Nouvelles de l'espâââce...

[EREBUS]

je me suis jamais fait traiter d'insignifant avec autant d'élégance!



A regarder en intégralité! Celà vaut le coup!

[Deltafan]

je me suis jamais fait traiter d'insignifant avec autant d'élégance!
A regarder en intégralité! Celà vaut le coup!

Très intéressant, merci.

[ceramix]

Mince alors, 'à long terme' les cours du fer vont chuter, on risque le krach financier cosmique.

Un peu dans le même esprit, mais romancé façon Da Vinci code, il y avait 'La formule de Dieu' de Jose Rodrigues dos Santos qui se laissait lire.

[Deltafan]

Article Capital, avec le titre : L’incroyable plan de la NASA pour se débarrasser de la station spatiale internationale

https://www.msn.com/fr-fr/finance/other ... li=BBoJvSH

L'agence spatiale américaine a annoncé vouloir exploiter l'ISS jusqu'en 2030 avant que celle-ci ne s'écrase dans une partie reculée de l'océan Pacifique, connue sous le nom de point Nemo. Un rapport, remis au Congrès, détaille le plan complet pour assurer la transition.
(...)

[Deltafan]

Article Sciences et Avenir, avec le titre : La Terre possède bien un deuxième astéroïde troyen, et il est gros

https://www.sciencesetavenir.fr/espace/ ... ros_161150

(...)
c'est seulement en 2011 que les astronomes de l'Université d'Athabasca au Canada ont découvert 2010 TK7, le premier troyen connu. Et plus de dix ans plus tard, le second vient d'être confirmé.
Les troyens représentent une classe d'astéroïdes qui partagent la même orbite qu’une planète, ils se situent juste devant ou juste derrière elle. Ils ne risquent cependant pas d’entrer en collision avec l'astre qu’ils précèdent ou poursuivent car leurs orbites sont considérées comme stables. Ce sont des objets très sombres, vieux de plusieurs milliards d'années. Ils ont la même composition que les briques qui ont formé les planètes rocheuses du système solaire et c'est pour cela que leur étude est importante afin de mieux comprendre comment elle se sont formées.
(...)
les astronomes en sont désormais convaincus : 2020 XL 5 est bien le deuxième astéroïde troyen de la Terre et c'est même le plus gros. En effet : "les données de SOAR nous ont permis de faire une première analyse photométrique de l'objet, révélant que 2020 XL 5 a probablement une taille supérieure à un kilomètre", explique dans un communiqué Toni Santana-Ros, de l'Université d'Alicante.
Les analyses ont également indiqué que l'astre est un astéroïde de type C, très sombre car il contient beaucoup de carbone, comme les très nombreux objets similaires qui voyagent dans le système solaire. Ils peuvent se retrouver en équilibre dans des zones bien spéciales de l'orbite d'une planète, appelées points de Lagrange. Toutefois, 2020 XL 5 ne sera pas éternellement un compagnon de la Terre : il restera stable dans sa position pendant encore au moins 4000 ans, mais il finira par être perturbé par la gravitation et s'échappera pour errer dans l'espace explique les scientifiques dans la revue Nature Communications.
2020 XL 5 et 2010 TK 7 ne sont peut-être pas seuls et il pourrait y en avoir beaucoup plus qui n'ont jusqu'à présent pas été détectés car ils apparaissent près du Soleil dans le ciel. Pour les repérer, il faut pointer les télescopes près de l'horizon, au lever et au coucher de notre étoile, à travers la partie la plus épaisse de l'atmosphère, ce qui gène les observations. Mais les recherches se poursuivent car proches de la Terre, ils constituent des cibles idéales pour des missions d'exploration à faible coût. Ils pourraient même s'avérer être des réserves de ressources minérales, pour des explorations plus lointaines dans le système solaire.

