Aéro-Journal n° 27 (février 2012)
Aéro-Journal n° 27 (février 2012)
#1Aéro-Journal n° 27
(février 2012)
Straferset big guns
Les B-25 à « nez solide »
par Guy Julien
Extrêmement polyvalent, le Mitchell a été apprécié dans toutes les missions qui lui ont été confiées. Nulles cependant n’étaient plus risquées que celles assignées aux strafers.
Qu’il ait été équipé dès l’origine d’un « solid nose » ou bricolé à partir d’un bombardier standard, le strafer est un destructeur. Véritables gunships, pouvant pointer vers l’avant jusqu’à dix mitrailleuses et un canon de 75 mm, ces canonnières du ciel vont s’acharner dès 1943 à réduire en charpie les forces de l’Axe, de la Sardaigne au Yang‑Tsé en passant par la Nouvelle‑Guinée.
L’opération « S »
New York, cible du Duce
par Yann Mahé
Après l’entrée en guerre des États-Unis, l’Italie de Mussolini, qui leur a déclaré la guerre dans le cadre du Pacte tripartite, va concevoir de multiples projets pour porter atteinte au prestige de la patrie de l’Oncle Sam... New York, symbole de la puissance économique américaine, va être particulièrement visée.
L’épopée d’un équipage de B-17
par Paul Villatoux
Si dans l’esprit du grand public, le B-17 Flying Fortress est sans doute le plus célèbre des bombardiers de la Seconde Guerre mondiale, le quotidien des hommes qui forment les équipages demeure largement méconnu. Ces aviateurs, engagés dans la plus impressionnante campagne de bombardement de l’histoire, combattent et disparaissent dans l’ombre et l’anonymat. Leurs témoignages, recueillis dans l’après-guerre, permettent de nous replonger dans une épopée faite d’abnégation et de courage.
Jagdgeschwader(2)
JG 5
La JG 5 Eismeer (mer de Glace), ainsi surnommée parce qu’elle a principalement combattu dans le Grand Nord, est probablement l’escadre de chasse de la Luftwaffe qui a connu la plus longue intégrité dans le déploiement géographique de ses Gruppen. Elle présente aussi la particularité d’avoir englobé une escadrille de chasse lourde sur Bf 110.
JG 6
La JG 6 est certainement l’escadre de chasse la moins documentée de la Luftwaffe. Créée tardivement, elle s’est surtout fait remarquer par les nombreux massacres dont elle a été l’objet et, en dépit du passage à sa tête de deux des plus grandes personnalités de la chasse allemande, elle n’a pas laissé beaucoup de traces.
JG 7
Si la JG 7 a été devancée de quelques mois par la JG 400 et le N° 606 Squadron de la RAF pour décrocher le titre de première unité de chasse opérationnelle sur jet au monde, elle fut la seule à disposer d’avions performants capables d’engager la chasse ennemie.
Les avions de combat français 1939-1940
Le Latécoère 298
par C-J. Ehrengardt
Curieux destin que celui de ce remarquable hydravion qu’est le Laté 298. Bien campé sur ses deux flotteurs démesurés, il a promené sa silhouette si particulière au-dessus de tous les points chauds, du Cotentin aux rivages africains en passant par les ports libanais. Il a été employé dans tous les rôles imaginables : reconnaissance, bombardement horizontal et en semi-piqué, de jour comme de nuit, lutte antichar, lutte anti-sous-marine et même... chasse. Le plus étonnant de l’histoire reste qu’il n’a jamais été utilisé dans le rôle pour lequel il avait été conçu : le torpillage ! Par une curieuse ironie du sort, le seul Laté 298 idéalement placé pour attaquer des navires ennemis n’était pas armé de torpille ce jour-là...
L’étrange mort du vice-régent de Hongrie
par Alexandre Thers
En vente dans toutes les boulangeries-pâtisseries à partir du 26 janvier.
(février 2012)
Straferset big guns
Les B-25 à « nez solide »
par Guy Julien
Extrêmement polyvalent, le Mitchell a été apprécié dans toutes les missions qui lui ont été confiées. Nulles cependant n’étaient plus risquées que celles assignées aux strafers.
