Nouvelles de l'espâââce...

[Milos]

Je trouve que les trois parachutes principaux de la capsule mettent du temps à se déployer complètement (10 secondes).

Le but à terme devrait être l'atterrissage de la fusée avec la capsule.

Jouets de riche, en effet, mais qui font progresser la technique.

[Claymore]

Je pense que si les trois pébroques mettent autant de temps à se déployer complètement c'est pour éviter une décélération trop brutale et risquer de déchirer les voiles

[Milos]

Les trois petits extracteurs avaient ce rôle de ralentisseur avant de lâcher les grands, mais comment empêcher un parachute de s'ouvrir ? Ils sont extraits 3.000 ft mais ne se déploient qu'à 2.200 ft. Est ce que la vitesse peut provoquer ce phénomène ?

[Deltafan]

moins de 15 minutes

Merci ! J'adore ! Un grand pas pour le tourisme spatial, une nouvelle pierre à l'édifice de la conquête de l'espace !

[ergo]

Les trois petits extracteurs avaient ce rôle de ralentisseur avant de lâcher les grands, mais comment empêcher un parachute de s'ouvrir ? Ils sont extraits 3.000 ft mais ne se déploient qu'à 2.200 ft. Est ce que la vitesse peut provoquer ce phénomène ?

Je connais pas ces parachutes là, mais certains sont conçu pour garder un aspect "torche" tant que la vitesse est trop importante via des systèmes de "clapet" qui empêcher l'air de s'y engouffrer. Les clapets étant maintenu en place par la vitesse, et conçu pour qu'à la bonne vitesse il ne soit plus maintenu et laisse l'air passer, et le parachute se gonfler.

[Kakumei]

Le module Nauka qui doit s'arrimera l'ISS a eu une fuite de carburant. Du fuel se trouve apparemment dans le module. L'équipage de la station ne veut pas qu'il s'approche ou tente de s'arrimer par crainte d'une possible explosion.

[Dédale]

Dans un registre un peu différent Hubble prend à nouveau des images.

https://www.cbsnews.com/news/hubble-shu ... -galaxies/

[ergo]

Le module Nauka qui doit s'arrimera l'ISS a eu une fuite de carburant. Du fuel se trouve apparemment dans le module. L'équipage de la station ne veut pas qu'il s'approche ou tente de s'arrimer par crainte d'une possible explosion.

C'est quoi ta source ? J'ai rien trouvé pour confirmé / avoir du détail sur ce que tu dis là :/

[Kakumei]

Le module Nauka qui doit s'arrimera l'ISS a eu une fuite de carburant. Du fuel se trouve apparemment dans le module. L'équipage de la station ne veut pas qu'il s'approche ou tente de s'arrimer par crainte d'une possible explosion.

C'est quoi ta source ? J'ai rien trouvé pour confirmé / avoir du détail sur ce que tu dis là :/

http://www.russianspaceweb.com

si tu as pas de souscription, tu peux pas y accéder

[Deltafan]

