...mais les suédois gardent à l'oeil l'île de Gotland. Et donc l'OTAN aussi, qui bizarrement se sent plus proche de la Suède que de la Russie
![Wink ;)](./images/smilies/wink.gif)
Mais là, c'est la Belgique qui veut envahir....
Clairement je comprends les russes : l'OTAN est à leur porte et les encercle.Deltafan a écrit : ↑ven. janv. 28, 2022 1:13 pmArticle France Info, avec le titre : Crise entre l'Ukraine et la Russie : où sont déployées les forces militaires dans l'est de l'Europe ?
https://www.francetvinfo.fr/monde/europ ... 30265.html
Ukraine.png
C'est la nouveauté de ce nouveau "round" de menaces. Les exercices Russes et la "guerre imminente" on y a déjà eu le droit l'année dernière, mais l'axe Biélorusse n'était alors pas ostensiblement renforcé. Sur ce flanc la frontière est à 70km de Kiev et il y a possibilité d'enroulement par l'ouest. Cette "nouveauté" oblige les ukrainiens à se renforcer dans la région. Si on inclut la Transnistrie, les Russes peuvent passer par les quatre points cardinaux...
(...)
En avril 2022 les Rafale Marine F3R, accompagnés d’un Hawkeye, traverseront le Bosphore afin s’exerce avec la Fortele Aeriene Romane au-dessus de la Mer Noire. L’occasion pour la chasse roumaine de frotter de près ses General Dynamics F-16MLU Fighting Falcon à une des meilleures aéronavales du monde. Il faut noter que le porte-avions Charles de Gaulle demeurera durant tout l’exercice en Méditerranée.
(...)
Oh ben oui, alors, ça c'est notable. Alors que d'habitude, tous les porte-avions du coins passent une tête pour dire bonjour.Avions Légendaires a écrit :Il faut noter que le porte-avions Charles de Gaulle demeurera durant tout l’exercice en Méditerranée.
Le tonnage global que les Puissances non riveraines de la Mer Noire peuvent avoir dans cette mer en temps de paix est limité de la façon suivante:
a) sauf dans le cas prévu au paragraphe (b) ci-après, le tonnage global desdites Puissances n’excédera pas 30.000 tonnes;
b) au cas où, à un moment quelconque, le tonnage de la flotte la plus forte de la mer Noire viendrait à dépasser d’au moins 10.000 tonnes celui de la flotte la plus forte en cette mer à la date de la signature de la présente Convention, le tonnage global de 30.000 tonnes mentionné au paragraphe (a) sera majoré d’autant, jusqu’à concurrence d’un maximum de 45.000 tonnes.
Étant donné l’activité intense des forces russes, tant aux abords de l’Ukraine que dans la région de la Baltique, en Méditerranée ou encore en mer de Norvège, les avions de renseignement de l’Otan, notamment américains, ne chôment guère.
Ainsi, le 30 janvier, au moins six missions ont été effectuées, dont trois par des avions de patrouille maritime P-8A Poseidon [une en mer de Norvège, depuis l’Islande, et deux en Méditerranée]. Un RC-135 Rivet Joint [spécialisé dans la collecte de renseignements d’origine électromagnétique – ROEM] ainsi qu’un CL-600 « ARTEMIS » [Airborne Reconnaissance and Targeting Multi-Mission Intelligence System] de l’US Army ont survolé la mer Noire. Enfin, un drone HALE [Haute Altitude Longue Endurance] RQ-4 Global Hawk a été repéré au-dessus de l’Ukraine.
La veille, une activité de même ampleur a été constatée, à la différence qu’un S-100 Argus [veille radar] et un S-102 Korpen [guerre électronique] suédois étaient de la partie, bien que la Suède ne fasse pas partie de l’Otan. De même qu’un E-8C « Joint Stars » américain.
Mais un autre appareil devrait très prochainement entrer dans la danse. En effet, le 30 janvier au matin, un avion WC-135 « Constant Phoenix » du 45th Reconnaissance Squadron, dont la mission consiste à détecter les particules radioactives, est arrivé à Mildenhall [Royaume-Uni], avec l’indicatif ATOM01.
(...)