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Ce sujet pour débriefings/remarques sur les missions.


Résultats des missions:
-Mission1, 20 Septembre 1915,
Les anglais ont photographié la majeure partie des zones qui leur ont été demandées, mais à cause de la présence massive de monoplaces allemands, certaines zones sont manquantes. Victoire partielle pour l'Entente.
Suite aux combats, un des "terribles" Fokker s'est écrasé dans les lignes allemandes, tandis qu'un autre est récupéré quasiment intact! Nul doute que ça intéressera les ingénieurs de l'Entente.

-Mission2, 25 Septembre 1915
Au sol, les troupes britanniques ont souffert dès le début de l'offensive d'une insuffisante préparation d'artillerie, et ont trouvé devant eux des positions toujours très efficaces. Plusieurs missions de réglage d'artillerie opérées par le 6Sqn ont permis de supprimer ces obstacles, et les 47th(2nd London) et 15th(Scottish) Divisions ont pu s'emparer de Loos. Dans l'après-midi, le temps se détériorant, il a été difficile de donner des informations quant à l'état des troupes allemandes, et il fut aussi difficile d'amener en première ligne ravitaillement et troupes fraiches. Au soir, les pertes sont importantes et la situation confuse, mais Loos reste aux mains des britanniques.

Dans les airs, les troupes au sol signalent une activité aérienne intense sur le front, à basse altitude(<1000m).
Les équipages du 6Sqn ont accompli leur mission, mais avec des pertes sérieuses, 4 morts, plusieurs avions complétement détruits, et encore plus d'autres endommagés. Le squadron revendique 3 victoires, 2 Fokkers en flammes et un autre capturé en assez bon état-c'est le second!
Le FFA62 revendique plusieurs anglais abattus sur le front, pour la perte d'un Fokker.
Victoire pour l'Entente, mais avec des pertes non négligeables.

-Mission3, 26 Septembre 1915
Au sol, les anglais s'essoufflent, et peinent à plus avancer. Le mauvais temps a rendu le champ de bataille boueux, et les renforts arrivent dans le chaos.
Les premiers rapports de pertes arrivent, on évalue à 10 000 le nombre de morts pour la journée du 25...

Dans les airs, les équipages du 6 Sqn ont, malgré leur vaillance, échoué dans leur tâche, et subit de très lourdes pertes face à un grand nombre de monoplaces allemands, lors d'un grand combat au nord de Bully. Seules quelques plaques photos ont été retrouvées, inexploitables, sur la dépouille d'un observateur anglais, serrées contre lui, comme si il avait voulu les protéger dans sa chute.
Victoire pour l'Allemagne.

-Mission4, 27 Septembre 1915
Au sol, on lutte encore pour chaque mètre, et quelques positions sont prises, d'autres perdues. Les Allemands se regroupent et repositionnent leurs troupes, installant de nouvelles batteries qui assomment les assaut anglais. A la fin de la journée, les troupes sont épuisées et il est clair que l'offensive ne pourra aller plus loin.

Dans les airs, malgré la saignée de la veille, les équipages du 6 Sqn ne se découragent pas, conscient que la perte de quelques-uns d'entre eux lors d'une mission périlleuse peut sauver des centaines de Tommies au sol. Leur attaque à l'est de Loos sur une position d'artillerie à fait diminuer de moitié le feu de celle-ci, mais encore une fois au prix de lourdes pertes (morts et prisonniers). Il est urgent d'amener des renforts!
Chaque camp revendique la victoire.

-Missions 5 et 6, 8-10 Octobre 1915

Au sol, les Allemands ont lancé une contre-offensive ente Lens et le Canal de la Bassée. Leur attaque a été appuyée par des bombardements d'artillerie et aériens. Malgré le succès de ceux-ci, les assauts ont été repoussés aux prix de lourdes pertes.

