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RADAR

à la base c'est un topique pour mon escadrille mais si il peut servir à d'autres.

Ce topique va regrouper les différentes fonctions du radar.

Pour le moment je découvre au fur et à mesure donc il est possible que je me plante sur certains trucs n’hésitez pas à me corriger.


On commence par la partie allumage du radar et les boutons à cotés:




En jaune:

C'est le bouton qui allume de radar il a trois positions:

- Bas = OFF.
- Milieux = STANDBY (autonomie 60 minutes).
- Haut = ON (autonomie 25 minutes).

En vert:

Ce bouton est un filtre pour diminuer l'effet de sol avec le radar:


Bouton 3 positions:
- Bas = OFF à partir du moment où on vol au dessus de 4000 mètres.
- Milieux = à utiliser entre 2000 et 4000 mètres.
- Haut = à utiliser entre 0 à 2000 mètres.

En violet:

Ce bouton est utilisé pour que le radar regarde droit devant, il peut être utilisé en mode AIR/SOL comme en AIR/AIR, c'est un peut comme une sorte de télémètre radar:


Bouton 2 positions
- Bas = OFF radar en mode normal.
- Haut = ON plus le trait est petit plus vous êtes proche de la cible.






Fonctions radar:

au dessus de l’écran radar se trouve un boitier qu'il nous permet de gérer un certain nombre de paramètres et filtres.


En rouge:

C'est le bouton RESET il permet remettre le radar par défaut et donc de désélectionner tout les modes radar du boitier.

En jaune:

C'est l’interrogateur IFF en gros il permet de savoir si le radar voit un ami ou un ennemis.

Par défaut le radar ne fait pas de distinction entre un ami ou un ennemis. exemple sur les deux screens en dessous.


En vert:

Ce bouton permet de tester le radar à la fin du start-up.

Procédure radar STANDBY appuyer sur le bouton de test,déplacer le curseur sur la cible fictive puis maintenir le bouton de lock pendant 3 secondes.

En cyan:

C'est un filtre permettant de supprimer l’écho des nuages ou autre interférence météo.
Exemple dans le rectangle rouge.


En Bleu:

Ce bouton permet de traquer les cibles à basses vitesses comme des hélicoptères.

En violet:

ces trois boutons permettent de filtrer au travers des ECM ou des chaffs de l’ennemi. il y a 3 boutons différents

N°1/ CONT: Ce bouton est à utiliser contre des ECM. La cible n'est pas visible dans la "trace ECM". En revanche le curseur de désignation ne peut plus être déplacé par la commande TDC (commande sur les gaz). La commande TDC est utilisée pour modifier l’intensité du filtre. Vous remarquerez également un voyant rouge en bas à gauche de l'écran radar qui nous informe qu'il y a des interférences électromagnétiques.



N°2/ INTER: Ce bouton est à utiliser dans le même principe que si-dessus sauf que la cible est visible dans la trace ECM

N°3/ PAS: (Passive ECM): à utiliser contre les chaffs (contremesures passives). Apparemment, il s'active automatiquement lorsqu'on lock un contact

Merci à Robin Hood pour les infos dans le rectangle violet


d'autre screens et fonctions viendront plus tard.

Propre !

Merci WoodMan !

Salut,
Un grand merci pour toutes ces explications, c'est très bien réalisé et très passionnant.
Skull

Très bon ! Et content de voir que ce que dit le manuel sur les filtres ECM se traduit effectivement dans le simu
Bravi pour tous ces tests, perso je n'avais pas le courage de les faire - sur les ECM, l'IFF, la météo - alors merci (je ne vole sur le MiG-21 que "en passant", disons). Je suivrai ce topic avec attention

Juste deux remarques:
- le self-test s'effectue normalement quand le radar est en STANDBY
- pour le filtre basse altitude, le manuel dit: position H SIGNAL pour une cible entre 3 000 m et 10 000 m, et position LOW ALT pour une cible en-dessous de 3 000 m. Si tes chiffres sont donnés par le manuel de DCS, je ne sais qui croire. Après, peut-être que le manuel réel exagère un peu ? Il faudrait voir à l'usage.

Quoiqu'il en soit, ils ont l'air d'avoir bien bossé sur ce radar (pour le rendre inefficace ) !

Il est très bien ce Radar, mise a part la chauffe, mais bien utilisé il est suffisant. Il est loin d’être inefficace. Pour le self test il s’exécute bien en standby. Pour les signaux je ne pense pas que c'est des valeurs sure, mais plutôt une fourchette a l’appréciation du pilote.