Qu’il ait été équipé dès l’origine d’un « solid nose » ou bricolé à partir d’un bombardier standard, le strafer est un destructeur. Véritables gunships, pouvant pointer vers l’avant jusqu’à dix mitrailleuses et un canon de 75 mm, ces canonnières du ciel vont s’acharner dès 1943 à réduire en charpie les forces de l’Axe, de la Sardaigne au Yang‑Tsé en passant par la Nouvelle‑Guinée.
L’opération « S »
New York, cible du Duce
par Yann Mahé
Après l’entrée en guerre des États-Unis, l’Italie de Mussolini, qui leur a déclaré la guerre dans le cadre du Pacte tripartite, va concevoir de multiples projets pour porter atteinte au prestige de la patrie de l’Oncle Sam... New York, symbole de la puissance économique américaine, va être particulièrement visée.
L’épopée d’un équipage de B-17
par Paul Villatoux
Si dans l’esprit du grand public, le B-17 Flying Fortress est sans doute le plus célèbre des bombardiers de la Seconde Guerre mondiale, le quotidien des hommes qui forment les équipages demeure largement méconnu. Ces aviateurs, engagés dans la plus impressionnante campagne de bombardement de l’histoire, combattent et disparaissent dans l’ombre et l’anonymat. Leurs témoignages, recueillis dans l’après-guerre, permettent de nous replonger dans une épopée faite d’abnégation et de courage.
Jagdgeschwader(2)
JG 5
La JG 5 Eismeer (mer de Glace), ainsi surnommée parce qu’elle a principalement combattu dans le Grand Nord, est probablement l’escadre de chasse de la Luftwaffe qui a connu la plus longue intégrité dans le déploiement géographique de ses Gruppen. Elle présente aussi la particularité d’avoir englobé une escadrille de chasse lourde sur Bf 110.
JG 6
La JG 6 est certainement l’escadre de chasse la moins documentée de la Luftwaffe. Créée tardivement, elle s’est surtout fait remarquer par les nombreux massacres dont elle a été l’objet et, en dépit du passage à sa tête de deux des plus grandes personnalités de la chasse allemande, elle n’a pas laissé beaucoup de traces.
JG 7
Si la JG 7 a été devancée de quelques mois par la JG 400 et le N° 606 Squadron de la RAF pour décrocher le titre de première unité de chasse opérationnelle sur jet au monde, elle fut la seule à disposer d’avions performants capables d’engager la chasse ennemie.
Les avions de combat français 1939-1940
Le Latécoère 298
par C-J. Ehrengardt
Curieux destin que celui de ce remarquable hydravion qu’est le Laté 298. Bien campé sur ses deux flotteurs démesurés, il a promené sa silhouette si particulière au-dessus de tous les points chauds, du Cotentin aux rivages africains en passant par les ports libanais. Il a été employé dans tous les rôles imaginables : reconnaissance, bombardement horizontal et en semi-piqué, de jour comme de nuit, lutte antichar, lutte anti-sous-marine et même... chasse. Le plus étonnant de l’histoire reste qu’il n’a jamais été utilisé dans le rôle pour lequel il avait été conçu : le torpillage ! Par une curieuse ironie du sort, le seul Laté 298 idéalement placé pour attaquer des navires ennemis n’était pas armé de torpille ce jour-là...
L’étrange mort du vice-régent de Hongrie
par Alexandre Thers
En vente dans toutes les boulangeries-pâtisseries à partir du 26 janvier.
#2
Très tenté par l'article sur les B25s "solid nose"
"Tu as peur, Boyington, tu refuses le combat" (Tomio Arachi).
-
- Pilote Confirmé
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- Inscription : 13 mars 2009
#6
PatCartier a écrit :Il s'agit d'un B17 de quelle unité ?
Pas d'unité.
Il s'agit, en fait, de décrire comment une mission typique se préparait et s'effectuait. Du breakfast au debriefing.
#7
Le sommaire d'un numéro pour aérophile curieux
Et c'est confirmé:
Et c'est confirmé:
Comme dit Kamov: Miam!!!!CJE a écrit :Pas d'unité.
Il s'agit, en fait, de décrire comment une mission typique se préparait et s'effectuait. Du breakfast au debriefing.