Article NASA, avec le titre : NASA's InSight Reveals the Deep Interior of Mars

https://mars.nasa.gov/news/8996/nasas-i ... r-of-mars/

(...)
Three papers based on the seismometer’s data were published today in Science, providing details on the depth and composition of Mars’ crust, mantle, and core, including confirmation that the planet’s center is molten. Earth’s outer core is molten, while its inner core is solid; scientists will continue to use InSight’s data to determine whether the same holds true for Mars.
(...)
InSight’s seismometer, called the Seismic Experiment for Interior Structure (SEIS), has recorded 733 distinct marsquakes. About 35 of those – all between magnitudes 3.0 and 4.0 – provided the data for the three papers.
(...)
Seismic waves vary in speed and shape when traveling through different materials inside a planet. Those variations on Mars have given seismologists a way to study the planet’s inner structure. In turn, what the scientists learn about Mars can help improve the understanding of how all rocky planets – including Earth – formed.
(...)
Each of the papers in Science focuses on a different layer. The scientists found the crust was thinner than expected and may have two or even three sub-layers. It goes as deep as 12 miles (20 kilometers) if there are two sub-layers, or 23 miles (37 kilometers) if there are three.
Beneath that is the mantle, which extends 969 miles (1,560 kilometers) below the surface.
At the heart of Mars is the core, which has a radius of 1,137 miles (1,830 kilometers). Confirming the size of the molten core was especially exciting for the team.
(...)
Unlike Earth, Mars has no tectonic plates; its crust is instead like one giant plate. But faults, or rock fractures, still form in the Martian crust due to stresses caused by the slight shrinking of the planet as it continues to cool.
(...)
One surprise is that all of InSight’s most significant quakes appear to have come from one area, Cerberus Fossae, a region volcanically active enough that lava may have flowed there within the last few million years. Orbiting spacecraft have spotted the tracks of boulders that may have rolled down steep slopes after being shaken loose by marsquakes.
Curiously, no quakes have been detected from more prominent volcanic regions, like Tharsis, home to three of the biggest volcanoes on Mars. But it’s possible many quakes – including larger ones – are occurring that InSight can’t detect. That’s because of shadow zones caused by the core refracting seismic waves away from certain areas, preventing a quake’s echo from reaching InSight.
(...)
While InSight’s energy level is being managed, its seismometer is still listening and scientists are hopeful they’ll detect a quake bigger than 4.0.
“We’d still love to see the big one,” said JPL’s Mark Panning, co-lead author of the paper on the crust. “We have to do lots of careful processing to pull the things we want from this data. Having a bigger event would make all of this easier.”
(...)

[Deltafan]

Articles OPEX 360, avec les titres :

-Le ministère allemand de la Défense s’intéresse à Aurora, un projet d’avion spatial

http://www.opex360.com/2021/07/27/le-mi ... n-spatial/

(...)
créée à l’ombre du Centre pour l’aéronautique et l’astronautique [Deutsches Zentrum für Luft- und Raumfahrt, ou DLR], la jeune entreprise Polaris Raumflugzeuge développe actuellement le concept d’un avion spatial qui, appelé Aurora, fonctionne grâce à des tuyères de type Aerospike.
« Aurora est conçu pour le décollage et l’atterrissage sur des pistes conventionnelles partout dans le monde, y compris en Allemagne et en Europe. Sa mission principale est le lancement de satellites de 800 à 1000 kg, ce qui permettra ainsi une réduction importante des coûts de lancement par rapport aux lanceurs conventionnels, tout en augmentant fondamentalement la flexibilité, la disponibilité et la sécurité », explique Polaris. Et d’ajouter : « Aurora offrira des capacités uniques pour répondre à divers scénarios de missions suborbitales/hypersoniques, que ce soit pour des activités commerciale ou la défense ».
En clair, cet appareil, avec sa forme en aile volante, pourra être mis en oeuvre comme un avion « classique », à la différence qu’il pourra assurer des missions suborbitales, voire orbitales selon sa configuration.
Et cela intéresse visiblement la Bundeswehr, qui vient de notifier un contrat de 250’000 euros à Polaris Raumflugzeuge afin d’évaluer les applications et le potentiel de cet « avion spatial » pour des missions de renseignement, dans le cadre de son programme RDRS [Rapid Deployable Reconnaissance System].
(...)
Pour le moment, Polaris a fait voler le Stella, un démonstrateur de l’Aurora aux dimensions réduites. Rien n’a été dit pour le moment au sujet des phases suivantes.

-Espace : Pourquoi l’avenir de la dissuasion française est lié à la santé d’ArianeGroup

http://www.opex360.com/2021/07/28/espac ... ianegroup/

Pour la France, l’avenir d’ArianeGroup est crucial non seulement pour conserver la garantie d’un accès fiable à l’espace mais aussi pour assurer la pérennité de la composante océanique de sa dissusion nucléaire, qui repose sur le missile M51. Or, la filiale d’Airbus et de Safran connaît quelques difficultés liées aux retards dans le développement du lanceur Ariane 6 et de la concurrence, qu’elle vienne d’outre-Atlantique, avec notamment SpaceX, ou d’Europe…
Initialement, Ariane 6 aurait dû effectuer son premier vol en juillet 2020. Mais, en raison de difficultés techniques, aggravées par la pandémie de covid-19, cette échéance a été reportée au second trimestre de l’année 2022.
Pour autant, dans un marché marqué par une baisse des coûts de lancement permise par les lanceurs réutilisables de SpaceX [qui peut être d’autant plus compétitif qu’il bénéficie de contrats attribués par le gouvernement américain], Ariane 6 devra être rentable. Pour cela, il était encore récemment estimé qu’il fallait effectuer jusqu’à 12 tirs annuels. Mais encore faut-il trouver des clients…

