Tout ça me paraît très théorique. En cas de chute ou de hausse des capacités budgétaires, ou de conflit nouveau, tout ça peut être remis en question du jour au lendemain. D'ailleurs, il y a des avenants aux LPM.Milos a écrit :La loi de programmation militaire fixe le nombre de personnels, d'équipements, d'infrastructures.
Un nombre d'avions de combat y est fixé et on ne peut aucunement le dépasser. Les appareils anti insurection participaient à un conflit ... pardon, un maintien de l'ordre, et étaient armés, donc considérés comme avion de combat. La guerre froide battant son plein, on préférait investir dans des appareils modernes pour affronter le Pacte de Varsovie.
Après, si on parle (par exemple) du traité sur les armes conventionnelles (1990), il y a un autre cadre limitatif. Mais c'est pareil, il n'est valable que tant que les signataires le respectent. Par exemple en cas de conflit (plus ou moins ouvert) entre les signataires (et/ou par la volonté d'un individu style Donald ou Vlad), il ne sera pas/plus respecté.
De toute façon, vu l'économie française depuis 45 ans, c'est sûr qu'on respecte toujours plus tout ce qui est limitation (on doit même avoir pas mal de marge sur bien des points).
'fin bon, ça ne m'empêchera pas de dormir. Comme tu l'as écrit, retournons au Raptor.