) avec une rentrée du train très tôt après le décollage. On a presque l'impression qu'après la rotation, dès que l'avion est airborne, le pilote actionne le levier du train... 
Exemples :
Mirage F1 CR
Un autre Mirage F1 CR
Encore un (je ne crois pas que ce soit toujours le même, mais je n'ai pas vérifié...)
Mirage 2000 D
Mirage 2000-5F
En cherchant vite fait à l'instant, pas trouvé de photo de Rafale rentant le train, avec le sol en référence dans le cadre...
Est-ce exceptionnel, et lié à l'environnement qui pousserait les pilotes à prendre quelques libertés pour impressionner le public (la plupart de ces images ont probablement été prises lors de journées ouvertes aux photographes : spotter day pendant un exercice, cérémonie officielle ou meeting) ?
Vu de mon canapé, je me dis "le pilote, il a confiance dans son avion et dans son moteur !", mais en y réfléchissant un peu plus, si son réacteur a un "raté", ce n'est pas le fait d'avoir le train sorti qui va forcément lui sauver la mise, ni l'aider... (il n'y a certainement pas suffisamment de place devant pour se reposer et s’arrêter proprement avant la fin de bande !).
Je me demande quand même si c'est dans la procédure normale d'autorisation ?...
Suffit-il de vérifier que Vz > 0 et/ou Z croissant avant de pouvoir rentrer le train ?
Finalement, est-ce que ce n'est pas plutôt la pente de montée (faible, voire à peine positive) qui est exceptionnelle sur ces photos ?
En temps normal, ne chercherait-on pas plutôt à monter aussi vite que possible pour réduire les nuisances au sol, alors que là on rechercherait l'accélération en palier pour pouvoir faire une montée encore plus impressionnante en bout de bande ?
Question subsidiaire : Lors de décollages "tactiques" visant à se prémunir de la menace AA (sur certaines plate-formes exposées, type Kandahar), à quelle hauteur se fait le palier d'accélération ?
100 ft ? 50 ft ? moins ?