Aussi, la semaine passée, la France et l’Allemagne ont annoncé avoir trouvé un accord pour « donner à Ariane 6 un avenir institutionnel et commercial », selon les mots de Bruno Lemaire, le ministre français de l’Économie, des Finances et de la Relance.
« Cet accord affirme la préférence européenne en matière de lancement de satellites, et il évite une guerre des lanceurs lourds entre les nations européennes. Je considère donc que c’est un excellent accord […] qui nous fait progresser sur la voie de l’indépendance stratégique en matière spatiale », a aussi expliqué M. Le Maire, se félicitant que ce texte allait « ouvrir des perspectives commerciales pour Ariane 6 » et garantir « la coopération sur les micro-lanceurs », sur lesquels mise l’Allemagne, avec pas moins de trois projets portés par des entreprises privées.
Cependant, cet accord, qui prévoit un financement supplémentaire d’Ariane 6 d’environ 140 millions d’euros par an afin de réduire le nombre de tirs nécessaires pour assurer sa rentabilité, doit encore être soumis à l’Italie, qui défend les intérêts de la famille de lanceurs Vega, et de l’Agence spatiale européenne [ESA].

Cela étant, cet accord négocié entre Paris et Berlin a été conclu grâce à une concession que le quotidien Les Échos qualifie de « ruineuse » pour la partie française. En effet, écrit-il, celle-ci concédé à son homologue allemand de transférer en Allemagne, et plus précisément à Lampoldshausen, la production de Vinci, le moteur à propulsion liquide réallumable destiné à propulser le second étage d’Ariane 6.
Une « exigence qui risque de décourager les équipes françaises d’Ariane 6, car, depuis le début des programmes Ariane, l’usine de Vernon, dans l’Eure, a toujours été le berceau des moteurs de fusées, notamment à propulsion liquide, un savoir-faire unique », estime le journal, qui cite une source syndicale selon laquelle un tel transfert équivaudrait à perdre « 40’000 heures de travail ou l’équivalent de 30 emplois à temps plein ». De quoi mettre en péril ce site, faute d’activités compensatoires.
Toutefois, en janvier dernier, il a été confirmé que le site de Vernon aurait à assurer le développement de Prometheus, le démonstrateur d’un moteur réutilisable à très bas coût [il doit dix fois moins cher que le Vulcain 2 d’Ariane 5, ndlr], appelé à équiper les lanceurs qui succéderont à Ariane 6 et à Vega-C. « Le programme France Relance prévoit aussi un investissement destiné à soutenir des projets de diversification du site vernonnais dans les technologies de l’hydrogène », avait aussi souligné ArianeGroup à l’époque.

Reste que le groupe se trouve dans un situation financière qui se dégrade, avec une baisse de son chiffre d’affaires et de son résultat opérationnel. En mars, un plan de « réorganisation », appelé SHIFT [Shaping and Inventing our Future Together], a été annoncé, avec l’objectif de supprimer 2’500 postes d’ici 2025. Ce qui est de nature à faire disparaître des compétences, comme le souligne le syndicat [majoritaire] CFE-CGC.
(...)
Étant donné son rôle de maître d’oeuvre du programme M51, qui génére 7’000 emplois [sous-traitants inclus], ce qui se passe au sein d’ArianeGroup peut évidemment avoir des répercussions sur la dissuasion française… « Sa responsabilité englobe la recherche amont, la conception, le développement et la production des missiles, de leur système sol de mise en œuvre et du système de contrôle et de commande à bord des sous-marins. ArianeGroup assure aussi le maintien en condition opérationnelle du système et son démantèlement en fin de vie », souligne l’entreprise.