#8
On aura le menu ?CJE a écrit : (...) Du breakfast (...)
"Tu as peur, Boyington, tu refuses le combat" (Tomio Arachi).
#9
Il suffit de demander :
«Au menu, nous avions le bon vieux
breakfast traditionnel américain, des œufs au bacon. Il
n’y avait pas vraiment de raison de s’en réjouir dans la
mesure où cela voulait dire que nous allions pénétrer
profondément à l’intérieur de l’Allemagne. Si la cible avait
été sur l’Europe occupée, ce qui signifiait moins de chasseurs
et moins d’artillerie antiaérienne, nous aurions eu
des œufs en poudre et du spam.»
Ensuite, vous prendrez un café ? [/SIZE][/font][/SIZE][/font]
«Au menu, nous avions le bon vieux
breakfast traditionnel américain, des œufs au bacon. Il
n’y avait pas vraiment de raison de s’en réjouir dans la
mesure où cela voulait dire que nous allions pénétrer
profondément à l’intérieur de l’Allemagne. Si la cible avait
été sur l’Europe occupée, ce qui signifiait moins de chasseurs
et moins d’artillerie antiaérienne, nous aurions eu
des œufs en poudre et du spam.»
Ensuite, vous prendrez un café ? [/SIZE][/font][/SIZE][/font]
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#10
Je viens de finir l'article sur les strafers, c'est un bon résumé du boulot abattu par ces équipages.
Juste une remarque sans réelle importance : je suppose que « Balikapan » (p34) se réfère en fait à Balikpapan (ville sur l'ile de Bornéo) ?
Juste une remarque sans réelle importance : je suppose que « Balikapan » (p34) se réfère en fait à Balikpapan (ville sur l'ile de Bornéo) ?
#12
Pour Balikpapan la réponse est oui. Sur le fond effectivement c'est un résumé , les missions Anti-shipping en Méditerranée ou l'épopée des PBJ auraient mérités plus que des articles à eux seuls. Pour ceux qui, comme mon rédacteur en chef, s'étonnent que je ne fasse pas connaître le sort du pont visé par les Bridge Busters du côté de Mandalay voilà la suite .
« Nous laissons Mandalay en arrière. Nous volons très bas au-dessus de la jungle qui défile à toute vitesse sous nos ailes. La soute à bombes est ouverte. Soudain le staccato des nos mitrailleuses avant résonne dans tout le fuselage. J’observe des balles traçantes aussitôt happées par la végétation et, à mon tour, j’ouvre le feu sur un hypothétique emplacement de DCA. Une trouée au milieu de la forêt nous permet enfin de distinguer l'objectif. C’est un pont routier d’à peine trente mètres de long, dont l’arche unique enjambe une rivière. Au même instant l’artillerie ennemie entre en action et couvre les abords de l’objectif d’une colonie de petits nuages blancs d’aspect inoffensif. Le navigateur annonce alors que nous sommes à 10 secondes de la cible. A peu de distance on aperçoit un autre pont, de chemin de fer celui là, écroulé dans la rivière.
-"Nous l'avons traité il y a à peine huit jours"- me dira au retour le Lieutenant Bloodworth- "Nous avons ainsi coupé la seule ligne qui relie Mandalay au nord de la Birmanie"-
Les bombes sont largées. Encadré par les tir de DCA l'avion qui entamme alors une chandelle et presque aussitôt est secoué par l'onde de choc résultant de l'explosion de ses projectiles.
-" Mitrailleur de queue à pilote, Mitrailleur de queue à pilote , c'est raté".
-"Trop court et à gauche mais je pense que l'arche a du en prendre un sacré coup et que maintenant ce foutu pont doit ressembler un peu à la tour de Pise"
GUJU
« Nous laissons Mandalay en arrière. Nous volons très bas au-dessus de la jungle qui défile à toute vitesse sous nos ailes. La soute à bombes est ouverte. Soudain le staccato des nos mitrailleuses avant résonne dans tout le fuselage. J’observe des balles traçantes aussitôt happées par la végétation et, à mon tour, j’ouvre le feu sur un hypothétique emplacement de DCA. Une trouée au milieu de la forêt nous permet enfin de distinguer l'objectif. C’est un pont routier d’à peine trente mètres de long, dont l’arche unique enjambe une rivière. Au même instant l’artillerie ennemie entre en action et couvre les abords de l’objectif d’une colonie de petits nuages blancs d’aspect inoffensif. Le navigateur annonce alors que nous sommes à 10 secondes de la cible. A peu de distance on aperçoit un autre pont, de chemin de fer celui là, écroulé dans la rivière.
