Jaguar et EC
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Re: Jaguar et EC
#26Les immatriculations jaguar sous le cockpit a toujours existé.
Il s’agit du numéro avion Axx ou Exx peint sur le tableau de la jambe de train avant. En vol, train rentré cette immat se retrouve sous le poste de pilotage.
Pour le lance leurres de queue, je suis le concepteur du départ.
Je l’ai sorti en 1979 au sein de l’escadron 2/11 Vosges, escadron affecté à l’experimentatIon des engins de guerre électronique.
Dans les années 80,nous avons reçu les premiers phimat (lance leurres électromagnétiques), ensuite les Boz (très gros lance leurres EM, ensuite les CT 51 (brouilleurs offensifs) ensuite les Baraccuda puis les barax,ect...
Les lances leurres plaqués d’Alkan ont été montés pour la guerre du golfe
Pour la navigation sur jaguar, je suis l’inventeur du puit de navigation numérique
A l’origine, les pilotes étaient gênés par les plaquettes de navigation ( morceau de plastique percé de 32 trous pour codifier en binaire une longitude et une latitude.
Je leur ai fabriqué un lecteur de plaquettes dans lequel ils contrôlaient le perçage correct avant de partir en mission.
Puis j’ai demandé à transformer mon lecteur en une boîte de commande avec un clavier et un afficheur afin que le pilote puisse entrer directement sa destination dans l’avion.
Le projet a été confié aux élèves officiers de l’ecole De l’air de Salon de Provence. Le puit de navigation numérique a été testé et monté lors de la guerre du golfe.
Je suis très fier d’avoir pu servir dans cette unité prestigieuse de la 11 eme Escadre.
Brigand
Il s’agit du numéro avion Axx ou Exx peint sur le tableau de la jambe de train avant. En vol, train rentré cette immat se retrouve sous le poste de pilotage.
Pour le lance leurres de queue, je suis le concepteur du départ.
Je l’ai sorti en 1979 au sein de l’escadron 2/11 Vosges, escadron affecté à l’experimentatIon des engins de guerre électronique.
Dans les années 80,nous avons reçu les premiers phimat (lance leurres électromagnétiques), ensuite les Boz (très gros lance leurres EM, ensuite les CT 51 (brouilleurs offensifs) ensuite les Baraccuda puis les barax,ect...
Les lances leurres plaqués d’Alkan ont été montés pour la guerre du golfe
Pour la navigation sur jaguar, je suis l’inventeur du puit de navigation numérique
A l’origine, les pilotes étaient gênés par les plaquettes de navigation ( morceau de plastique percé de 32 trous pour codifier en binaire une longitude et une latitude.
Je leur ai fabriqué un lecteur de plaquettes dans lequel ils contrôlaient le perçage correct avant de partir en mission.
Puis j’ai demandé à transformer mon lecteur en une boîte de commande avec un clavier et un afficheur afin que le pilote puisse entrer directement sa destination dans l’avion.
Le projet a été confié aux élèves officiers de l’ecole De l’air de Salon de Provence. Le puit de navigation numérique a été testé et monté lors de la guerre du golfe.
Je suis très fier d’avoir pu servir dans cette unité prestigieuse de la 11 eme Escadre.
Brigand
Re: Jaguar et EC
#27Non, on parle ici bien de l'immatriculation (F-xxxx), et pas du numéro de série (Axxx ou Exx). Ce n'est pas la même chose !Brigand02011 a écrit :Les immatriculations jaguar sous le cockpit a toujours existé.
Il s’agit du numéro avion Axx ou Exx peint sur le tableau de la jambe de train avant. En vol, train rentré cette immat se retrouve sous le poste de pilotage.
Pour le lance leurres de queue, je suis le concepteur du départ.
Il y avait bien des Jaguar sans immat' sous le cockpit, comme le numéro de série A91, immatriculé F-xxYG, célèbre pour s'être pris un missile à Al-Jaber.