Dans les airs, les combats ont encore été très meurtriers, surtout dans le secteur d'Hulluch où les pilotes du 6 Sqn ont cessé leurs reconnaissance pour engager les Fokkers ennemis. Les quelques succès (les troupes rapportent au moins 3 Fokkers abattus) ont du mal à compenser les pertes subies en retour, 5 morts en deux jours!
Victoire Allemande.

Conclusion
Dans les airs, comme sur terre, la bataille s'achève après une nette victoire défensive allemande. Les succès du début de l'offensive l'ont été au prix de lourdes pertes, et n'ont su être exploités. Les équipages du RFC, face aux redoutables Fokkers, ont malgré tout fait preuve d' un certain fighting spirit, et si les survivants sont rares, ils peuvent témoigner que le fléau Fokker n'est pas invulnérable!

Félicitations aux vainqueurs, aux survivants, et à la prochaine!


Tableau des revendications.(qui correspond au score indiqué par le tableau dans le jeu, dans ROF)

Mission n°1, 20/09/1915
6 RFC Sqn,
Décollage à 8h30 pour une mission de reconnaissance photographique des lignes ennemies, au nord de Lens. Nous sommes 5 dans le vol, seul le leader, le Lt. Obélix emporte un appareil photo. Alors que nous traversons les lignes au nord du canal de la Bassée, le 2nd Lt. Space-ace, dont le moteur semblait capricieux depuis le début du vol, fait demi-tour. Nous ne sommes plus que 4.
Le Lt. commence ses photos à 8h45, et c'est à cet instant qu'un premier monoplane nous attaque, les trois avions de tête restent groupés, tandis qu'un peu à l'écart, j'essaie d'attirer son feu sur moi. Il est bientôt rejoint par d'autres Huns, et une rafale me blesse ainsi que mon mitrailleur, je pique vers l'ouest, tandis que le reste de la patrouille reste groupée.
Les Fokkers m'abandonnent et se concentrent sur mes camarades, qui à leur tour piquent dans nos lignes, poursuivis par plusieurs Huns, je fais demi tour, et mon mitrailleur en tire un de flanc, le Fokker le plus avancé rompt son attaque et rebrousse chemin. Mais un autre me poursuit, à court d'essence, et alors que je plane, il continue à me tirer dessus, mais trop sur de lui, une rafale le touche, et il s'enfuit en fumant. Nous nous posons au nord de Barlin à 8h52. Les soldats venus nous aider nous apprennent alors que le Hun s'est aussi posé, quasiment intact, à 300 mètres, mis en joue, l'Allemand n'a pas eu le temps d'incendier son appareil. Une belle prise!



Merci pour la soirée, beaucoup de tension côté Entente, je n'aurai pas cru en sortir vivant, mais en vitesse de pointe, il peut se défendre, ce FE2!
Désolé pour le côté organisation un peu brouillonne, je vais tenter de faire ça mieux la prochaine fois(peut-être passer chez les Italiens?), quelques petites choses à corriger/améliorer aussi. Aussi, je pense que la prochaine se fera dans 2 semaines.

