Axes des avions russes

[NN_Fahrenheit]

Effectivement, si on n'utilise pas le technochat ça devient carrément indispensable...
J'avoue que soit je regarde cette indication, soit je le fais au pif en surveillant les °C.

[UF_Viking]

Merci Voltigeur,

C'est effectivement ce qu'on m'a expliqué.
Maintenant, je dois voir si je m'en sors avec les axes du Warthog seuls ou si l'investissement de 50 euros est justifié.

[C6_Werner]

Il semble que le HOTAS Warthog ne suffise pas. En particulier pour le Yak 1 qui nécessite beaucoup d'axes pour les rédiateurs, pas d'hélice...

Pour ma part le Warthog accepte sans broncher toutes les commandes pour les chasseurs, pour le reste des zincs (stuka, il-2, bi-moteurs) je compte pas voler dessus donc pas de problème particulier.

[NN_RugbyGoth]

Je reviens sur droidpad.

J'ai pu tester très rapidement hier soir, ça marche, sans problème majeur, si ce n'est qu'on ne peut avoir que 3 axes sur sliders, donc mon 4ème slider pour le radiateur d'huile ne fonctionne pas. J'essaye de rentrer en contact avec le developpeur du bouzin voir si on peut faire quelque chose (comme utiliser un deuxième device android, ou configurer autrement le joystick émulé).

En tout cas je l'utiliserais pour mes prochaines sorties!

[Taeht Dewoht]

J'ai aussi un Warthog et le Saiteck Quadrant.
Cette config à le mérite de savoir où l'on en est :
Sur le Yak, ce sont des roues et a moins de compter le nombre de tours ,on ne sait pas ou l'on en est.
Avec le Quadrant, vu que ce sont des leviers, si je veux 50% d'ouverture, je mets à mi-course. Ce qui facilite grandement la gestion de l'ouverture/fermeture des axes attribués.

Mais ça reste personnel...

De fait, sur le Yak, on ne peut pas voir où en en est avec les molettes (j'utilise pas le technochatmachin, ça sert à rien en mode expert). Mais cela n'a pas de réelle importance car le degré d'ouverture dépend de bcp trop de facteurs (altitude, admission, pas d'hélice, grimpée, piquée,...) pour pouvoir être calculé en % de façon précise (genre à 80 % de gaz et 80% de pas d'hélice à 3000m, j'ouvre d'autant de pourcent... c'est se compliquer la tâche selon moi).

Bref, je suis plutôt comme Fahrenheit... je marche au pif l'oeil sur les cadrans du cockpit en veillant les t°. En sachant que:
- c'est surtout en situation de combat extrême qu'il faut bien gérer les radiateurs: ne pas oublier de les réouvrir après les avoir fermés (la couille la plus fréquente) et vérifie si une ouverture partielle suffit.
- sur le yak un court dépassement des limites n'a pas de réelles conséquences (vous pouvez oubliez vos cadrants 30 secondes sans que la bécane vous pète à la figure).
- Mais cela implique de refroidir dès que possible en ouvrant les radiateurs, en augmentant le pas d'hélice et en baissant les gaz (les combats sont souvent très courts quand même).
- en situation normale de croisière, d'avoir les radiateurs peu ou à moitié ou complètement ouverts ne changent pas grand chose (attention à l'overcooling tout de même) et c'est surtout question de gagner des kilomètres heures en consommant le moins (mais je ne vois pas où la question est cruciale de savoir s'il faut voler en croisière à 370 k/h ou à 400 k/h).
... c'est au moment où cela danse qu'il faut tirer le max de la bécane.

Pour la gestion au pif.
Je regarde les cadrans et ouvre/ferme les radiateurs en fonction de la t°. Pour l'ouverture minimale, je tourne d'abord les molettes à fond dans le sens de la fermeture puis je les ouvre un peu... puis je gère en fonction le l'évolution des aiguilles des cadrans (+ ou - selon).
Du coup, les %, je m'en tape.

PS.
D'ailleurs, sur le lag3, on a des leviers radiateurs dont la position est beaucoup plus claire et visuelle... mais cela ne veut pas dire grand chose. Si vous vous fiez à la position des leviers plutôt qu'aux cadrans... à mon avis, le moteur ne fera pas long feu...