[ironclaude]

La coopération avec les Zallemands dans toute sa splendeur

Comme pour l'avion de combat futur: même motif, même punition

Ils ont un melon pas croyable et réclament de plus en plus de maîtrise d'œuvre y compris dans des domaines ou ils n'ont pas la compétence

Et tout ça pour qu'ensuite le Bundesgratte bloque les programmes en question tous les six mois…

Avec des partenaires comme ça, y a pas besoin de concurrents

[phoenix]

Et bis répétita.

[Kakumei]

Nauka s'est enfin arrimée a l'ISS mais a causée une belle frayeur en démarrant ses moteurs entraînant la station dans un mouvement de rotation

[Deltafan]

Article A&C, avec le titre : La Russie aurait elle brouillé le satellite Sentinel-1 européen au-dessus de la Mer Noire ?

https://www.air-cosmos.com/article/la-r ... oire-25227

L’information n’a pas été officiellement confirmée, mais est évoquée par différents sites et blogs pro ukrainiens, photos à l’appui. La Russie aurait utilisé ses moyens de guerre électronique pour tenter de brouiller le satellite européen Sentinel-1 conçu par Thales Alenia Space, alors qu’il était positionné au-dessus de Rostov-sur-le-Don sur la partie orientale de la Mer Noire. A quatre reprises, des salves d’interférences à une fréquence d’environ 5Ghz ont été enregistrées, le 4 juin, puis les 10, 16 et 22 juillet, avec un pattern d'émission jusque là inconnu. La dernière- le 22 juillet-aurait été la plus puissante.
Les sites russes indiquent que ce sont les capacités de renseignement militaire du Sentinel-1 qui auraient été visées. Il existe en réalité deux satellites « Sentinel-1 », le « 1A » (déployé en avril 2014) et le « 1B » (déployé en avril 2016), mais les informations rendues publiques ne mentionnent pas lequel était visé. Le Sentinel-1 est un satellite d’observation de la terre positionné en orbite héliosynchrone à 693 kilomètres d’altitude, qui a la capacité d’opérer de jour comme de nuit. Il est doté d'un radar SAR dont la résolution ne dépasse pas cinq mètres. Les images satellitaires du Sentinel sont exploitées par le Satcen (Centre satellitaire de l’Union Européenne), mais aussi par plusieurs groupes d'investigateurs (Bellincat, Openfacto) spécialisés en sources ouvertes et plusieurs SRP qui se préparent à surveiller le prochain exercice Zapad-21 qui aura lieu dans la zone. Si sa résolution n'offre pas des performances de type "militaire", en revanche le Sentinel est très utile pour surveiller les mouvements de flottes ou de convois terrestres.
En novembre dernier déjà, le grand spécialiste des questions liées au renseignement naval, H. I. Sutton, indiquait sur son site Internet, que le Sentinel-1 avait été victime d’interférences analogues lors de son passage au-dessus de la mer de Barents. Les Russes disposent de moyens nécessaires pour mener de telles opérations depuis le sol avec le véhicules Krasukha 4, très utilisés en Syrie pour brouiller les auto-directeurs radar des missiles, les Awacs, mais aussi les satellites SAR. En outre ce système a été déployé prés de Rostov sur le Don, dans le Kraï de Krasnodar. Une région qui n'est autre que le cluster industriel des spécialistes en guerre électronique (BEMZ, KRET, GRADIENT, KVANT ...), et dont, les concepteurs du Krasukha eux-mêmes.

