Inscriptions à CPC.05
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#26
Emile Leader Hurris Alpha.
objectif de mission : straffer des cibles d'opportunité dans les terres en U / 7
Après un décollage en bon ordre nous rejoignons les Spits d'escorte Nacy et Ricky au-dessus de Lympne puis prenons un cap 120 direction les côtes françaises. Je suis de bonne humeur malgré mon inhabituelle place de leader ce jour là : il fait beau, mes ailiers Gourmand et Erel sont formés , la nav facile. Arrivés sur la pointe de Wissam nos Spits ont perdu le visuel sur notre petit groupe et nous entamons un large 360 pour les attendre . Un navire isolé nous lache quelques coups de canon pas très dangereux. A la radio les Bravo nous demandent de temporiser et de nous dérouter plus au nord pour regroupement. Je n'aime pas bien tous ces contretemps , jamais bon de rester à se promener le long des côtes et effectivement à peine avons-nous amorcé un virage à gauche que l'un de mes ailiers annonce des contacts à 3 heures. Damnation des 109 . Ni une ni deux nous prenons un cap plein ouest histoire de nous éloigner des bandits mais ceux-ci nous ont vus et nous prennent en chasse. Les Spits n'ont toujours pas récupéré le visuel , shit ça sent la poudre ! Comme nos poursuivants gagnent sur nous je décide de faire face et le combat s'engage. A tour de rôle nous réussirons tous à lâcher quelques salves mais nous prenons cher aussi. Je suis touché et quelques instants plus tard mon moulin rend l'âme : RTB -amerrissage - un homme à la mer ! Pour moi l'aventure s'arrête là. Je prendrai à nouveau l'air histoire de voir ce qui se passe sur la zone qui devait être notre objectif : juste trouvé un 109 statique sur un aérodrome et quelques postes de dca . J'aurais bien aimé trouver un train crachant sa belle fumée noire mais non, pas le bout d'un wagon. Tant pis !
objectif de mission : straffer des cibles d'opportunité dans les terres en U / 7
Après un décollage en bon ordre nous rejoignons les Spits d'escorte Nacy et Ricky au-dessus de Lympne puis prenons un cap 120 direction les côtes françaises. Je suis de bonne humeur malgré mon inhabituelle place de leader ce jour là : il fait beau, mes ailiers Gourmand et Erel sont formés , la nav facile. Arrivés sur la pointe de Wissam nos Spits ont perdu le visuel sur notre petit groupe et nous entamons un large 360 pour les attendre . Un navire isolé nous lache quelques coups de canon pas très dangereux. A la radio les Bravo nous demandent de temporiser et de nous dérouter plus au nord pour regroupement. Je n'aime pas bien tous ces contretemps , jamais bon de rester à se promener le long des côtes et effectivement à peine avons-nous amorcé un virage à gauche que l'un de mes ailiers annonce des contacts à 3 heures. Damnation des 109 . Ni une ni deux nous prenons un cap plein ouest histoire de nous éloigner des bandits mais ceux-ci nous ont vus et nous prennent en chasse. Les Spits n'ont toujours pas récupéré le visuel , shit ça sent la poudre ! Comme nos poursuivants gagnent sur nous je décide de faire face et le combat s'engage. A tour de rôle nous réussirons tous à lâcher quelques salves mais nous prenons cher aussi. Je suis touché et quelques instants plus tard mon moulin rend l'âme : RTB -amerrissage - un homme à la mer ! Pour moi l'aventure s'arrête là. Je prendrai à nouveau l'air histoire de voir ce qui se passe sur la zone qui devait être notre objectif : juste trouvé un 109 statique sur un aérodrome et quelques postes de dca . J'aurais bien aimé trouver un train crachant sa belle fumée noire mais non, pas le bout d'un wagon. Tant pis !
Théorème Shadok : il vaut mieux mobiliser son intelligence sur des conneries que mobiliser sa connerie sur des choses intelligentes
#28
Spit 3 dans le second groupe.
Nav sans problème particulier je suis un peu décroché mais profite des changements de cap du leader en vu des cotes pour recoller au groupe.
On croise des appareils au dessus de la zone de patrouille et je perds le visuel sur Spit 1 et 2, je tente de les retrouver tout en surveillant du coin de l'oeil quelques contacts non identifiés.
Je rejoins sur eux au niveau de la cote, ils sont suivis par un 109 qui engage le numéro 2.
Ca à du bon d'être retardataire, je prend en chasse le 109 tire sans lui faire trop mal je pense mais l'oblige à décrocher du numéro 2 toujours ça de gagné !
Bien sur je n'ai pas vu son ailier qui m'arose et me touche durement, moteur en carafe je suis obligé d'ammerrir.
Nav sans problème particulier je suis un peu décroché mais profite des changements de cap du leader en vu des cotes pour recoller au groupe.
On croise des appareils au dessus de la zone de patrouille et je perds le visuel sur Spit 1 et 2, je tente de les retrouver tout en surveillant du coin de l'oeil quelques contacts non identifiés.
Je rejoins sur eux au niveau de la cote, ils sont suivis par un 109 qui engage le numéro 2.
Ca à du bon d'être retardataire, je prend en chasse le 109 tire sans lui faire trop mal je pense mais l'oblige à décrocher du numéro 2 toujours ça de gagné !
Bien sur je n'ai pas vu son ailier qui m'arose et me touche durement, moteur en carafe je suis obligé d'ammerrir.
Brillantes comme une larme,
des armes...
des armes...
#29
La première capture de ta série Gourmand, magnifique, j'adore l'effet que tu as mis on dirait une photo!
J'ai pas le temps de broder cette fois c'est en vrac...
J'étais Dora 3, dans une patrouille de 4 Bf190E-3.
Mission d'interdiction suite une approche annoncée de chasseurs anglais.
Après le décollage de Berck nous longeons la côte cap Nord, et nous dépassons à peine Boulogne que nous tombons sur 3 Spit!
Enfin, ce sont plutôt les 3 Spit qui nous tombent dessus, on volait bas sous la couche, et les 3 se jettent sur notre leader qui gueule de s'activer très rapidement!
Les 3 sangsues ne le lâchent pas mais lâchent en effet quelques rafales qui achèvent de réveiller tout le monde.
Enfin les anglais se séparent, je prends le plus dangereux et je tire une rafaler qui touche au moment où je le perds dans un nuage.
Le temps de ressortir et de retrouver le combat, le chef nous annonce que le Spit est à l'eau, et le groupe commence à reprendre le dessus sur les autres.
Je reviens sur zone, observe, et vois qu'un autre Spit revient à la charge sur notre leader, encore!
Je me place et lâche quelques longues rafales dont certaines font mouche.