FFA62
Fokker EIII

Décollage en grand nombre, un peu chaotique: certains de mes kamarades semblent ne pas encore parfaitement maîtriser le démarage - parfois capricieux, il est vrai - de nos nouveaux monoplaces. Je suis un peu perdu au début, car tout le monde tourne dans tous les sens au-dessus de l'aérodrome - mais notre leader-Hauptman von Gräser, d'une fusée blanche, y met bon ordre. Cap Ouest, puis Nord-Ouest, dans la région de Lens, où de l'activité rosbief nous a été signalée. Je grimpe jusque 1500m, sans trop de difficulté. Alors que nous longeons le front, j'aperçois des éclats noirs dans le ciel, légèrement plus haut que moi, au-dessus des tranchées. C'est l'ennemi. J'en compte quatre. Je parviens à une bonne altitude pour envisager l'attaque, observant quatre ou cinq de mes collègues s'approchant déjà des vilains. Alors que je me prépare moi-même à plonger vers eux, j'aperçois au-dessus de notre territoire d'autres éclats d'Archie, qui entourent un contact isolé. C'est finalement là que je me dirige, suivi par un autre Fokker, peut-être le Felwebeld Schnyzo? L'ennemi est un biplan, assez rapide. Il tourne vers moi. Je lui lâche une courte rafale alors que je le croise, son mitrailleur fait pareil. Cela siffle autour de moi, mais ça ne touche pas. Par contre, l'ennemi ne demande pas son reste et s'enfuit. Il est bien plus rapide que moi, le bougre - solide déception quant aux performances de nos nouveaux chasseurs. Je retourne au-dessus des tranchées. J'ai perdu de vue mon suiveur. C'est peut-être lui que j'apercevrai quelques minutes plus tard, en train de tournoyer avec un biplan ennemi, peut-être le même que j'ai attaqué? Et il me semble bien que, sur ce coup-là, il s'en va mordre la poussière. Je vole maintenant cap sud, au niveau de Lens. Et j'aperçois d'autres contacts, trois ou quatre ennemis engagés par nos forces - l'un d'eux émet une fumée blanche, de mauvaise augure pour ses miches. Je me prépare à l'attaque... mais l'ennemi soudain prend le cap à l'ouest, en piquant. J'arrive rapidement au-dessus du territoire ennemi. Je me rapelle les ordres de ne pas aller voler là-bas; je fait demi tour, rompant mon attaque. Mais, ce faisant... j'aperçois un autre contact, suivi par trois ou quatre des nôtres. Il est haut. Je grimpe. Je lui lâcherai une rafale de loin, qui ne semble pas lui faire grand mal. À présent, le ciel est vide. Je reste encore quelques minutes sur zone, avant de prendre le cap du retour, pendant lequel je rejoins l'un de nos avions, et profite du doux ronron de mon moteur, et des caractéristiques de vol apaisantes de mon avion. Je me pose doucement sur la base.

Merci Joe pour la mission (encore! encore! bis!), à la jidizwit pour le serveur, et à tous pour le fun!

Actionjoe faut qu'on cause

Ben dis donc, vous l'avez nervé le Barda ou quoi? Bon un ptit duel et hop, il va se calmer !

Nég au contraire, j'ai des propal honnêtes à lui faire.....
D'ailleurs, tu n'as jamais du vraiment me voir énervé JJ, nan?

Barda a écrit : j'ai des propal honnêtes à lui faire.....

Ah, mais... cela ne nous regarde pas, ce que vous faites tous les deux!

J.j. a écrit :

Barda a écrit : j'ai des propal honnêtes à lui faire.....

Ah, mais... cela ne nous regarde pas, ce que vous faites tous les deux!

Et surtout, si vous faites des petits, ne nous en gardez pas......

Décollage en FE2B en position de numéro 3. Nous allons escorter un FE2B chargé de prendre des photos de certains points ennemi. C'est Obélix qui se chargera des photos. Notre role sera de le serrer au plus pret et de laisser nos mitrailleur faire le boulot. Le décollage et le regroupement se passe bien. On prend le cap du front. Nos objectif se situe juste aprés le noman's land. On passe le front est la vigilence se renforce. Surtout que la visibilité arrière est nulle. On doit entièrement compté sur notre mitrailleur pour nous défendre. Le problème, c'est que pour qu'il ajuste son tir, il faut que l'on reste stable. Et rester stable alors que l'on est encadré par des tracantes, c'est pas évident. On apperçoit vite des points noirs qui se dirige vers nous. La formation est toujours serré sur Obélix, sauf que Pollux a pris la place de numéro 2, car Space a du abandonné la formation suite à des soucis. Un avion teutons traverssera la formation, et passera entre Obélix et moi. Je n'ai pas eu le temps de l'identifier précisément, si ce n'est que ce n'est pas un ami. Mon mitrailleur se met debout et pointe la mitrailleuse vers l'arrière. Il lache des rafale. Avec cette maudite visibilité, impossible de savoir s'il fait mouche ou non. Mais ça doit pas être le cas, car des traçantes encadre ma carlingue. On repart dans nos lignes pour revenir sur la zone. Les teutons sont toujours là, et les échanges de tir toujours aussi nourri. Soudaine Obélix met le cap sur nos ligne en plongeant. Je le suis, ainsi que Pollux. Il est trop tôt pour savoir s'il a un souci, ou si la mission est accomplie. On descend bas, et on prend de la vitesse. Des balles passe à droite et à gauche, signe que j'ai un morback au fesse. Et d'un seul coup, je sens mon moteur qui ne donne plus. Je consulte mes instruments, et mon compte tours est à zéro. Je n'ai pas entendu mon moteur mourir,je suppose donc que le problème doit être lié à une perte d'essence, qu'à une casse moteur. On est bas, trop bas, et je n'ai plus beaucoup de vitesse, et pas de marge pour en reprendre. Je tente l'atterrissage. L’avion se plantera dans le sol, et retombera à plat. Je suis blessé, mais mon mitrailleur semble en forme. Il est agrippé à sa mitrailleuse, et tire des rafale sur notre poursuivant qui nous survol.