-"Nous l'avons traité il y a à peine huit jours"- me dira au retour le Lieutenant Bloodworth- "Nous avons ainsi coupé la seule ligne qui relie Mandalay au nord de la Birmanie"-
Les bombes sont largées. Encadré par les tir de DCA l'avion qui entamme alors une chandelle et presque aussitôt est secoué par l'onde de choc résultant de l'explosion de ses projectiles.
-" Mitrailleur de queue à pilote, Mitrailleur de queue à pilote , c'est raté".
-"Trop court et à gauche mais je pense que l'arche a du en prendre un sacré coup et que maintenant ce foutu pont doit ressembler un peu à la tour de Pise"
GUJU
#14
Malheureusement non! Il s'identifie généralement par une suite invariante de trois lettres, nous communiquons par messages codés sur internet et en cas d'urgence seulement j'ai un numéro de téléphone.
GUJU
GUJU
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#15
Ça ira pour cette fois .CJE a écrit :Oui, il manque un "p".
Désolé.
Des articles sur les strafers en méditerranée sont-ils prévus ? On peut faire du lobbying auprès du redac-chef à trois lettres ?
#16
Ou de la corruption?
Peut être qu'avec un bon malt d'au moins 15 ans d'age?
J'ai une question à propos de l'encyclopédie des JG.
Il y aura une coupure pour respirer de temps à autre, ou bien on est parti pour une suite ininterrompue jusqu'à atteindre la JG400?
Peut être qu'avec un bon malt d'au moins 15 ans d'age?
J'ai une question à propos de l'encyclopédie des JG.
Il y aura une coupure pour respirer de temps à autre, ou bien on est parti pour une suite ininterrompue jusqu'à atteindre la JG400?
#17
III/JG52-Freiherr V. Kaos a écrit :Il y aura une coupure pour respirer de temps à autre, ou bien on est parti pour une suite ininterrompue jusqu'à atteindre la JG400?
C'est si pénible que ça ?
#18
Non, pas pour le moment, mais sur le long terme, peut être.
J'ai calculé grosso merdo, et si tu comptes toute les faire, il faut compter une quinzaine de n°.
Je parle bien de toute, en comptant les moins connues, toutes celles de la série 100, quoiqu'il n'y ai peut être pas lourd à dire pour certaines, et que l'histoire se recoupe pour d'autre.
A moins que tu ne te cantonne qu'au 1/2/3/5/6/7/11/26/27/51/52/53/54/77/300/301/302/400?
J'ai calculé grosso merdo, et si tu comptes toute les faire, il faut compter une quinzaine de n°.
Je parle bien de toute, en comptant les moins connues, toutes celles de la série 100, quoiqu'il n'y ai peut être pas lourd à dire pour certaines, et que l'histoire se recoupe pour d'autre.
A moins que tu ne te cantonne qu'au 1/2/3/5/6/7/11/26/27/51/52/53/54/77/300/301/302/400?
#19
Je n'ai pas l'intention de faire la série 100, en tout cas pas sous cette forme : pas assez de photos ni de quoi faire de profils. De toute façon, à partir de la 111, ne se sont pas de vraies JG. Je zappe aussi la série 200 (avant-guerre).
Il reste : 11, 25, 26, 27, 50, 51, 52, 53, 54, 76, 77, 300, 301, 302 et 400.
Cela doit faire 5 ou 6 numéros encore.
Il reste : 11, 25, 26, 27, 50, 51, 52, 53, 54, 76, 77, 300, 301, 302 et 400.
Cela doit faire 5 ou 6 numéros encore.
#20
C'est vrai que ce sont plus des JG d'écolage, mais elles ne sont pas dénuées d’intérêt, ne serait-ce que par le matériel qu'elles ont servi.