Le Spitfire lâche du glycol, et le pilote ne semble plus réagir.
En effet, on observe tous sa lente descente vers la surface de la mer...
Le 3e Spit étant déjà abattu entretemps, on se reforme et on se reconcentre.
ça ne fait pas 10 minutes que nous sommes en l'air, ce premier combat nous a tous surpris!
Nous arrivons enfin vers la pointe nord lorsque je repère un combat entre 2 appareils au-dessus de l'eau. Le chef nous emmène sur place.
On identifie rapidement un Spitfire et un 109, et j'ai la chance de me placer rapidement dans les 6 de l'anglais alors qu'il donne l'impression de fuir vers le nord sans m'avoir repérer.
Mais j'attends trop et il break avant que je ne tire la moindre cartouche!
C'est finalement Mike qui l'abat rapidement.
On se reforme, alors que d'autres 109 arrivent sur zone.
J'arrive vers le leader lorsque je vois que son numéro 2 actuel n'est pas de la formation, c'est un 109E-1.
Soudain le leader annonce qu'il est engagé, et je vois ce 2e 109 tirer.
Je préviens tout de suite Mike d'annoncer aux autres patrouilles de cesser le tir, tout en me préparant à riposter si besoin...
Je n'ai aucune envie d'abattre un des notres, mais si mon chef est en danger je ne vois pas d'autres solutions....
Heureusement pour tous, suite à l'annonce radio le 109 se rend compte de son erreur et s'en va rapidement.
La section enfin reformée on patrouille en basse altitude pendant quelques minutes sur zone, sans d'autres contacts que les 109 et un 110 isolé.
On dépasse un train qui doit filer à toute vapeur au vu du panache qu'il dégage, lorsque le leader repère 3 contacts.
Ce sont des Hurricane, on se dirige droit dessus dans ce qui ressemble de plus en plus à une passe frontale à 3 contre 4!
J'évite cette frontale dangereuse en me collant aux arbres, mais une fois la section croisée en me retournant, je vois un des Hurricane laisser une longue traînée noire derrière lui, il semble en feu!!
Le combat contre les deux autres Hurricane n'est guère équitable, car on est vite rejoint par une autre patrouille de 109E-1, mais pourtant ils se défendent bien, et nous donnent un peu de fil à retordre qui fait durer l'échange.
Un Hurri tombe, puis je termine le dernier en collaboration avec un E1.
Cette fois on dirait que la dernière vague de l'attaque est passée, les casiers à munitions sont presque à sec pour certains, nous rentrons.
Nous nous posons après 50 minutes de vol, et nous faisons les comptes.
Nous sommes rentrés tous les 4, et la patrouille revendique 6 victoires, plus une septième en collaboration!
Tous au bar EFG, c'est la notre!
----
Par contre la fumée du train était blanche dans mes souvenirs!
Au fait les anglais, vous avez engagé des cibles au sol ou pas?
C'est un exercice qui change, ces combats en 109 en basse altitude pour repérer les cibles, c'était intéressant.
La façon de combatre est bien différente, il ne faut vraiment pas perdre un poil d'énergie face aux anglais sinon on est cuit, heureusement que tous les 4 on a l'habitude de voler ensemble.
J'ai pas le temps de broder cette fois c'est en vrac...
J'étais Dora 3, dans une patrouille de 4 Bf190E-3.
Mission d'interdiction suite une approche annoncée de chasseurs anglais.
Après le décollage de Berck nous longeons la côte cap Nord, et nous dépassons à peine Boulogne que nous tombons sur 3 Spit!
Enfin, ce sont plutôt les 3 Spit qui nous tombent dessus, on volait bas sous la couche, et les 3 se jettent sur notre leader qui gueule de s'activer très rapidement!
Les 3 sangsues ne le lâchent pas mais lâchent en effet quelques rafales qui achèvent de réveiller tout le monde.
Enfin les anglais se séparent, je prends le plus dangereux et je tire une rafaler qui touche au moment où je le perds dans un nuage.
Le temps de ressortir et de retrouver le combat, le chef nous annonce que le Spit est à l'eau, et le groupe commence à reprendre le dessus sur les autres.
Je reviens sur zone, observe, et vois qu'un autre Spit revient à la charge sur notre leader, encore!
Je me place et lâche quelques longues rafales dont certaines font mouche.
Le Spitfire lâche du glycol, et le pilote ne semble plus réagir.
En effet, on observe tous sa lente descente vers la surface de la mer...
Le 3e Spit étant déjà abattu entretemps, on se reforme et on se reconcentre.
ça ne fait pas 10 minutes que nous sommes en l'air, ce premier combat nous a tous surpris!
Nous arrivons enfin vers la pointe nord lorsque je repère un combat entre 2 appareils au-dessus de l'eau. Le chef nous emmène sur place.
On identifie rapidement un Spitfire et un 109, et j'ai la chance de me placer rapidement dans les 6 de l'anglais alors qu'il donne l'impression de fuir vers le nord sans m'avoir repérer.
Mais j'attends trop et il break avant que je ne tire la moindre cartouche!
C'est finalement Mike qui l'abat rapidement.
On se reforme, alors que d'autres 109 arrivent sur zone.
J'arrive vers le leader lorsque je vois que son numéro 2 actuel n'est pas de la formation, c'est un 109E-1.
Soudain le leader annonce qu'il est engagé, et je vois ce 2e 109 tirer.
Je préviens tout de suite Mike d'annoncer aux autres patrouilles de cesser le tir, tout en me préparant à riposter si besoin...
Je n'ai aucune envie d'abattre un des notres, mais si mon chef est en danger je ne vois pas d'autres solutions....
Heureusement pour tous, suite à l'annonce radio le 109 se rend compte de son erreur et s'en va rapidement.
La section enfin reformée on patrouille en basse altitude pendant quelques minutes sur zone, sans d'autres contacts que les 109 et un 110 isolé.
On dépasse un train qui doit filer à toute vapeur au vu du panache qu'il dégage, lorsque le leader repère 3 contacts.
Ce sont des Hurricane, on se dirige droit dessus dans ce qui ressemble de plus en plus à une passe frontale à 3 contre 4!
J'évite cette frontale dangereuse en me collant aux arbres, mais une fois la section croisée en me retournant, je vois un des Hurricane laisser une longue traînée noire derrière lui, il semble en feu!!
Le combat contre les deux autres Hurricane n'est guère équitable, car on est vite rejoint par une autre patrouille de 109E-1, mais pourtant ils se défendent bien, et nous donnent un peu de fil à retordre qui fait durer l'échange.
Un Hurri tombe, puis je termine le dernier en collaboration avec un E1.