Les ordres sont simples, nous devons effectuer une patrouille défensive du côté de Lens, nous décollons un peu en retard...certains de nos pilotes "junior" ont encore du mal à maîtriser le démarrage de cette "courge" qui est surtout un fléau pour ces pilotes!

Nous grimpons avec régularité vers Lens, et très rapidement les éclats lointains de la flak nous signalent une incursion "d'indésirables". Nous identifions rapidement des FE2b au-dessus de nos avants poste, l'interception est ardue, ils sont deux dans ces cages à poules, mais ils sont pourtant aussi rapides si pas plus que nos Eindeckers! Nous apercevant, ils se resserrent leur formation comptant sur leurs mitrailleurs pour nous intimider... je caresse machinalement la croix de fer sur ma poitrine et j'engage celui de droite dans la "box"... je n'ai que quelques secondes pour faire mouche avant qu'il ne me distance...ma cible est atteinte et il plonge en fumant vers ses lignes entraînant toute la formation ennemie, je décide de rompre aussi, mais des cammaraden continuent la chasse, verdammt! Le haut commandement nous a pourtant bien demandé de rester dans nos lignes! Le secret des mitrailleuses synchronisées doit rester secret!

Je reprends la patrouille et repère rapidement un nouvel intrus, mais ce n'est plus un FE2b! J'essaye de "l’assaisonner" de plusieurs rafales, un morceau se détache, mais il me met rapidement dans le vent...c'est pas possible, ces sackgesicht ont des fusées dans leurs arschloch! Impossible de le suivre! Je rêve du jour ou nos ingénieurs nous mettrons entre nos mains des avions rapides avec deux mitrailleuses! En attendant ce jour hypothétique, je tire mes dernières cartouches sur des FE2b...ces impudents sont revenus au-dessus de nos lignes!

Je signale mon retour par une fusée blanche, un verre de vin chaud m'attend au bar de la Jasta !

Un avion teutons traverssera la formation, et passera entre Obélix et moi. Je n'ai pas eu le temps de l'identifier précisément, si ce n'est que ce n'est pas un ami.

Négatif, c'était bien un de nos Be2. Il a traversé pile au moment ou les Huns nous rejoignaient.
D'ailleurs, à leur sujet, désolé pour nos amis boches qui manquent de vitesse, les Waypoints sont réglés à très basse vitesse, ils sont vulnérables en palier pour peu que vous ayez un peu d'altitude mais dès qu'ils se sentent en danger, ils piquent et là...

Ah ok, j'étais persuadé que c'était un teuton. En tout cas, il est passé pret.

Débrif avec un peu de retard...

Mission n°1, 20/09/1915
6 RFC Sqn,

Décollage en position de N°4 afin de former une paire défensive avec Actionjoe.
Un problème moteur du N°2 va m'obliger à le remplacer au pied levé et je me retrouve donc à coller notre leader en ailier gauche. Nous traversons le front et ne tardons à trouver de l'opposition.
Mais c'est le premier baptême du feu pour mon mitrailleur(humain)...
Alors que les premières balles sifflent autour de nous et que les autre mitrailleurs réplique à qui mieux mieux, le mien reste prostré par la peur au font de sa carlingue...