[Kakumei]

Je connais bien Martin Connors un des découvreurs de 2010 TK7.
Son labo d'etudes des aurores Boreals est genial et il a un wifi gigabit

[Kakumei]

Starlink a perdu 40 des 49 satellite de la dernière mission de SpaceX a cause d'une éruption solaire.


https://www.spacex.com/updates/

[Kakumei]

Grosse ratée de pour Astra

[Kakumei]

1er selfie et image prise par le J Webb telescope



https://blogs.nasa.gov/webb/2022/02/11/ ... -18-times/

[Deltafan]

Article Futura Sciences, avec le titre : Une 3e planète confirmée autour de Proxima du Centaure, l'étoile la plus proche du Soleil !

https://www.futura-sciences.com/science ... eil-57481/

Le système triple d'Alpha du Centaure fait rêver les exobiologistes (...) depuis longtemps. Non seulement parce qu'il s'agit des étoiles les plus proches du Soleil mais aussi en raison des caractéristiques des étoiles de son sous-système double Alpha Centauri AB. En effet, Alpha Centauri A est une étoile de type spectral G2, c'est-à-dire une naine jaune très semblable au Soleil, et Alpha Centauri B, un peu moins lumineuse, est de type spectral K1, donc d'un type proche du Soleil.
(...)
Alpha Centauri C, ou Proxima Centauri, est, quant à elle, une naine rouge de classe M, non visible à l'œil nu bien qu'elle soit l'étoile la plus proche du Soleil à une distance de 4,24 années-lumière en raison de sa faible luminosité. Depuis quelques années, les astrophysiciens découvrent des exoplanètes autour de Proxima Centauri. Proxima Centauri b, la première découverte, est très intéressante car sa masse est proche de celle de la Terre et elle se trouve à une distance de son étoile qui pourrait la rendre habitable.
(...)
découverte d'une troisième exoplanète autour de Proxima Centauri que vient d'annoncer une équipe d'astronomes utilisant le Very Large Telescope de l'Observatoire européen austral (VLT de l'ESO) au Chili
(...)
Le communiqué de l'ESO (...) annonce également qu'il s'agit d'une des exoplanètes les plus légères détectées à ce jour en orbite autour d'une étoile. Comme l'explique la publication au sujet de cette découverte dans le célèbre journal Astronomy & Astrophysics, c'est grâce à la méthode des vitesses radiales qu'on le sait, méthode qui a été mise en pratique en mesurant des décalages spectraux par effet Doppler à l'aide de l'instrument Espresso (pour Echelle SPectrograph for Rocky Exoplanets and Stable Spectroscopic Observations) équipant le VLT.

[Milos]

On pense depuis quelques temps qu'il doit y avoir tout un système de planètes dans ce coin. Cette confirmation est vraiment une bonne nouvelle.

elle se trouve à une distance de son étoile qui pourrait la rendre habitable

Dans un système à trois étoiles, je me demande quelles peuvent être les conditions sur cette planète ?

[Deltafan]

On pense depuis quelques temps qu'il doit y avoir tout un système de planètes dans ce coin. Cette confirmation est vraiment une bonne nouvelle.

elle se trouve à une distance de son étoile qui pourrait la rendre habitable

Dans un système à trois étoiles, je me demande quelles peuvent être les conditions sur cette planète ?

Ben ça se présente pas trop bien...

https://www.nationalgeographic.fr/espac ... -proxima-b

J'espère que le jour où on pourra voir ce qui se passe autour d'Alpha Centauri A (étoile jaune comme la nôtre, contrairement à l'étoile orange d'Alpha Centauri B ou l'étoile rouge de Proxima Centauri), il y aura une planète plus ou moins de la taille de la Terre (plutôt plus que moins, pour la conservation de l'atmosphère) dans la zone dite "habitable"... (L'espoir fait vivre...)

[Kakumei]

SpaceX vers Mars. Video présentée lors du show d'Elon la semaine dernière.

[Deltafan]

SpaceX vers Mars. Video présentée lors du show d'Elon la semaine dernière.