Cette fois on dirait que la dernière vague de l'attaque est passée, les casiers à munitions sont presque à sec pour certains, nous rentrons.
Nous nous posons après 50 minutes de vol, et nous faisons les comptes.
Nous sommes rentrés tous les 4, et la patrouille revendique 6 victoires, plus une septième en collaboration!
Tous au bar EFG, c'est la notre!
----
Emile, il y avait des cibles au sol, on a bien croisé un train, mais ces cibles ne devaient pas être sélectionnable pour la caméra.Pour moi l'aventure s'arrête là. Je prendrai à nouveau l'air histoire de voir ce qui se passe sur la zone qui devait être notre objectif : juste trouvé un 109 statique sur un aérodrome et quelques postes de dca . J'aurais bien aimé trouver un train crachant sa belle fumée noire mais non, pas le bout d'un wagon. Tant pis !
Par contre la fumée du train était blanche dans mes souvenirs!
Au fait les anglais, vous avez engagé des cibles au sol ou pas?
C'est un exercice qui change, ces combats en 109 en basse altitude pour repérer les cibles, c'était intéressant.
La façon de combatre est bien différente, il ne faut vraiment pas perdre un poil d'énergie face aux anglais sinon on est cuit, heureusement que tous les 4 on a l'habitude de voler ensemble.
Les chasseurs font les films, les bombardiers écrivent l'Histoire.
#30
Richy a tout dis pour la patrouille Dora.
A noter que la dernière patrouille de Hurri rencontrée n'a vraiment pas eu de chance, nous entamions juste un virage pour RTB, et étions idéalement placé pour l'entrée en combat.
Pour la mission:
J'ai l'impression d'un déséquilibre, en faveur de la LW, dans CPC05.
En terme numéraire, il avait 18 bleus pour 19 rouges, alors c'est peut-être la mission demandée qui posait problème?
Votre avis?
@+++
A noter que la dernière patrouille de Hurri rencontrée n'a vraiment pas eu de chance, nous entamions juste un virage pour RTB, et étions idéalement placé pour l'entrée en combat.
Pour la mission:
J'ai l'impression d'un déséquilibre, en faveur de la LW, dans CPC05.
En terme numéraire, il avait 18 bleus pour 19 rouges, alors c'est peut-être la mission demandée qui posait problème?
Votre avis?
@+++
#31
Un petit rappel.
Les missions sont de type 'dogfight' car le mode 'coop' n'est pas efficient.
Si vous avez un soucis technique au décollage ou un peu après, pas de soucis, reprenez un appareil.
Mais une fois la mission bien établie, si vous êtes détruit, endommagé ou en panne je ne pense pas que cela soit correct de repartir.
Nous pouvons certes en discuter!
Les missions sont de type 'dogfight' car le mode 'coop' n'est pas efficient.
Si vous avez un soucis technique au décollage ou un peu après, pas de soucis, reprenez un appareil.
Mais une fois la mission bien établie, si vous êtes détruit, endommagé ou en panne je ne pense pas que cela soit correct de repartir.
Nous pouvons certes en discuter!
#32
Spit leader groupe béta
Une mission à hauts risques. Cibles au sol non identifiées sur une vaste zone hostile, escorte de hurricanes difficile à distinguer en surplomb. On se demande à quoi pense le commandement avec cette mission. Probablement rendre coup pour coup suite à l'attaque surprise de notre convoi maritime lundi dernier... Le bateau ravitaillant le thé avait été coulé: une injure inadmissible à notre fierté nationale !!
Nous retrouverons les Hurricanes sur la pointe de Littlestone et prenons un cap commun après un croisement face à face des 2 escouades impeccablement formées dont j'aurais aimé conserver un souvenir mais la caméra n'était pas en route.
Nous surplombons les Hurricanes jusqu'au point de regroupement sur le Touquet. Là les choses se précipitent, nous perdons de vue les Hurricanes, croyons les retrouver engagés verticale une forêt au nord-est de Boulogne, mettons plein gaz vers l'accrochage pour se ruer sur un 109 isolé qui n'échappera à la destruction que par un virage salvateur. En quelques secondes tous les contacts ont disparu, nous revenons vers la mer pour regrouper, Le N°3 nous a perdu de vue durant la séquence, des contacts sont annoncés un peu partout. C'est alors que le Spit2 annonce qu'il est est engagé, je vire à droite sèchement, mets malheureusement trop de temps à repérer le combat; entretemps le Spit N°3 qui revenait sur nous pourra aider le N°2. Lorsque qu'enfin je retrouve le visuel, c'est pour voir le Spit N°2 sévèrement engagé. A 300m face à moi, il part en vrille, je croise les deux 109 à grande vitesse, mais bizarrement ils évacuent la zone (ou nous perdent de vue).
Le N°3 ne répond plus et le N°2 est sorti miraculeusement de sa vrille étant donné sa hauteur sol.
Nous reprenons donc la patrouille mais la radio est désormais bien silencieuse, il semble que l'on ait essuyé nombre de pertes. Nous ne pouvons pas laisser les choses ainsi, malgré les risques nous décidons d'un ultime passage de mitraillage au sol d'un terrain au nord de Boulogne. 100ft sol, à pleine vitesse nous atteignons quelques bâtiments et matériels avant de virer vers l'ouest. Un 109 un peu haut ne nous verra pas. La rentrée n'en serra pas moins éprouvante, le spit N°2 (Bouma) souffre d'avaries électriques, d'une rupture des câbles de contrôle de direction et son réservoir indique zéro !!!. Pour couronner le tout, le train ne semble plus opérationnel et nous posons après contrôle visuel en croisant les doigts qu'il soit verrouillé.
En effet, son altercation avec les 109 a été rude et c'est un miracle que l'avion vole encore :
Voir notamment l'énorme trou dans le fusage par lequel on voit clairement le gazon au travers !
A la base, nous réalisons que nous sommes les 2 seuls Spit rentrés sur Lympne. Triste journée !
Le Hurricane d'AV_REL sera aussi compté au nombre des rescapés.
Une mission à hauts risques. Cibles au sol non identifiées sur une vaste zone hostile, escorte de hurricanes difficile à distinguer en surplomb. On se demande à quoi pense le commandement avec cette mission. Probablement rendre coup pour coup suite à l'attaque surprise de notre convoi maritime lundi dernier... Le bateau ravitaillant le thé avait été coulé: une injure inadmissible à notre fierté nationale !!
Nous retrouverons les Hurricanes sur la pointe de Littlestone et prenons un cap commun après un croisement face à face des 2 escouades impeccablement formées dont j'aurais aimé conserver un souvenir mais la caméra n'était pas en route.
