eutoposWildcat a écrit :Sauf peut-être les habitants des Malouines, déjà.
C'est sûr, on leur a bien bourré le mou, mais ça ne veut pas dire que l'île doive être pour autant aux brits, même si au regard du droit international elle l'est depuis longtemps et actuellement...
Ils devriaent continuer leur "redécolonisation intelligente", comme ils laissent faire en Écosse, et en profiter pour "rendre" l'Irlande du Nord, comme ça on serait sûr qu'ils ne troubleraient plus à l'heure où on n'a plus besoin de ça, et on n'en parlerait plus une bonne fois pour toutes... Il ne s'agirait juste que de la moitié, c'est plus acceptable qu'ils s'entretuent pour pas grand chose de vraiment digne de s'entretuer...
eutoposWildcat a écrit :Quant aux Britanniques, ils ne sont pas plus irrationnels ou obtus que n'importe qui d'autre: en l'absence de menace militaire crédible de la part des Argentins, je ne distingue pas d'intérêt démontrable pour eux à "lâcher" sur quelque chose.
Ben moi ils me semblent bien obtus, menaces crédibles ou pas, et ils en ont pas besoin pour me le paraître, ce serait plutôt lié à leur obstination actuelle et passée.
Ils en ont une longue tradition : nous, les Indes, les USA, le monde entier même quand ils n'en avaient pas les moyens, maintenant ils sont dans l'Europe et évidemment ils ont le culot - ou l'insolence c'est selon mais en tout cas mal placé - d'imposer leurs exigences à la noix en se croyant encore et toujours au-dessus de tout, alors qu'il y a longtemps qu'ils ne le sont plus guère que par les armes, encore que...
Ça me paraît de plus en plus une provocation dont tout le monde se passerait vraiment bien.
Alors qu'ils feraient un geste de bonne volonté, tout le monde y gagnerait vraiment (surtout eux en image), c'est pas pour ce que ça coûte, une moitié d'île riquiqui, tu parles, en gardant les habitants et en vivant en bon voisinnage, comme ça se fait encore dans certains endroits du monde...
Tout ça pour du pétrole, faut vraiment qu'ils n'aient que ça a faire, en plus ça doit leur coûter cher d'aller forer là-bas aux rosbifs, c'est pas la porte à côté...
Deux Zeros arrivent l'un en face de l'autre.
Le chef de patrouille : "Zero Banzaï de Zero Tokyo, virez à droite"
Zero Banzaï : "Zero Tokyo de Zero Banzaï, laquelle chef ? La vôtre ou la mienne ?
Zero Tokyo : "... [soupir]"