Merci

Je ne sais pas si c'est vraiment réaliste, mais j'aime

[Kakumei]

Ce qui est bien dans sa présentation c'est qu'il a dit que c'était super dangereux. Que ceux qui iront sur Mars risqueront leur vie, que certains y laisseront leur peau. En gros c'est pas une ballade de santé.

[EREBUS]

Ce qui est bien dans sa présentation c'est qu'il a dit que c'était super dangereux. Que ceux qui iront sur Mars risqueront leur vie, que certains y laisseront leur peau. En gros c'est pas une ballade de santé.

Vrai.
Sans compter l'impact sur le moral des astronautes quand la terre sera confondue avec les autres étoiles en se trouvant sur le sol matien ou en orbite!

[Deltafan]

Ce qui est bien dans sa présentation c'est qu'il a dit que c'était super dangereux. Que ceux qui iront sur Mars risqueront leur vie, que certains y laisseront leur peau. En gros c'est pas une ballade de santé.

Vrai.
Sans compter l'impact sur le moral des astronautes quand la terre sera confondue avec les autres étoiles en se trouvant sur le sol matien ou en orbite!

C'est sûr. J'imagine aussi que l'atterrissage sur Mars ne sera pas une "science exacte" avant un sacré moment (si ça arrive un jour), en particulier dans les débuts... Et les premiers qui rateront leur atterrissage, même s'ils s'en sortent, mais qu'il n'y a pas (encore) moyen de se soigner ou même de repartir (avant l'arrivée de secours)... Les premiers temps seront héroïques, mais, aussi, très certainement, tragiques...

[ironclaude]

Ce qui est bien dans sa présentation c'est qu'il a dit que c'était super dangereux. Que ceux qui iront sur Mars risqueront leur vie, que certains y laisseront leur peau. En gros c'est pas une ballade de santé.

Vrai.
Sans compter l'impact sur le moral des astronautes quand la terre sera confondue avec les autres étoiles en se trouvant sur le sol matien ou en orbite!

Et l'aller-retour Terre-Mars, il y en a pour plus de 2 ans...

Si on a une situation à la Apollo 13 lors du voyage aller... adieu !

[Kakumei]

Les Starlink detruit par l'éruption solaire rentres dans l'atmosphère

[Kakumei]

Suite aux événements en Ukraine. Roscosmos arrête sa collaboration avec l'ESA et retire tous ses personnels de Kourou.

[Deltafan]

Article Numerama, avec le titre : La France confirme une cyberattaque contre une liaison satellite, qui a affecté des Français

https://www.numerama.com/cyberguerre/87 ... ncais.html

Le dysfonctionnement du réseau satellitaire ViaSat depuis le jour de l’invasion russe en Ukraine n’est pas le fait du hasard. Alors que la piste d’une cyberattaque est évoquée depuis plusieurs jours, elle a été confortée par le commandement de l’espace français.
La piste de l’attaque informatique contre un réseau satellitaire est désormais confirmée — en tout cas par l’État-major français. À l’occasion d’un point presse tenu par le ministère des Armées le 3 mars 2022, le commandement de l’espace a confirmé que l’origine du dysfonctionnement observé avec le satellite Ka-Sat depuis le 24 février est bien une cyberattaque.
C’est le général Michel Friedling, patron du commandement spatial, qui l’a fait savoir publiquement. Son intervention, synthétisée sur Twitter par le journaliste Vincent Lamigeon, et disponible sur YouTube, fait état d’une opération contre le réseau satellitaire ViaSat, qui opère Ka-Sat. Le satellite, qui couvre l’Europe et notamment l’Ukraine, rencontre depuis lors des difficultés à fonctionner.
(...)
Le ministère se garde toutefois de passer à l’étape de l’attribution, c’est-à-dire de pointer du doigt un responsable de la cyberattaque. L’affaire, naturellement, est sensible : si, compte tenu des circonstances, les regards se tournent vers la Russie, Paris entend manifestement ménager Moscou dans la perspective de maintenir un dialogue diplomatique au sujet de la guerre en Ukraine.
(...)
Cet évènement cyber, qui a été envisagé très tôt, a été détecté le 24 février, jour de l’invasion russe en Ukraine. Depuis lors, la situation n’est toujours pas pleinement résolue, y compris en France, car le satellite est utilisé par l’opérateur NordNet pour commercialiser des abonnements. Le nombre de victimes dans l’Hexagone est évalué à quelques dizaines de milliers.
Dans un point d’étape du 2 mars, NordNet a déclaré que ViaSat lui a fait savoir que « l’interruption partielle de service sur son satellite Ka-Sat pourrait être la conséquence d’un cyber-événement ». Le fournisseur d’accès à Internet a ajouté poursuivre les efforts avec ViaSat pour rétablir la connexion, alors que l’incident a lieu maintenant depuis plus d’une semaine.