Nous surplombons les Hurricanes jusqu'au point de regroupement sur le Touquet. Là les choses se précipitent, nous perdons de vue les Hurricanes, croyons les retrouver engagés verticale une forêt au nord-est de Boulogne, mettons plein gaz vers l'accrochage pour se ruer sur un 109 isolé qui n'échappera à la destruction que par un virage salvateur. En quelques secondes tous les contacts ont disparu, nous revenons vers la mer pour regrouper, Le N°3 nous a perdu de vue durant la séquence, des contacts sont annoncés un peu partout. C'est alors que le Spit2 annonce qu'il est est engagé, je vire à droite sèchement, mets malheureusement trop de temps à repérer le combat; entretemps le Spit N°3 qui revenait sur nous pourra aider le N°2. Lorsque qu'enfin je retrouve le visuel, c'est pour voir le Spit N°2 sévèrement engagé. A 300m face à moi, il part en vrille, je croise les deux 109 à grande vitesse, mais bizarrement ils évacuent la zone (ou nous perdent de vue).
Le N°3 ne répond plus et le N°2 est sorti miraculeusement de sa vrille étant donné sa hauteur sol.
Nous reprenons donc la patrouille mais la radio est désormais bien silencieuse, il semble que l'on ait essuyé nombre de pertes. Nous ne pouvons pas laisser les choses ainsi, malgré les risques nous décidons d'un ultime passage de mitraillage au sol d'un terrain au nord de Boulogne. 100ft sol, à pleine vitesse nous atteignons quelques bâtiments et matériels avant de virer vers l'ouest. Un 109 un peu haut ne nous verra pas. La rentrée n'en serra pas moins éprouvante, le spit N°2 (Bouma) souffre d'avaries électriques, d'une rupture des câbles de contrôle de direction et son réservoir indique zéro !!!. Pour couronner le tout, le train ne semble plus opérationnel et nous posons après contrôle visuel en croisant les doigts qu'il soit verrouillé.
En effet, son altercation avec les 109 a été rude et c'est un miracle que l'avion vole encore :
Voir notamment l'énorme trou dans le fusage par lequel on voit clairement le gazon au travers !
A la base, nous réalisons que nous sommes les 2 seuls Spit rentrés sur Lympne. Triste journée !
Le Hurricane d'AV_REL sera aussi compté au nombre des rescapés.
#33
Pour la mission:
J'ai l'impression d'un déséquilibre, en faveur de la LW, dans CPC05.
En terme numéraire, il avait 18 bleus pour 19 rouges, alors c'est peut-être la mission demandée qui posait problème?
Votre avis?
Ce qui est très dur, à mon avis, c'est de partir sans avoir d'objectif précis autre que mitrailler tout ce qui vous semble d’intérêt.
Pour revenir sur l'idée des missions qui se complètent, cette mission aurait peut-être méritée d'avoir une mission préliminaire la semaine précédente qui aurait été reconnaissance d'objectifs au sol dans ces mêmes secteurs. La performance de la première mission influençant le résultat de la seconde. Obligeant aussi, sous le feu de l'ennemi, à une prise de repère attentive lors de la première mission.
J'ai l'impression d'un déséquilibre, en faveur de la LW, dans CPC05.
En terme numéraire, il avait 18 bleus pour 19 rouges, alors c'est peut-être la mission demandée qui posait problème?
Votre avis?
Ce qui est très dur, à mon avis, c'est de partir sans avoir d'objectif précis autre que mitrailler tout ce qui vous semble d’intérêt.
Pour revenir sur l'idée des missions qui se complètent, cette mission aurait peut-être méritée d'avoir une mission préliminaire la semaine précédente qui aurait été reconnaissance d'objectifs au sol dans ces mêmes secteurs. La performance de la première mission influençant le résultat de la seconde. Obligeant aussi, sous le feu de l'ennemi, à une prise de repère attentive lors de la première mission.
#34
Une reconnaissance à l'avance de convoi de véhicules et de trains ça va être compliqué quand même.
Mais surtout, pour l'instant, un système de mission semi-dynamique pour l'instant, faut oublier, du moins pour chez nous.
Mike a passé un temps énorme pour la création de ces missions, on est passé derrière pour faire des tests, vérifs, et retour chez le créateur pour modifs.
Elles sont prêtes depuis des mois, mais préparer les missions d'une semaine à l'autre en faisant de cette façon ça passe pas...
Mais surtout, pour l'instant, un système de mission semi-dynamique pour l'instant, faut oublier, du moins pour chez nous.
Mike a passé un temps énorme pour la création de ces missions, on est passé derrière pour faire des tests, vérifs, et retour chez le créateur pour modifs.
Elles sont prêtes depuis des mois, mais préparer les missions d'une semaine à l'autre en faisant de cette façon ça passe pas...
Les chasseurs font les films, les bombardiers écrivent l'Histoire.
#35
Je t'offre simplement mon point de vue avec mes réponses, il est bien sûr évident que je peux me tromper.
Extrait de l'ordre de vol:
N°72 sqn (Spitfire Mk1.a) & N°111 sqn (Huricane): effectuez une patrouille de destruction d'opportunité au sol. Train, convois, DCA, camps, etc...
Votre secteur de mission est T/U-7.
Lorsque j'ai écris la mission, je pensais qu'un secteur de 10km x 20 km pourrais permettre justement aux pilotes de la RAF de ne pas tomber systématiquement sur de l'interception allemande, et de trouver nombre de cibles sur un secteur donné.
Pour info, à 240mph à 1000ft, cela donne un secteur 3 minutes par 1,5 minutes.
Avec du recul, je pense plutôt que le zone d'interception des 109 était bien trop précise...
C'est là qu'on entre dans les limites d'une édition de mission: crée à l'origine pour une douzaine de pilotes, je me rends compte au fur et à mesure que le canevas n'est pas obligatoirement adapté pour 30.
J'ai bien tenté de modifier 2 ou 3 trucs, mais force est de constater que tout n'est pas prévisible!
La série CPC se joue sur trois jour, à notre échelle, bien sûr, c'est de semaine en semaine...
CPC.3: attaque de Marquise avec des Blenheim + escorte. 17 aout 1940, 6h15.
CPC.4: les Stukas sont dérouté vers Boulogne, le terrain de Marquise étant endommagé. 17 aout 1940, 11h00.
CPC.5: 17 aout 1940, 15h35. Vous n'avez pas remarqués que le terrain de Marquise était détruit?
Dans l'avenir, avec la compréhension des scripts et autres subtilités des campagnes seront possibles.
CPC n'est qu'une série, pas une campagne!:hum:
J'espère simplement que cela n'a pas été trop rébarbatif pour certains et que la semaine prochaine vous serez toujours nombreux à vous présenter!