Côté photo, je n'ai pas eu l'impression que ce soit si pauvre que ça.
Tiens, une photo garantie d'époque.
(La déco est fausse)
Côté photo, je n'ai pas eu l'impression que ce soit si pauvre que ça.
Tiens, une photo garantie d'époque.
(La déco est fausse)
#21
III/JG52-Freiherr V. Kaos a écrit :C'est vrai que ce sont plus des JG d'écolage, mais elles ne sont pas dénuées d’intérêt, ne serait-ce que par le matériel qu'elles ont servi.
En effet. Je pense qu'il faudra les traiter plus succinctement, peut-être sous forme de tableaux (comme par exemple avec le HS sur le P-47).
Mais comme certaines OTU anglaises ou centres d'instruction à la chasse français, ces JG 100+ ont parfois envoyé leurs instructeurs au combat : 6 "Viermots" revendiqués par la JG 107, le 25 février 1944, dont 2 B-17 et 1 B-24 par le Hauptmann Franz Jänisch, Kommandeur I./JG 107 (un ancien de la Légion Condor). Mais sur quel matériel ? Probablement pas un D.520...
Donc, oui, il y a des choses intéressantes et peu connues à faire remonter à la surface.
#22
Il y a souvent eu de petits clash avec des spits, des typhoon ou des mossies en maraude, aussi.
Tu as quelques billes sur tout ça dans un des Classic, Fledgling eagles, ça doit te rappeler quelque chose. Jolis profils, et quelques photos sympa.
Tu as quelques billes sur tout ça dans un des Classic, Fledgling eagles, ça doit te rappeler quelque chose. Jolis profils, et quelques photos sympa.
#23
III/JG52-Freiherr V. Kaos a écrit :J'ai une question à propos de l'encyclopédie des JG.
Il y aura une coupure pour respirer de temps à autre, ou bien on est parti pour une suite ininterrompue jusqu'à atteindre la JG400?
pour une fois qu'on a un historique en français sur chaque JG à un prix raisonnable on ne va pas s'en plaindre ! (bon je dis ça avec un parti pris parce que je m'intéresse beaucoup aux historiques de ces unités )
par contre quelle source est utilisée pour les encadrés du début de chaque unité ?
#24
CJE a écrit :Il reste : 11, 25, 26, 27, 50, 51, 52, 53, 54, 76, 77, 300, 301, 302 et 400.
Cela doit faire 5 ou 6 numéros encore.
Dommage que ça ne puisse pas être regroupé dans un seul hors série je trouve
j'ai juste eu le temps de lire la partie du dernier numéro sur les JG, l'article sur les B-25 a l'air très intéressant et content de voir que le prochain numéro traitera des opérations du débarquement
#25
J'aime beaucoup la formule actuelle, avec les JG qui prennent une partie du n° et non la totalité.
Le sujet m'intéresse, et j'aime bien aussi en avoir une lecture "aérée" par d'autres sujets.
Après ces flatteries, un petit Lobbying: je n'ai pas souvenir d'avoir lu en magazine, l'avancée des 9th AF et 2nd TAF à la suite de Patton et Montgomery, de la fin de la bataille de Normandie à Market Garden (contrairement à la bataille des Ardennes qui a été plus généreusement traitée). Il y a certes des livres qui traitent de ce sujet, mais ceux-ci sont de plus en plus mal vus par la maîtresse de maison, alors que j'arrive encore à faire passer les magazines
A vot' bon coeur
Le sujet m'intéresse, et j'aime bien aussi en avoir une lecture "aérée" par d'autres sujets.
Après ces flatteries, un petit Lobbying: je n'ai pas souvenir d'avoir lu en magazine, l'avancée des 9th AF et 2nd TAF à la suite de Patton et Montgomery, de la fin de la bataille de Normandie à Market Garden (contrairement à la bataille des Ardennes qui a été plus généreusement traitée). Il y a certes des livres qui traitent de ce sujet, mais ceux-ci sont de plus en plus mal vus par la maîtresse de maison, alors que j'arrive encore à faire passer les magazines
A vot' bon coeur
L'avion, l'avion, l'avion, ça fait lever les yeux, etc...