[Deltafan]

Article RFI, avec le titre : Les dommages collatéraux de la guerre en Ukraine dans le domaine spatial

https://www.rfi.fr/fr/podcasts/aujourd- ... s-l-espace

(...)
Un lanceur Soyouz opéré par OneWeb et Arianespace devait s’élancer ce samedi de Baïkonour avec 36 satellites à bord. L’agence Russe Roscosmos a lancé un ultimatum à la Grande-Bretagne pour qu’elle retire sa participation dans l’entreprise OneWeb. Le gouvernement britannique ne vend pas sa part, a répondu Londres. Moscou exigeait aussi des garanties juridiques pour que OneWeb n’utilise pas ces satellites à des fins militaires.

La Russie a également annoncé la semaine dernière suspendre ses lancements spatiaux depuis la base de Kourou en Guyane. Son personnel technique, 87 personnes en tout, est déjà sur le chemin du retour.

Moscou va aussi cesser de fournir des moteurs de fusées aux États-Unis. Le directeur de l'agence spatiale russe a commenté cette décision de la façon suivante : « Laissons-les aller dans l’espace sur leurs balais ». La Russie a livré un total de 122 moteurs de fusée RD-180 aux États-Unis depuis les années 1990, dont 98 ont permis de propulser des lanceurs Atlas.
L’agence spatiale russe va également cesser d’assurer la maintenance des 24 moteurs déjà livrés. La Russie va désormais se concentrer sur le développement d'engins spatiaux à double usage, comprenez à usage civil mais aussi à usage militaire.

Premier sujet d'inquiétude : la Station Spatiale internationale où cohabitent actuellement quatre Américains, deux Russes et un Allemand. La semaine dernière, Moscou a accusé les États-Unis de vouloir « détruire » cette coopération. Le directeur de l'agence spatiale russe est allé jusqu'à évoquer la menace que le vaisseau de 500 tonnes ne s'écrase sur l'Inde ou sur la Chine. Depuis, la Russie a dit se retirer des programmes scientifiques conjoints bilatéraux au sein de l'ISS.
Coté européen, l'Agence spatiale européenne a déclaré qu'elle « prenait acte » des annonces russes et qu'elle cherchait des solutions de remplacement sur la base de Kourou. Trois tirs étaient prévus cette année avec Soyouz : deux pour la constellation de navigation européenne Galileo, un autre pour le satellite espion français CSO-3. Et la vraie difficulté pourrait bien se situer là : Ariane VI n'est pas encore opérationnelle. Son premier vol est attendu pour décembre prochain.

Le lanceur léger Vega devait aussi être lancé en mai pour son vol inaugural, mais il ne peut lancer que de petites charges. Soyouz avait toutes les caractéristiques pour servir de plan B en cas de problème, plus maintenant. L'entreprise Arianespace pourrait voir ses clients se tourner vers la concurrence.