Je te trouve dur sur ce coup là...Gib a écrit :Ce qui est très dur, à mon avis, c'est de partir sans avoir d'objectif précis autre que mitrailler tout ce qui vous semble d’intérêt.
Extrait de l'ordre de vol:
N°72 sqn (Spitfire Mk1.a) & N°111 sqn (Huricane): effectuez une patrouille de destruction d'opportunité au sol. Train, convois, DCA, camps, etc...
Votre secteur de mission est T/U-7.
Lorsque j'ai écris la mission, je pensais qu'un secteur de 10km x 20 km pourrais permettre justement aux pilotes de la RAF de ne pas tomber systématiquement sur de l'interception allemande, et de trouver nombre de cibles sur un secteur donné.
Pour info, à 240mph à 1000ft, cela donne un secteur 3 minutes par 1,5 minutes.
Avec du recul, je pense plutôt que le zone d'interception des 109 était bien trop précise...
C'est là qu'on entre dans les limites d'une édition de mission: crée à l'origine pour une douzaine de pilotes, je me rends compte au fur et à mesure que le canevas n'est pas obligatoirement adapté pour 30.
J'ai bien tenté de modifier 2 ou 3 trucs, mais force est de constater que tout n'est pas prévisible!
Je m'aperçois également ne pas avoir sans doute été assez clair, les informations été bien présentes, mais fort probablement trop éparses.Gib a écrit :Pour revenir sur l'idée des missions qui se complètent, cette mission aurait peut-être méritée d'avoir une mission préliminaire la semaine précédente qui aurait été reconnaissance d'objectifs au sol dans ces mêmes secteurs. La performance de la première mission influençant le résultat de la seconde. Obligeant aussi, sous le feu de l'ennemi, à une prise de repère attentive lors de la première mission.
La série CPC se joue sur trois jour, à notre échelle, bien sûr, c'est de semaine en semaine...
CPC.3: attaque de Marquise avec des Blenheim + escorte. 17 aout 1940, 6h15.
CPC.4: les Stukas sont dérouté vers Boulogne, le terrain de Marquise étant endommagé. 17 aout 1940, 11h00.
CPC.5: 17 aout 1940, 15h35. Vous n'avez pas remarqués que le terrain de Marquise était détruit?
Une automatisation d'une telle série de missions est à des milles-nautiques de mes compétences, je ne peux compenser qu'avec mon expérience d'édition, alors des fois...EFG_Richy a écrit : préparer les missions d'une semaine à l'autre en faisant de cette façon ça passe pas...
Dans l'avenir, avec la compréhension des scripts et autres subtilités des campagnes seront possibles.
CPC n'est qu'une série, pas une campagne!:hum:
J'espère simplement que cela n'a pas été trop rébarbatif pour certains et que la semaine prochaine vous serez toujours nombreux à vous présenter!
#36
en tout cas moi sa m'a bien changer, c'etait une mission rapide, nerveuse, avec une bonne mélée... j'etait habitué aux vol long terme, perte de la formation et retour solo
et la sa a été une bonne surprise
je comprend pas la demande de compliquer/détailler les infos de la mission, les 2 formations n'ayant pas réussi a se retrouvée et s'escorter, il etait normale que l'issue de la mission soit si hazardeuse, d'ailleurs les 109 ont réussi le boulot, ils nous ont "interdit" le passage
apres, honnetement, une mission de reco... en tiger moth ? sinon autant detruire des la reco...
apres un screen shot préliminaire des cibles aurais put etre un plus effectivement, mais bon c'est des details quand ont voit/connait le travail fournit pour nous proposer se genre de mission a plein de gars multi-escadrilles
et la sa a été une bonne surprise
je comprend pas la demande de compliquer/détailler les infos de la mission, les 2 formations n'ayant pas réussi a se retrouvée et s'escorter, il etait normale que l'issue de la mission soit si hazardeuse, d'ailleurs les 109 ont réussi le boulot, ils nous ont "interdit" le passage
apres, honnetement, une mission de reco... en tiger moth ? sinon autant detruire des la reco...
apres un screen shot préliminaire des cibles aurais put etre un plus effectivement, mais bon c'est des details quand ont voit/connait le travail fournit pour nous proposer se genre de mission a plein de gars multi-escadrilles
#37
Je te trouve dur sur ce coup là...
Je ne voulais pas l'être. C'est juste mon avis.
Personnellement, je me suis bien amusé mission difficile ou pas !!
Je ne voulais pas l'être. C'est juste mon avis.
Personnellement, je me suis bien amusé mission difficile ou pas !!
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- Pilote Confirmé
- Messages : 2127
- Inscription : 24 mai 2005
#38
Yop
Bon, après avoir tenté de digéré notre défaite (enfin, plutôt désastre ), je tente de faire court:
- la stratégie proposée était de faire deux groupes , mixte de 3 Hurri et 3 Spit chacun, chaque groupe avait à charge un carré de 10km². On ne devait pas s'y rendre "directement" mais apres un bon gros détour, l'un par le Nord, l'autre par le Sud. L'idéal aurait été "d'engager" nos destructions en même temps... (mais ceci n'a pas été dit )
- début des problèmes, j'ai trouvé le deuxième groupe très long à se former alors que le premier avait déjà pris le cap
- le premier groupe, à, de plus, apparemment été directement au cap sans faire le "gros" détour par le nord et c'est donc retrouvé face aux 109 pied dans l'eau.... et à été totalement (?) détruit.
- pour le deuxieme groupe, il n'était pas facile, voir impossible, de garder le visuel entre les Spit en alti et les hurri en bas. On a perdu encore du temps à se retrouver.. Une fois au dessus de la terre, cela à encore été pire.... Les Hurri ont tourné en rond pendant 5mn, on a straffé une base qui était déjà largement détruite. Quelques contactes isolé, pas mal d'info de perte de visuel. Virage au sud, on va vertical fumé pour voir si c'était un train: RAS, puis tout s'enchaine, le chef perd son moteur au premier tir (on a pas vu venir l'ENI, d’ailleurs, je ne ma rappel pas avoir visuel sur le chef, erreur tactic de ma part), ensuite, des 109 partout, des Spit aussi, on tourne à droite, à gauche, un tir de loin pour faire peur mais, erreur tactic n°2, je ne tente pas de regrouper sur mon numéro 2 qui tombe lui aussi bientôt. Mais comment se regrouper, la canal était saturé par les Spit au combat, ou à la recherche de l'ENI )
La suite évidente, je suis la proie suivante, je tente bien de fuir, cap SOLEIL, j'annonce, à tout hasard mon cap à la couverture mais je suis toujours poursuivi, par un , puis deux puis trois 109.