Je tente de le rassurer mais celui -ci prétexte un enrayement de ça Lewis...

Heureusement Actionjoe réussi à occuper l'ennemi et nous filons vers le deuxième objectif. La chasse est encore présente et nous obligent à regagner nos lignes mais ne nous lâche pas. Encore une fois actionjoe vient couper la trajectoire des Fokkers et provoque leur dispersion.
Fort de cette exemple de don de soie, mon mitrailleur ce dresse fièrement et agrippe avec conviction sa Lewis, qu'il fait raisonner à tue-tête... provoquant la fuite des Fokker.



Son agressivité ne sera pas d'ailleurs sans conséquence pour mon aile supérieur...




Nouvelle tentative d"incursion mais cette fois sans ActionJoe et nouvelle opposition rapide de la chasse. Cette fois nous repartons définitivement dans nos lignes et vers notre terrain. Un Fokker nous suivras un long moment avant de finir par abandonner.

Mais alors que nous nous présentons au dessus d'un terrain, un RE8 semble en prise avec un autre EIII...



Je le prend en chasse et offre l'occasion unique à mon mitrailleur de se rattraper et ma fois il ne rechigne pas à la tâche le bougre...



L'allemand en sera pour ces frais et s'écrasera à proximité du terrain... pilote tué, avion bien endommagé.



Les mécanos de la base se précipiteront afin de récupérer ce qui peut encore l'être. Un bruit court concernant la capture d'un autre fokker, ce qui permettrait d'avoir certaine pièce de rechange...

Après un rapide tour d'horizon, je m’aperçois qu'il ne s'agit pas de notre terrain et ne voyant plus mon leader, je met le cap vers notre base que nous rejoignions sans encombre.

Une petite anecdote pour finir ce rapport:

A notre arrivée, et fort de notre dernier succès,le service photo des armées avait dépêché un photographe afin d'immortaliser le fait d'arme.



Une fois publié dans le journal des armées, la légende accompagnant le cliché mettait en avant "le redoutable équipage du FE.2b, poing levé, mitrailleuse pointé vers l'avant prêt à cracher son feu dévastateur "

A la propagande !

En faite, mon mitrailleur tétanisé par l'émotion était resté crispé sur sa Lewis ne pouvant plus la lâché sans aide extérieur !
Quand à moi, je ne faisais que montrer à mes mécano hilare les dégâts causé par notre nouveau héros du jour....

Une rumeur court d'ailleurs sur un possible lien de parenté avec un certain Raznef...




PS: Sans rancune Space, je n'ai pas pu m’empêcher de légèrement déformé la vérité

Une rumeur court d'ailleurs sur un possible lien de parenté avec un certain Raznef...

Ha non, c'est pas moi, dans mon nom y a deux "f"
(ps: y m'fait trop marrer ton nouvel avatar, Pollux)

Oh purée! Je l'ai bien aéré notre coucou Sur le moment j'ai cru que c'était le EIII qui faisait mouche .Heureusement que je ne l'avais plus en visuel et que j'ai cessé de tirer
Pour une première sortie en mitrailleur ,je m'en suis bien tiré .....ça aurait pu être pire .....plomber un collègue par exemple