[Deltafan]

Article AFP/Le Parisien, avec le titre : Mars : échec de Perseverance dans sa première tentative de collecter des roches

https://www.leparisien.fr/sciences/mars ... X2X6IU.php

(...)
Le rover Perseverance a échoué, vendredi, à prélever un morceau de roche sur Mars, a indiqué l’agence spatiale américaine.
(...)
Les données transmises par l’engin vers la Terre indiquent qu’aucun échantillon n’a été récolté dans cette première tentative de prélèvement rocheux. L’agence spatiale américaine avait publié plus tôt dans la journée des photographies montrant clairement, à côté de l’ombre du véhicule, un petit monticule avec un trou en son centre – le premier creusé par le robot sur la planète rouge.
(...)
Le processus de collecte d’un échantillon – de la taille d’une craie et scellé dans un tube hermétique – doit prendre environ onze jours au total.
La collecte de roche sur Mars est importante. Objectif : chercher des signes de vie ancienne, comme des traces de vie microbienne fossilisées dans les roches mais aussi mieux comprendre la géologie martienne.
La mission Mars 2020 – dont fait partie l’astromobile Perseverance – a décollé de Floride il y a un tout petit peu plus d’un an. Le module, qui fait la taille d’un gros SUV, s’est posé le 18 février dans le cratère de Jezero, dont les scientifiques pensent qu’il abritait un profond lac il y a 3,5 milliards d’années. Un environnement qui aurait pu créer les conditions nécessaires à une vie extraterrestre.
La Nasa prévoit une mission chargée de ramener les échantillons sur Terre, dans les années 2030, afin qu’ils soient analysés par des instruments bien plus sophistiqués que ceux pouvant être apportés sur Mars à l’heure actuelle.

Sinon, le 11ème vol d'Ingénuity le 5 août (380m, 2'11")

[Kakumei]

Le 1er satellite en bois sera Finlandais. Le WISA Woodsat devrait si tout va bien être lancé fin 2021

https://www.wisaplywood.com/wisawoodsat/

[ironclaude]

Le bois, l'absorption d'humidité, le dégazage dans l'espace, tout ça… On m'aurait menti ?

[Jaguar]

Ca se traite, le bois, avec entre autre le vernis qui va bien (en schématisant), ça doit pouvoir se gérer je pense...
D'ailleur c'est un peu le but de la manoeuvre :

The mission of the satellite is to test the applicability of wooden materials, especially WISA-Birch plywood in spacecraft structures and expose it to extreme space conditions, such as heat, cold, vacuum and radiation, for an extended period of time.

[yoann_q]

le monstre supportant starship est assemblé

https://www.futura-sciences.com/science ... rme-87410/
https://www.bbc.com/news/science-environment-58120874

120m de haut, vraiment impressionnant quand on compare a quelques lanceurs historiques :

[Milos]

Le 1er satellite en bois sera Finlandais.

Et le premier en toile bleue et tôle ondulée sera roumain ?

[ironclaude]

Ca se traite, le bois, avec entre autre le vernis qui va bien (en schématisant), ça doit pouvoir se gérer je pense...
D'ailleur c'est un peu le but de la manoeuvre :

The mission of the satellite is to test the applicability of wooden materials, especially WISA-Birch plywood in spacecraft structures and expose it to extreme space conditions, such as heat, cold, vacuum and radiation, for an extended period of time.

Le vernis… lui-même un matériau organique qui va pomper de l'humidité…

Blague à part, le choix des matériaux avec lesquels on fabrique les satellites est dicté, entre autres, par leur capacité, qu'on souhaite la plus faible possible, à absorber de l'humidité, qui, là-haut, dans le vide total, va se sublimer mais venir ensuite se redéposer sur le seul objet disponible dans le coin, le satellite lui-même, et ses capteurs et optiques… et je ne vous apprends pas qu'avec de la buée sur les lunettes, on y voit beaucoup moins bien !

[Olaf_[RET]]

de l'humidité, qui, là-haut, dans le vide total, va se sublimer

La sublimation est le passage d'un corps de l'état solide à l'état gazeux, sans passer par l'état liquide .
Comme ce que tu nommes " l'humidité " est , je suppose , un corps à l'état liquide ( ou du moins visqueux ) , ta phrase me paraït inexacte .
Je présume que tu voulais dire que , dans le vide , un liquide entre en ébullition à cause de la faible pression ( on peut trouver ce genre d'expériences sur youtube ) .

[Kakumei]

[Kakumei]

Une interview super longue et intéressante d'Elon Musk en 3 parties

Les 2 premières , la 3 devrait arriver cette semaine