Radiateur percé, j'en ai pour 20s encore, puis le moulin me lâche, train sortie, volet aussi, je tente un attéro dans une prairie, je passe entre deux arbres, rebondi sur la berge d'une rivière que je n'avais pas vue et... explose : bonsoir tout le monde.....
Non Mike, ta mission n'y est pour rien, vous étiez plus fort que nous en qualité, nous avions divisé nos troupes, pourtant les Hurri+Spit volaient dans leur domaine de prédilection mais le problème est que nous n'avions pas la suprématie de l'air, nous ne pouvions donc pas, contrairement à vous, rompre le combat comme bon nous semble.
Perso, j'ai fais 2 grosses bourde tactique, mais bon ça n'aurais pas changé grand chose. Une fois l'avantage numérique acquis, il vous était facile de venir à bout de notre force divisé.
Pour nous, ce que je retiens si on devait refaire cette mission:
- ne pas diviser le groupe, l'étager tout au plus
- envoyer les spit en premier pour "nettoyer" la zone
- surtout: ne pas tourner comme des C... sur zone à la recherche d'objectif mais garder un cap
- si engagé (ou menace): les Hurri dégagent la zone
- autres ??? ....
Bref, erreur stratégique, erreurs tactique, ta mission n'y est pour rien (si, vire les IA, je ne les aime pÔ , mais ce n'est que mon petit avis... )
Bize ma poule, je vais continuer à tenter de digérer ce .... résultat
Bon, après avoir tenté de digéré notre défaite (enfin, plutôt désastre ), je tente de faire court:
- la stratégie proposée était de faire deux groupes , mixte de 3 Hurri et 3 Spit chacun, chaque groupe avait à charge un carré de 10km². On ne devait pas s'y rendre "directement" mais apres un bon gros détour, l'un par le Nord, l'autre par le Sud. L'idéal aurait été "d'engager" nos destructions en même temps... (mais ceci n'a pas été dit )
- début des problèmes, j'ai trouvé le deuxième groupe très long à se former alors que le premier avait déjà pris le cap
- le premier groupe, à, de plus, apparemment été directement au cap sans faire le "gros" détour par le nord et c'est donc retrouvé face aux 109 pied dans l'eau.... et à été totalement (?) détruit.
- pour le deuxieme groupe, il n'était pas facile, voir impossible, de garder le visuel entre les Spit en alti et les hurri en bas. On a perdu encore du temps à se retrouver.. Une fois au dessus de la terre, cela à encore été pire.... Les Hurri ont tourné en rond pendant 5mn, on a straffé une base qui était déjà largement détruite. Quelques contactes isolé, pas mal d'info de perte de visuel. Virage au sud, on va vertical fumé pour voir si c'était un train: RAS, puis tout s'enchaine, le chef perd son moteur au premier tir (on a pas vu venir l'ENI, d’ailleurs, je ne ma rappel pas avoir visuel sur le chef, erreur tactic de ma part), ensuite, des 109 partout, des Spit aussi, on tourne à droite, à gauche, un tir de loin pour faire peur mais, erreur tactic n°2, je ne tente pas de regrouper sur mon numéro 2 qui tombe lui aussi bientôt. Mais comment se regrouper, la canal était saturé par les Spit au combat, ou à la recherche de l'ENI )
La suite évidente, je suis la proie suivante, je tente bien de fuir, cap SOLEIL, j'annonce, à tout hasard mon cap à la couverture mais je suis toujours poursuivi, par un , puis deux puis trois 109.
Radiateur percé, j'en ai pour 20s encore, puis le moulin me lâche, train sortie, volet aussi, je tente un attéro dans une prairie, je passe entre deux arbres, rebondi sur la berge d'une rivière que je n'avais pas vue et... explose : bonsoir tout le monde.....
Non Mike, ta mission n'y est pour rien, vous étiez plus fort que nous en qualité, nous avions divisé nos troupes, pourtant les Hurri+Spit volaient dans leur domaine de prédilection mais le problème est que nous n'avions pas la suprématie de l'air, nous ne pouvions donc pas, contrairement à vous, rompre le combat comme bon nous semble.
Perso, j'ai fais 2 grosses bourde tactique, mais bon ça n'aurais pas changé grand chose. Une fois l'avantage numérique acquis, il vous était facile de venir à bout de notre force divisé.
Pour nous, ce que je retiens si on devait refaire cette mission:
- ne pas diviser le groupe, l'étager tout au plus
- envoyer les spit en premier pour "nettoyer" la zone
- surtout: ne pas tourner comme des C... sur zone à la recherche d'objectif mais garder un cap
- si engagé (ou menace): les Hurri dégagent la zone
- autres ??? ....
Bref, erreur stratégique, erreurs tactique, ta mission n'y est pour rien (si, vire les IA, je ne les aime pÔ , mais ce n'est que mon petit avis... )
Bize ma poule, je vais continuer à tenter de digérer ce .... résultat
"Les chiens aboient, la caravane passe..."
#39
Erel, ailier Hurri Alpha (Emile, Erel, Gourmand).
Comme l'a décrit mon leader, nous arrivons un peu tôt sur la France et devons longer les côtes à bonne distance pour attendre le second groupe.
Les spits de couverture ont semble-t-il moins bien apprécié la Flak que nous et je crois comprendre à la radio qu'un des appareils repart vers l'Angleterre, moteur touché.
Quelques instants plus tard, nous croisons 3 109 éloignés qui nous apercoivent de suite.
Après 2 minutes vers l'angleterre à fond les manettes pour essayer de réduire la distance avec d'éventuels renforts, nous nous rendons à l'évidence. Il faut faire face!
Le combat s'engage aussitôt et, heureusement, les 109 nous suivent dans du tournoyant.
Résultat, nous arrivons plus ou moins à nous dégager mutuellement voire à devenir dangereux pour les boches.
Personnellement, j'en marque un blanc et voit un autre Hurri (Gourmand?) toucher un autre 109.
Cependant, même si certain 109 se prennent au jeu des ciseaux, je ne suis pas confiant pour la suite car notre groupe se disperse lentement et la couverture ne nous retrouve toujours pas.
A ce moment là, j'entends Emile annoncer qu'il est touché et qu'il part au bouillon.
Du coin de l'oeil, je vois un des 109 filer vers la France et je me dis que, à 2 contre 2, c'est le moment de tenter de rompre le combat.
Gourmand a la même idée et nous profitons chacun d'une opportunité pour dégager, les 109 ayant l'élégance de nous laisser filer.
Du coup, un peu dépité de ne pas avoir approché les côtes, nous décidons de repartir à 2 vers la France pour traiter notre zone.
Gourmand, légèrement touché, peine un peu à suivre mais reste au contact.
Les spits étant injoignable, nous pénétrons ttba un peu au nord et nous enfonçons dans les terres.
