Rafale contre les F-16 indonésiens, aucune source n'est citée et je vois mal les Indonésiens divulguer ce genre d'info (si tant est que les essais en question aient eu lieu et que les résultats aient été ceux-là...)(...)
Among these high-tech sensors is the SAGEM OSF Infrared Search and Track [IRST] system. This compact, powerful tool gives the Rafale the capability to detect and track fifth-generation stealth fighters, as well as the lighter Chinese Su-35. “A nose-mounted infrared search and track system, the Thales/SAGEM OSF optoelectronic circuit, autonomously carries out target search, identification, telemetry, and tracking,” insiders revealed.
The Indonesian F-16s attempted to evaluate the prowess of the SAGEM OSF system, which could spot them from over 100 km away. At a stretch of 70 km, visuals from the Indonesian F-16 began pouring into the Rafale’s tracking system. This detailed visual intelligence included information about the F-16’s shape, the weapons it was armed with, and its speed. It’s fair to say that the Su-35, formidable as it is, simply cannot match the Rafale’s detailed analytic potential.
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Pourquoi le Su-35 ?
Car c'est le dernier type acheté à la Russie par la Chine.
Toutefois, il n'est pas impossible que les Chinois aient fini par installer des systèmes plus performants sur les versions domestiques...
Ce ne sont plus des pincettes, c'est de la tenaille qu'il faut prendre.
Ce qui m'intéresserait c'est de savoir si les distances sont bien celles indiquées par l'article. Mais j'imagine que Dassault ne va pas nécessairement communiquer là-dessus (d'où mon "étonnement" à ce que les Indonésiens le fassent, si l'info concernant les tests avec les F-16 est vraie).
Et, comme d'habitude, une pensée émue pour tous les journalistes des médias généralistes français qui nous ont annoncé pendant des années, jusqu'en 2015, que le Rafale était "invendable" et "trop cher" (dédicace spéciale aux deux de l'émission du matin sur BFM TV, le masculin volant quelques années plus tard en place arrière d'un Rafale B, à l'occasion d'un reportage sur le défilé aérien du 14 juillet, et qualifiant alors le Rafale de "fleuron de l'aviation militaire française"...)Comparer deux périodes de cinq ans, comme le fait le Stockholm International Peace Research Institute [SIPRI] permet de s’affranchir des fluctuations annuelles et de déterminer les grandes tendances en matière de ventes d’armes ou de dépenses militaires au niveau mondial. Ainsi, en 2023, après avoir comparé les périodes 2013-17 et 2018-22, l’institut suédois avait suggéré que, au regard des contrats signés au cours de ces dernières années, les exportations françaises d’équipements militaires allaient doubler celles de la Russie, les parts de marché de l’industrie russe de l’armement ayant accusé une chute de 31%. Ce qui s’est effectivement confirmé.
En effet, dans sa dernière étude sur le marché mondial de l’armement [.PDF], le SIPRI relève que les « exportations d’armes de la France ont augmenté de 47 % entre 2014-18 et 2019-23, ce qui en fait, pour la première fois, le deuxième plus grand exportateurs d’armes au monde, juste devant la Russie », laquelle a vu les siennes chuter de 53 %.
Cette « performance » française s’explique en grande partie par les livraisons de chasseurs-bombardiers Rafale [avec leurs armements] à l’Inde, au Qatar et à l’Égypte. Il y a tout lieu de penser que cette tendance s’affermira dans les prochaines années au regard des nouvelles commandes de Rafale [Émirats arabes unis, Indonésie, Grèce, Croatie], des achats de Frégates de défense et d’intervention [FDI] par Athènes et des contrats concernant le CAESAr [Camion équipé d’un système d’artillerie] ou bien encore le programme SCORPION [avec la Belgique]. En outre, d’autres ventes potentielles, importantes, sont sur le point de se concrétiser, notamment en Inde, qui a l’intention de se procurer 26 Rafale Marine et trois sous-marins Scorpène supplémentaires.
Pour rappel, en 2022, le montant total des commandes à l’exportation notifiées à l’industrie française de l’armement a atteint le montant de 27 milliards d’euros, pulvérisant ainsi le record de 16,9 milliards établi en 2015. « La France profite de la forte demande mondiale pour dynamiser son industrie d’armement par le biais des exportations », souligne Katarina Dokic, une chercheuse du SIPRI.
Ah oui, le Rafale bashing, un marronnier de l'époque...Deltafan a écrit : ↑lun. mars 11, 2024 1:56 pm...
Et, comme d'habitude, une pensée émue pour tous les journalistes des médias généralistes français qui nous ont annoncé pendant des années, jusqu'en 2015, que le Rafale était "invendable" et "trop cher" (dédicace spéciale aux deux de l'émission du matin sur BFM TV, le masculin volant quelques années plus tard en place arrière d'un Rafale B, à l'occasion d'un reportage sur le défilé aérien du 14 juillet, et qualifiant alors le Rafale de "fleuron de l'aviation militaire française"...)
Rafale : les secrets de l'avion star de l'armée
21:10 - 22:35
Depuis de longues années, le Rafale fait la fierté de la France. Ce bijou de technologie, signé Dassault Aviation, est l'un des avions de combat les plus performants au monde.