1) La simulation écrite des communications radio avec les IA (ça marche mais avec des bugs, il paraît que ça leur pose un problème sérieux au niveau du code).
2) Des campagnes dynamiques en solo (mais tu as celles de l'application de The Oden).
Ces aspects de Cliffs of Dover attendent d'être résolus parce que d'autres aspects à résoudre ont été choisis en priorité (de nouveaux add-ons, la 4K, la VR, la météo dynamique, les nuages). Alors il faut faire avec mec, et il faut vraiment que tu arrêtes de la ramener, ça devient fatigant. Ezy répond avec humour à ton "du vent" mais ce "du vent" est très désobligeant, que tu l'admettes ou pas.
Tu as un fond de raison jeanba mais moi je suis un défenseur de Jason Williams. Son sens des affaires Jason c'est la seule chose qu'il a... et heureusement. Je m'explique. Jason Williams a fondé 777 Studios en 2007 parce qu'il disait à l'époque un truc du genre "let's make flight sims great again" (un peu comme Ilya Shevchenko en 2013/2014... mais sans se casser la gueule sur le plan financier). En réalité en 2007 la simulation d'avions se portait à merveille... mais grâce à la Russie. C'est aux États-Unis qu'elle allait mal, alors on comprend le discours de Jason : quelque part il y a là un arrière-fond de patriotisme US qui aurait été blessé dans son amour propre. Jason s'était lancé en 2007 en principe pour développer des simulateurs et lorsqu'il a constaté les montagnes qu'il fallait surmonter pour égaler les simus russes il a dû se décourager... alors il a acheté neoqb en 2010 (neoqb = Rise of Flight) et en décembre 2012 le ciel s'est ouvert devant lui lorsqu'à la suite de l'échec de Cliffs of Dover c'est son Rise of Flight qui a été choisi pour devenir l'actuelle suite Great Battles. Donc, oui, Jason n'est pas un développeur, c'est un homme d'affaires qui a acheté un simulateur de Première Guerre mondiale et qui a eu l'opportunité de le catapulter au succès en faisant en sorte que ses employés le transforment en simulateur de Seconde Guerre modiale. Ça a été pour tout le monde une façon de faire avancer le petit monde de la simulation, pour le meilleur... et pour le pire. Eagle Dynamics réussi aussi le tour de force de maintenir une simulation dans la rentabilité (DCS) mais il ne faut pas oublier qu'ils y sont arrivés en grande partie grâce à leurs associés britanniques de Duxford... Bref, pour en revenir à Jason, oui, c'est vrai, finalement il n'a pas fait de simus "made in the USA", il se contente d'avoir acheté un soft russe et de le faire développer par d'autres pour pourvoir le commercialiser, mais je pense qu'il aime sincèrement les simus de combat aérien (savez-vous que son père était pilote de B-52 dans l'US Air Force ?). Bref, pour tout cela... je ne peux pas m'empêcher d'éprouver un certain respect pour Jason Williams.