Nous passons par hasard en bout de piste d'une base située à l'est immédiat de la pointe de wissant. Il y a des appareils et des véhicules sur le parking sud mais un peu étonné et surtout soulagés de ne pas avoir été allumé par la Flak, on poursuit vers notre zone qui est 10 kms plus loin.
Arrivés, sur zone, à peine le temps de commencer à chercher une cible qu'un 109 me passe à fond devant le nez.
Heureusement que les boches sont disciplinés et qu'ils ne tirent pas avant d'identifier leur cible sinon, je n'aurai pas eu l'opportunité de vous imposer ma prose.
Bref, rebelote mais ce coup-ci à 2 contre 4. Et pas des gentils qui se mettent à tourner.
Non non, dès qui plongent, tirent, remontent et replongent...
Un seul aura l'idée de suivre Gourmand dans son virage et se mettra dans une vrille fatale.
Hélas, cette joie sera de courte durée t Gourmand sera rapidement touché à son tour.
De mon côté, j'arrive à m'éclipser discrètement.
Arrivé au milieu du Channel, je repasse en canal Bravo, entend que ça barde quelque part mais mes messages restent sans réponse.
Mon groupe décimé, isolé donc inutile, je me dis que la meilleure chose à faire c'est de rentrer vivant pour que le sacrifice des copains ne soit pas totalement vain.
Posé à Littlestone, je suis stupéfait de constater que mon appareil n'a même pas une égratgnure.
Quels enseignement retirer de cette hécatombe?
Nous sommes partis trops vite sur zone sans nous laisser la possibilité de nous aider mutuellement entre les 2 groupes. Résultat, on a tous été en infériorité numérique.
Qu'une zone de regroupement définie à l'avance aurait pu aider les dispos à se reconstituer en cas d'aléa (genre, quand on a perdu la couverture des spits)
Qu'il faut que je vérifie mon whisper avant de partir (normal que personne ne m'ait entendu!)
Que j'ai vraiment l'impression que les 109 rencontrés ont plus cherché à nous empêcher de passer que nous abattre, ce qui nous a permis de dégager "facilement" à 2 reprises.
Comme l'a décrit mon leader, nous arrivons un peu tôt sur la France et devons longer les côtes à bonne distance pour attendre le second groupe.
Les spits de couverture ont semble-t-il moins bien apprécié la Flak que nous et je crois comprendre à la radio qu'un des appareils repart vers l'Angleterre, moteur touché.
Quelques instants plus tard, nous croisons 3 109 éloignés qui nous apercoivent de suite.
Après 2 minutes vers l'angleterre à fond les manettes pour essayer de réduire la distance avec d'éventuels renforts, nous nous rendons à l'évidence. Il faut faire face!
Le combat s'engage aussitôt et, heureusement, les 109 nous suivent dans du tournoyant.
Résultat, nous arrivons plus ou moins à nous dégager mutuellement voire à devenir dangereux pour les boches.
Personnellement, j'en marque un blanc et voit un autre Hurri (Gourmand?) toucher un autre 109.
Cependant, même si certain 109 se prennent au jeu des ciseaux, je ne suis pas confiant pour la suite car notre groupe se disperse lentement et la couverture ne nous retrouve toujours pas.
A ce moment là, j'entends Emile annoncer qu'il est touché et qu'il part au bouillon.
Du coin de l'oeil, je vois un des 109 filer vers la France et je me dis que, à 2 contre 2, c'est le moment de tenter de rompre le combat.
Gourmand a la même idée et nous profitons chacun d'une opportunité pour dégager, les 109 ayant l'élégance de nous laisser filer.
Du coup, un peu dépité de ne pas avoir approché les côtes, nous décidons de repartir à 2 vers la France pour traiter notre zone.
Gourmand, légèrement touché, peine un peu à suivre mais reste au contact.
Les spits étant injoignable, nous pénétrons ttba un peu au nord et nous enfonçons dans les terres.
Nous passons par hasard en bout de piste d'une base située à l'est immédiat de la pointe de wissant. Il y a des appareils et des véhicules sur le parking sud mais un peu étonné et surtout soulagés de ne pas avoir été allumé par la Flak, on poursuit vers notre zone qui est 10 kms plus loin.
Arrivés, sur zone, à peine le temps de commencer à chercher une cible qu'un 109 me passe à fond devant le nez.
Heureusement que les boches sont disciplinés et qu'ils ne tirent pas avant d'identifier leur cible sinon, je n'aurai pas eu l'opportunité de vous imposer ma prose.
Bref, rebelote mais ce coup-ci à 2 contre 4. Et pas des gentils qui se mettent à tourner.
Non non, dès qui plongent, tirent, remontent et replongent...
Un seul aura l'idée de suivre Gourmand dans son virage et se mettra dans une vrille fatale.
Hélas, cette joie sera de courte durée t Gourmand sera rapidement touché à son tour.
De mon côté, j'arrive à m'éclipser discrètement.
Arrivé au milieu du Channel, je repasse en canal Bravo, entend que ça barde quelque part mais mes messages restent sans réponse.
Mon groupe décimé, isolé donc inutile, je me dis que la meilleure chose à faire c'est de rentrer vivant pour que le sacrifice des copains ne soit pas totalement vain.
Posé à Littlestone, je suis stupéfait de constater que mon appareil n'a même pas une égratgnure.
Quels enseignement retirer de cette hécatombe?
Nous sommes partis trops vite sur zone sans nous laisser la possibilité de nous aider mutuellement entre les 2 groupes. Résultat, on a tous été en infériorité numérique.
Qu'une zone de regroupement définie à l'avance aurait pu aider les dispos à se reconstituer en cas d'aléa (genre, quand on a perdu la couverture des spits)
Qu'il faut que je vérifie mon whisper avant de partir (normal que personne ne m'ait entendu!)
Que j'ai vraiment l'impression que les 109 rencontrés ont plus cherché à nous empêcher de passer que nous abattre, ce qui nous a permis de dégager "facilement" à 2 reprises.
#40
Merci aux rouges pour votre analyse impartiale.
Vu de l'extérieur, je pensais vraiment que c'était la mission le problème...
Vu de l'extérieur, je pensais vraiment que c'était la mission le problème...
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- Mécano au sol
- Messages : 491
- Inscription : 28 octobre 2012
La RAF a predu une bataille mais n'a pas perdu la Gerre.
#41Si je peu me permettre une petite critique sur la mission, ce serais son nom ! les missions RODEO on effectivement eu lieu en 1941 mais elle consistais en une pénétration à très basse altitude de petits groupes de Spitfires (2,3 ou 4 appareils) en formations serré pour traiter des objectifs d'opportunités et surtout éviter la chasse allemande à tout prix.
