Le "toi" était pour Dakota, et désolé je mange des frites dont une partie est tombée sur le clavier )
D'accord sur le côté premier job, d'ailleurs cela en est vraiment un
. Ceci-dit à l'époque ou l'armée n'avait pas besoin faire les yeux doux à la jeunesse le syndrome "fleur au fusil" existait déjà. C'est une constante chez l'être humain. Un légende voudrait même que les plus idéalistes deviennent les plus sanglants une fois confronté à la douce réalité.
En fait la question est de savoir si les conditions particulières du boulot font que les opérateurs sont sujet au burn-out de façon plus régulière. Comme évoqué précédemment l'aspect chasse à l'homme est comparable au sniper et la distance au cas de l'artilleur. Mais il y a d'autres facteurs : l'ambiance "feutrée", la virtualisation de l'action... voir tout simplement, comme le suggère Dakotak et Minos, il y a eu erreur de recrutement...