Autre ombre au tableau pour la mission ExoMars 2022
Une mission dans laquelle les Russes sont fortement impliqués puisqu'ils fournissent le lanceur Proton qui devait partir à l'automne prochain sur Mars pour poser un rover de 300 kg à la surface de la planète rouge à l'aide d'un module de descente également de conception russe.
C'est la mission européenne la plus ambitieuse de l'année. Un projet qui remonte à une vingtaine d'années et qui a déjà dû être reporté deux fois. La fenêtre de tir pour aller sur Mars ne se représente que tous les deux ans. La mission est aujourd'hui fortement compromise a écrit l'Agence spatiale européenne, sans donner de précisions sur l'avenir de la mission.

[EREBUS]

Dommage plus particulièrement pour la mission ExoMars 2022: les fenêtres de tir très favorables ne sont pas très fréquentes (tous les 2 ans).

[Deltafan]

Je l'avais raté :

Information/communication AIEA, avec le titre : Nuclear Technology Set to Propel and Power Future Space Missions, IAEA Panel Says

https://www.iaea.org/newscenter/news/nu ... panel-says

Humanity is poised to embark on a new age of space travel to Mars, our solar system and beyond as nuclear power and related technologies promise to make interplanetary missions faster, more efficient and economical. These were the conclusions of a panel of international experts from the public and private sectors at this week’s IAEA webinar, “Atoms for Space: Nuclear Systems for Space Exploration”.
Advances in both nuclear fission and fusion will be indispensable for deep-space travel, they agreed, also highlighting that nuclear energy could supply electricity for onboard systems and instrumentation, and power a sustained human presence on celestial bodies in the solar system.
(...)
Nuclear fission derives energy from splitting atomic nuclei, while nuclear fusion does so by joining them, releasing energy in the process. Webinar participants heard about systems that can use both fission and fusion for spacecraft propulsion, extra-terrestrial surface power and power for onboard spaceship systems.

Spacecraft propulsion
Rockets lifting off from Earth will depend on chemical fuels for the foreseeable future. However, once in orbit, nuclear engines could take over and provide propulsion to accelerate spacecraft through space.

“Crewed interplanetary missions of the future will almost certainly require propulsion systems with performance levels greatly exceeding that of today’s best chemical engines,” said William Emrich, former Lead Project Engineer at NASA, adding that a solid candidate to be used for space travel is nuclear thermal propulsion (NTP).

In NTP, a nuclear fission reactor heats up a liquid propellant, like hydrogen. The heat converts the liquid into a gas, which expands through a nozzle to provide thrust and propel a spacecraft. The advantages of NTP are that space flights would need to lift less fuel into space, and NTP engines would reduce trip times – cutting travel time to Mars by up to 25 per cent compared traditional chemical rockets. Reduced time in space also reduces astronauts’ exposure to cosmic radiation.

Nuclear electric propulsion (NEP), on the other hand, is an option in which the thrust is provided by converting the thermal energy from a nuclear reactor into electrical energy, eliminating the associated NTP needs and limitations of storing propellants onboard. In NEP, the thrust is lower but continuous, and the fuel efficiency far greater, resulting in a higher speed and potentially over 60 per cent reduction in transit time to Mars compared to traditional chemical rockets.

“For space missions that need high electric power output, such as a human Mars mission or space ferries, a fission reactor-based power system can be a very competitive choice,” said Hui Du of the Beijing Institute of Spacecraft System Engineering, citing a China Academy of Space Technology study in 2015, which found that a human Mars mission would not be feasible without space nuclear reactors.

An NEP system being developed by Ad Astra Rocket Company, the Variable Specific Impulse Magnetoplasma Rocket (VASIMR), is a plasma rocket in which electric fields heat and accelerate a propellant, forming a plasma, and magnetic fields direct the plasma in the proper direction as it is ejected from the engine, creating thrust for the spacecraft. Unlike traditional NEP, the VASIMR design would enable the processing of large amounts of power while retaining the high fuel efficiency that characterizes electric rockets.

“In the near term, we envision the VASIMR engine supporting a wide array of high-power applications from solar electric in cislunar space, to nuclear-electric in interplanetary space,” said Franklin Chang Díaz, CEO of Ad Astra Rocket Company. “On a longer term, the VASIMR could be a precursor to future fusion rockets still in the conceptual stage,” he added.