Je pense également comme la plus part des pilotes que les pertes britanniques sur cette missions sont surtout du à un amateurisme flagrant au niveau de la préparation et de l'organisation des opérations et pas du tout au concepteurs de cette mission qui du reste a été riche en enseignements.
Un grand merci aux organisateurs:notworthy.
Je pense également comme la plus part des pilotes que les pertes britanniques sur cette missions sont surtout du à un amateurisme flagrant au niveau de la préparation et de l'organisation des opérations et pas du tout au concepteurs de cette mission qui du reste a été riche en enseignements.
Un grand merci aux organisateurs:notworthy.
Config: I5 2500k / 8 Go DDR3 2400mhz / GTX 970 / Trackir 5 / Joystick : FFB2 Microsoft / Palonier : Saiteck Rudder Pro / Ecran: IIyama G2773HS
Site web et forum de la I/JG2 Richthofen : www.1jg2.net
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- Pilote Confirmé
- Messages : 2127
- Inscription : 24 mai 2005
#42
Ben toi au moins t'es pas là pour redonner du baume au cœur ....'sont surtout du à un amateurisme flagrant au niveau de la préparation et de l'organisation des opérations '
Mais j'ai trouvé le prochain lead pour la préparation et l'organisation de la mission 6 .... ^^
"Les chiens aboient, la caravane passe..."
-
- Apprenti-Mécano
- Messages : 248
- Inscription : 13 septembre 2010
#43
OBT~Miguel21 a écrit : Ben toi au moins t'es pas là pour redonner du baume au coeur ....
Mais j'ai trouvé le prochain lead pour la preparation et l'organisation de la mission 6 .... ^^
Bouma au charbon !!!
Théorème Shadok : il vaut mieux mobiliser son intelligence sur des conneries que mobiliser sa connerie sur des choses intelligentes
#44
C'était pas plutôt Rhubarb, ce que tu décris ?611Sqn_Bouma a écrit :Si je peu me permettre une petite critique sur la mission, ce serais son nom ! les missions RODEO on effectivement eu lieu en 1941 mais elle consistais en une pénétration à très basse altitude de petits groupes de Spitfires (2,3 ou 4 appareils) en formations serré pour traiter des objectifs d'opportunités et surtout éviter la chasse allemande à tout prix.
"Tu as peur, Boyington, tu refuses le combat" (Tomio Arachi).
#45
De ma petite expérience d'ex-concepteur de mission il est relativement rare que les choses se passent exactement comme prévu au moment de la conception de la mission et c'est d'ailleurs tout l'intérêt de la chose
A mon avis le plus grand risque des missions d'interceptions avec des cibles assez vastes reste quand même de ne jamais voir l'ennemi. On reste dans le domaine de la simulation et à part dans certaines campagnes (style CF ) la plupart des joueurs veulent un minimum de dogfight (surtout du côté de l'interception ... )
Toute la subtilité c'est de laisser des options suffisantes aux pilotes pour ne pas transformer une mission en dog géant sans pour autant laisser les intercepteurs tourner en rond avec de très faibles chances de combat.
Vu de l'extérieur, j'ai vraiment l'impression que cette mission aurait pu se dérouler tout autrement et cela sans changer la tactique choisie par les Anglais
A mon avis le plus grand risque des missions d'interceptions avec des cibles assez vastes reste quand même de ne jamais voir l'ennemi. On reste dans le domaine de la simulation et à part dans certaines campagnes (style CF ) la plupart des joueurs veulent un minimum de dogfight (surtout du côté de l'interception ... )
Toute la subtilité c'est de laisser des options suffisantes aux pilotes pour ne pas transformer une mission en dog géant sans pour autant laisser les intercepteurs tourner en rond avec de très faibles chances de combat.
Vu de l'extérieur, j'ai vraiment l'impression que cette mission aurait pu se dérouler tout autrement et cela sans changer la tactique choisie par les Anglais
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- Jeune Pilote
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- Inscription : 08 mars 2009
#46
611Sqn_Bouma a écrit : Je pense également comme la plus part des pilotes que les pertes britanniques sur cette missions sont surtout du à un amateurisme flagrant au niveau de la préparation et de l'organisation des opérations
...
Bouma, je suis tout à fait d'accord avec toi... l'organisation était insuffisante et s'est faite juste avant la mission.
Mais comme tout participant tu peux toi aussi proposer une organisation...
Je soulignerais par ailleurs que ton esprit critique avait l'air beaucoup moins affuté avant la mission car tu n'as fait aucunes propositions...
Etant donné ta grande compétence, j'espère que la prochaine fois tu te porteras volontaire lorsqu'on demandera des leader de groupe...
#47
oui enfin comme toute partie il2 46 et clodo, in team ou extra team que j'ai faite...l'organisation était insuffisante et s'est faite juste avant la mission.
dans l'absolue, l'attribution des ailiers, le plan de vol, les étiquettes des avions, c'est cool si c fait avant....
mais bien qu'il y ai des inscriptions, il y a des désistement, des crash ingame en début de partie et des gars qui peuvent se pointer a l'improviste...
de plus on est multi-guilde, donc déjà pour organiser un truc viable c'est déjà de l'exploit...
a mes debut j'avait un peu cette reflexion la, de trouver dommage de s'orga au dernier moment...
et puis vu le boulot que sa demande deja de faire les missions, le briefing, de regrouper du monde...
et puis dans 50% des cas on rejoint pas l'autre groupe de copain et on improvise en vol...
( et dans 25M des cas ou croise meme pas les opposant )
donc je suis pas contre tout planifier avant, mais je ne le reprocherai pas moi, personnellement, vu que sa se passe rarement tel que planifier
quid si le leader d'une mission planifier 1 sem a l'avance n'est pas la?
quid du copain de la concierge qui se pointe et veux nous rejoindre pour la soirée par exemple, sa posera de nouvelle problematique...
#48
Une possibilité est de scinder la partie.
Par exemple 20 ou 30mn à blanc (vol possible) pour permettre à chaque camp de s'organiser, de faire des repérages, plan de vol etc. Puis, démarrage de la mission en réel. Bien sûr ça veut dire héberger une partie préliminaire à la vraie mission - je ne sais pas si c'est galère ou pas d’héberger. Bon, ça ne simplifie certes pas l'ensemble !
Par exemple 20 ou 30mn à blanc (vol possible) pour permettre à chaque camp de s'organiser, de faire des repérages, plan de vol etc. Puis, démarrage de la mission en réel. Bien sûr ça veut dire héberger une partie préliminaire à la vraie mission - je ne sais pas si c'est galère ou pas d’héberger. Bon, ça ne simplifie certes pas l'ensemble !