larsenjp a écrit : ↑sam. nov. 14, 2020 10:07 am
La seule chose qui manque à mon avis dans la remarquable étude de Bernard
c’est un « insight » sur les pertes civiles au sol lors des attaques incendiaires. On peut se faire une idée au vu des images des quartiers littéralement rasés jusqu’au sol et je suppose que ça ne doit être que de vagues estimations mais ça aurait été pas mal d’avoir quelques chiffres. Et peut-être quelques témoignages civils.
Peut-être à la toute fin de l’etude.
Mais certains vont râler...
C'est une grande qualité d'un auteur comme Middlebrook
Son livre , berlin 1943-1944 examine la campagne sous toutes les facettes
L'air campaign d'osprey , montre une carte de l'agglomération de Tokyo et en rouge indique les zones bombardées
Les 2/3 sont en en rouge
. Une peinture montre le travail des hommes du feu face à un torrent de flammes
Chose intéressante aussi à savoir, la quasi totalité des villes japonaises sont le long de la côte nord.
Donc contrairement à la VIII AF , les équipages ont eut peu de problèmes de navigation et une fois que les altitudes de bombardement ont été
abaissées les résultats ont été dévastateurs et ceci explique aussi les succès de la dca japonaise, larsenjp
Le fait que la population japonaise est concentrée sur une surface relativement réduite a amplifié aussi l'effet des bombardements
Enfin , il y'a qui pensent que les américains avaient épuisé leurs deux bombes atomiques.
Or en 46, le rythme de fabrication était d'une bombe atomique par semaine.