Fusion rockets, like the Princeton Field Reversed Configuration reactor concept under development at the Princeton Plasma Physics Laboratory, would have the advantage of producing a direct fusion drive (DFD), directly converting the energy of the charged particles produced in the fusion reactions into propulsion for the spacecraft.

“A DFD can produce specific power several orders of magnitude higher than other systems, reducing trip times and increasing payloads, thus enabling us to reach deep space destinations much faster,” said Stephanie Thomas, Vice President of Princeton Satellite Systems, who discussed possible DFD-powered missions into near-interstellar space, human Mars missions and lunar base surface power. She also explained that a DFD could have the advantages of its small size and the need for very little fuel – a few kilograms could power a spacecraft for ten years.


Extra-terrestrial surface power
Nuclear reactors could also be used to provide astronauts with a reliable source of surface power for extended exploration missions and a possible sustained human presence on other planetary bodies, supplying power for decades without need for refuelling. Fission surface power reactor designs are microreactors that could provide electrical power in the range of tens of kW for a period spanning from one to a few decades. The current focus is on using low enriched uranium fuels or high-assay low enriched uranium fuels.
“NASA’s priority focus remains on designing, building and demonstrating a low enriched uranium fission surface power system that has broad applications for the lunar surface initiative as well as our eventual mission to Mars with humans, scalable to power levels above 100 kWe, and has the potential to advance NEP system needs,” said Anthony Calomino, Space Nuclear Technology Portfolio Manager at NASA.
(...)


Power for onboard spaceship systems
Besides thrust, spaceships need electrical power to maintain life support systems, communications and other hardware. Radioisotope thermoelectric generators (RTGs), which have powered the Voyager spacecraft over several decades far away from the sun, were highlighted for their potential to supply long-term heat and electricity to future spacecraft onboard systems in the cold temperatures of hard space, without any maintenance.

Future nuclear-based solutions for thrust, such as the DFD, might also simultaneously be able to provide electricity. “Our studies show that a direct drive fusion-powered rocket engine can produce both power and thrust with the best performance, generating electric power and propulsion from a single engine,” said Thomas.
(...)

[Deltafan]

De quoi contredire certaines affirmations complotistes... :

Article A&C, avec le titre : Le site de la mission Apollo 11 dans l’objectif d’une sonde indienne

https://air-cosmos.com/article/le-site- ... enne-28747

(...)
Lancée le 22 juillet 2019 et évoluant autour de la Lune depuis le 1er septembre suivant sur une orbite d’environ 100 km d’altitude, la sonde indienne Chandrayaan 2 a récemment photographié les lieux où se sont posés les modules lunaires des missions américaines Apollo 11 et Apollo 12, en juillet et novembre 1969, à l’aide de sa caméra à haute résolution OHRC (Orbiter High Resolution Camera).
(...)
Sur la vue présentée ici, apparaît en blanc l’étage de descente du le module lunaire (LEM) Eagle qui a déposé les astronautes Neil Armstrong et Buzz Aldrin dans la nuit du 20 au 21 juillet 1961.
L’image est suffisamment détaillée pour distinguer, sur la droite, l’ombre de deux des quatre pieds de l’étage, dont le diamètre ne dépasse pourtant pas… 18 cm !
De même, deux points blancs discernables à gauche de l’engin (près de son échelle) sont les « sacs à dos » des astronautes qui abritaient leur système de survie PLSS (Portable Life Support System) lors de leur « marche » lunaire, qu’ils ont abandonné avant leur retour sur Terre (afin d’économiser de la masse).
Le trait horizontal situé en haut et à droite des restes du LEM correspond, lui, à l’ombre du mat de la caméra de télévision noir et blanc qui a permis de retransmettre en direct les images des premiers pas sur la Lune.
Enfin, au sud du LEM, figure un point blanc plus brillant que les autres, sans que l’on sache s’il s’agit du réflecteur laser ou du sismomètre déposés par Buzz Aldrin.
(...)