Tiens une petite question : D'où est ce que çà viens cette idée que dans un avion le pilote doit être à gauche ? Pourquoi pas par convention à droite ?
Pour ma part, venant de l'hélico, je passe un PPL en ce moment, et j'avoue que çà fait tout drôle au début lorsque on te dit "pilote de la main gauche, toujours la main opposée au compensateur"
Question "bête" ^^
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RAMIUS1983
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JulietBravo
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#2
Le CdB serait à gauche car certes la position est moins confortable (pilotage de la main gauche), mais c'est le plus qualifié des 2 donc ça le gênera moins que le copilote ???
#3
Une tentative de réponse :
http://www.helico-fascination.com/recit ... e.html?186
Enfin la main n'est pas collée au manche, tu changes en fonction de ce que tu dois faire
http://www.helico-fascination.com/recit ... e.html?186
Enfin la main n'est pas collée au manche, tu changes en fonction de ce que tu dois faire
#4
RAMIUS1983 a écrit :Tiens une petite question : D'où est ce que çà viens cette idée que dans un avion le pilote doit être à gauche ? Pourquoi pas par convention à droite ?
ça vient de l'équitation, domaine où on aborde un bourrin toujours du même côté pour ne justement pas voir le côté bourrin de la bête. Et on s'installe du côté où on monte.
L'équitation, et en particulier la cavalerie, on apporté beaucoup à l'aviation en terme de traditions ou de vocabulaire, mais sans doute un peu moins que la Marine.
#6
J'ajouterais que ca ne change absolument rien de piloter de la place gauche (au niveau facilité d'actionnement des commandes).
#7
Certes, pour un Boeing ou un Mirage, c'est logique. Pour un Blériot XI, ou le 14bis de Santos, ça n'aurait rien eu d’aberrant...Jaj'Air a écrit :C'est vrai, quand on rentre dans un avion, on dit plutôt "monter à bord" que "en selle!"..
#8
Aux débuts de l'aviation, il y avait deux courants de méthode de "pilotage" :fredem a écrit :Certes, pour un Boeing ou un Mirage, c'est logique. Pour un Blériot XI, ou le 14bis de Santos, ça n'aurait rien eu d’aberrant...
- La méthode "cavalier" où on considérait que le "pilote" devait "chevaucher" son avion, c'était la méthode des frères Wright entre autre, concrètement, cela voulait dire que le "pilotage" nécessitait par principe un peu d'adresse et que donc ce n'était pas grave si l'avion était un peu instable.
- La méthode "pilotage" comme pour un navire, pour laquelle l'avion devait être le plus souple possible, le plus stable ... C'était l'approche Européenne, dès le début.
"Tu as peur, Boyington, tu refuses le combat" (Tomio Arachi).