Merci WoodMan, très bien réalisé http://www.checksix-forums.com/viewtopi ... b59ede23d3#

Robin Hood a écrit :Très bon ! Et content de voir que ce que dit le manuel sur les filtres ECM se traduit effectivement dans le simu
Bravi pour tous ces tests, perso je n'avais pas le courage de les faire - sur les ECM, l'IFF, la météo - alors merci (je ne vole sur le MiG-21 que "en passant", disons). Je suivrai ce topic avec attention

Juste deux remarques:
- le self-test s'effectue normalement quand le radar est en STANDBY
- pour le filtre basse altitude, le manuel dit: position H SIGNAL pour une cible entre 3 000 m et 10 000 m, et position LOW ALT pour une cible en-dessous de 3 000 m. Si tes chiffres sont donnés par le manuel de DCS, je ne sais qui croire. Après, peut-être que le manuel réel exagère un peu ? Il faudrait voir à l'usage.

Quoiqu'il en soit, ils ont l'air d'avoir bien bossé sur ce radar (pour le rendre inefficace ) !

Bien vu, j'ai fait la correction pour le test du radar

Et pour le filtre de basse altitude j'ai donné des valeurs prisent dans le simu au dessus de 4000 mètres le radar ne fait plus ressortir le sol. Et très franchement la différence entre les deux positions de filtre n'est pas très visible.

Daldryk a écrit :Il est très bien ce Radar, mise a part la chauffe, mais bien utilisé il est suffisant. Il est loin d’être inefficace. Pour le self test il s’exécute bien en standby. Pour les signaux je ne pense pas que c'est des valeurs sure, mais plutôt une fourchette a l’appréciation du pilote.

Je ce que je veux dire par "inefficace", c'est que du point de vue du codage, c'est facile de faire un radar hyper efficace: le simu sait où sont les ennemis, il n'y a qu'à les faire afficher sur l'écran. En revanche, modéliser toutes les limites, imperfections, interférences, etc... qui doivent au final dire si oui ou non un contact va apparaître, c'est ça qui demande énormément de code et de boulot. Et apparemment, ils ont bien travailé

C'est pareil pour les altimètres, ça fonctionne à l'inverse de la réalité: le simu connaît au départ l'altitude d'un appareil au-dessus de la mer (système de coordonnées interne du logiciel), donc faire un altimètre toujours réglé sur le QNH (comme les appareils FC3 ont), c'est simple, il suffit de lire la coordonnée z. C'est pour faire un altimètre réaliste que ça demande plus de code, vu qu'il faut modifier la "vraie" valeur d'altitude en fonction du réglage altimétrique.

Robin, bien d'accord, j'ai pu suivre les mêmes problématiques sur LotAtc (et c'est pas fini !)

Wood, kudos pour le tuto

Faut que je re-vérifie, j'avais pas réussi à obtenir le résultat attendu pour le self test ou l'IFF.

++
Az'

j'ai dû chercher la définition du mot "Kudos"

Kudos, du grec κύδος, kydos ("ce dont on a entendu parler"). Le mot grec signifie la gloire et le renom qui découlent d'une action réussie.


Sur les autres projets Wikimedia :
kudos, sur le Wiktionnaire



En anglais

Le terme est entré dans l'argot universitaire britannique aux débuts du XVIIIe siècle. En anglais, comme en grec, Kudos s'écrit au singulier et pas au pluriel. Cependant, on rencontre souvent dans l'usage courant une utilisation au pluriel : She received many kudos for her work, soit Elle a reçu de nombreux kudos pour son travail.

Friandise

Le terme a connu une nouvelle jeunesse en 1986, lorsque la barre de céréales Kudos Granola Bar fut lancée avec un grand succès commercial par la société M&M Mars.

Jeux

L'usage s'est encore répandu lorsque le terme est entré dans le vocabulaire de la communauté des jeux vidéo. On peut recevoir des kudos en réussissant certaines étapes dans des jeux comme Metropolis Street Racer et dans ceux de la série Project Gotham Racing. Sur les blogs de Myspace, on peut donner en commentaire des kudos pour exprimer son intérêt. La société de jeux vidéo Positech Games a développé un jeu de simulation appelé Kudos en 2006, avec une suite, Kudos2 en 2008.

En français

L'utilisation du mot n'est plus réservée aux rédacteurs ayant fait des études classiques nécessitant un peu de culture grecque ancienne (comme les avocats) et on peut donc désormais relever un usage du terme en français courant, principalement sur internet, dans les blogs ou d'autres pages personnelles, à la fois dans les textes eux-mêmes et dans leurs commentaires, pour marquer la satisfaction du rédacteur à propos des actions d'une personne ou d'un autre texte ou celle des lecteurs à propos du texte d'un rédacteur. L'usage qui en est fait peut être considéré comme relativement similaire à celui d'une émoticône.

je vais me coucher moins con ce soir