Re:
#28La commande etant la meme, il ne pouvait y avoir double emportsquezzer a écrit : De plus, une fois les avions capables d'emporter l'ALKAN 5020, je crois que les lance-leurres de queue ont été abandonnés rapidement. Je ne me rappelle pas avoir vu un avion équipé simultanément des deux systemes (peut etre meme que la modif 5020 supprimait le cablage pour le lance-leurres de queue)
(Si je ne m’abuse, ca commence à être loin mes années Jaguar :-( )
De plus le LLQ n’emportait que 12 (?) leurres, uniquement pyro. Le 5020 pouvait emmener les deux et être programmé pour différentes séquences
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Re: Jaguar et EC
#29C’etait 18 trous pour le LLQ, tous les cartouches (Lacroix) en IR, largables par séries de trois, six ou les 18 d’un coup.
Sur mon modèle,le premier en avril 1979, la sélection se faisait au sol.
La mise à feu était réalisée par deux sélecteurs de lance roquettes F1
Sur mon modèle,le premier en avril 1979, la sélection se faisait au sol.
La mise à feu était réalisée par deux sélecteurs de lance roquettes F1
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Re: Jaguar et EC
#31Quand le lance-leure plaqué a été mis en place, le parachute de freinage a été réinstallé ou ils ont laissé le conteneur vide ?
(\_/)
(_'.')
(")_(") "On obtient plus de choses avec un mot gentil et un pistolet qu'avec le mot gentil tout seul" Al Capone.
Mon pit
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Re: Jaguar et EC
#32C'est quand même un élément de sécurité le parachute...Milos a écrit :Quand le lance-leure plaqué a été mis en place, le parachute de freinage a été réinstallé ou ils ont laissé le conteneur vide ?
Re: Jaguar et EC
#33Oui, mais sur le Jag il restait la crosse... pour les terrains équipés de brins d'arrêt. C'est pas le cas des MF1 ou M2000.jojo a écrit :C'est quand même un élément de sécurité le parachute...
Les LLP, comme gondoles Corail pour le MF1, ont été de grandes avancées; pas du bricolage imposé par les besoins opérationnels non pris en compte lors de la conception.
@+
Re: Jaguar et EC
#34Tu avais toujours le caisson para, avec son parachute et le cône.Milos a écrit :Quand le lance-leure plaqué a été mis en place, le parachute de freinage a été réinstallé ou ils ont laissé le conteneur vide ?
Il était le plus souvent tiré car arrivant en limité d'utilisation, la longueur de piste à SDZ permettait un posé souple au jag.
Le remplacement était rapide, mais il fallait être impérativement deux pour le verrouillage de la manille qui tient le para à l'avion après délovage.
Re: Jaguar et EC
#35Oui, j'imagine que ce doit pas être un petit modèleHiCKS a écrit :il fallait être impérativement deux pour le verrouillage de la manille qui tient le para à l'avion après délovage.
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Re: Jaguar et EC
#36Et il devait falloir lutter contre un ressort aussi, non ?Milos a écrit :Oui, j'imagine que ce doit pas être un petit modèleHiCKS a écrit :il fallait être impérativement deux pour le verrouillage de la manille qui tient le para à l'avion après délovage.
Re: Jaguar et EC
#37Non,
C'était l'action d'ouvrir les mâchoires en maintenant la manette cabine en arrière, au même moment l'autre mécano inséré la Manille, gueulé "c'est bon,relâche et verrouille !", Et en cabine on avance la poignée vers l'avant.
La crosse, par contre, oui il fallait la remonter contre la force qui la plaquais au sol. (Un assemblage de rondelle caoutchouc en gros )
C'était l'action d'ouvrir les mâchoires en maintenant la manette cabine en arrière, au même moment l'autre mécano inséré la Manille, gueulé "c'est bon,relâche et verrouille !", Et en cabine on avance la poignée vers l'avant.
La crosse, par contre, oui il fallait la remonter contre la force qui la plaquais au sol. (Un assemblage de rondelle caoutchouc en gros )
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Re: Jaguar et EC
#38Merci pour les explications.HiCKS a écrit :Non,
C'était l'action d'ouvrir les mâchoires en maintenant la manette cabine en arrière, au même moment l'autre mécano inséré la Manille, gueulé "c'est bon,relâche et verrouille !", Et en cabine on avance la poignée vers l'avant.
La crosse, par contre, oui il fallait la remonter contre la force qui la plaquais au sol. (Un assemblage de rondelle caoutchouc en gros )
Difficile, en effet, d'être à la fois en cabine et à l'extrémité arrière de l'avion...