Pollux .......tu n'as rien déformé

Faudrait faire des entrainements pour mitrailleurs

Mission n°2, 25/09/1915
6 RFC Sqn,

Décollage à 7h00, 5 appareils prennent l'air, direction Lens. L'objectif est un réglage d'artillerie sur les lignes allemandes. Nos boys se sont rués sur des positions encore presque intactes, et les Huns ne leur ont pas fait de cadeau. A nous de rétablir la balance.
Des ennuis mécaniques nous font partir en ordre dispersé, mais nous sommes à peu près groupés lors de notre arrivée sur le front. Là, même dans le ciel, la bataille fait rage, pas une minute sans que mon mitrailleur ne m'indique des contacts suspects, amis-ennemis, parfois difficile à dire, mais tant qu'ils ne menacent pas notre avion-radio, nous restons groupés. Bientôt, sous ses indications, l'artillerie pilonne des positions à l'ouest de Loos, et fait rapidement mouche.
Les Huns restent nombreux dans les airs, mais très peu agressifs, on mitraille quelque fois un biplace quand il passe à portée, mais c'est comme si tout le monde vaquait à ses occupations sans se mêler de celles des autres.
Mais bientôt, des monoplans sont en vue, ceux-là viennent pour nous, et le combat s'engage. C'est assez confus, mais nous en poursuivons un jusqu' au sol, où il s'enflamme et s'écrase. Le temps de nous regrouper sur notre avion-radio et plusieurs autres reviennent à la charge, alors que nous nous replions dans nos lignes.
On engage un combat avec un, qui nous suit jusqu'à Mazingarbe. Là, mon mitrailleur m'annonce qu'un autre FE2 arrive, nous réattaquons alors le Fokker qui se pose. Perdant de l'essence nous nous posons près de Noeux-les-Mines.

Bilan:
Avion en bon état, pilote et mitrailleur sain et saufs.
Revendiquons 2 Fokkers (1 tombé en flamme à l'ouest de Loos, l'autre posé et capturé à Mazingarbe).

Le tableau des victoires est mis à jour (premier post).
Merci aux participants, la prochaine dans 15 jours-enfin, comme d'hab, j'annoncerais avant.

Désolé de n'être pas venu mais j'étais complètement crevé.....

Tableau des victoires mis à jour.

Mission n°3, 26/09/1915
6 RFC Sqn, (en tant qu'observateur)

Après décollage, cap sur l'est, d'abord Béthune puis Hohenzollern Redoubt où nous prenons des photos, bien encadré par une DCA mordante. Déjà un monoplace solitaire est aperçu puis engagé par les FE2b d'escorte. Nous prenons un cap dans nos lignes pour nous rassembler quant une importante formation ennemie est aperçue allant droit sur nous. Nous cerclons un peu le temps de nous regrouper, et les Huns nous rejoignent. Commence une bataille ou ça virevolte de partout, je ne sais où donner de la tête, jusqu'au moment où, avec effroi je vois un Fokker nous barrer la route. On l'aborde par le flanc et c'est la chute fatale.


Mission n°4, 27/09/1915
6 RFC Sqn,

Décollage et mise en formation, en deux groupes, nous volons à basse altitude droit sur le champ de bataille. A peine traversé les lignes que nous sommes pris à partie par des Fokkers, le leader par en piqué, et malgré la mitraille nous réussissons à bombarder l'objectif. On essaye ensuite de chacun se dégager l'un l'autre, mais le fléau Fokker semble transformer mon mitrailleur en statue, et il est peu réactif. Touché au réservoir, je suis forcé à me poser au nord Est de Lens. Pilote et observateur prisonniers.

Rapport: Je rajoute quelques info en plus de D'joe.

Mission n°3, 26/09/1915
6 RFC Sqn, (en tant que pilote d'escorte rapproché)

En tant qu'escorte rapproché je reste au contacte du leader le temps de la reco et laisse l'escorte plus éloigné se charger du Fokker solitaire.
Au moment de la grande mêlée , je réussi à garder un peu de hauteur au dessus du groupe de furieux. Mon mitrailleur arrose copieusement plusieurs cible mais sans constater de réel victime.
Puis je fini par être coiffé par un autre EIII qui fait fumé mon moteur, je pique vers l'Ouest et réussi à semer mon poursuivant.
Je retourne au front au moment ou je récupère Actionjoe comme mitrailleur. J’aperçois alors un FE2b fumant en radada poursuivie par plusieurs Fokker. Je plonge sur eux et D'joe ouvre le feu sur les poursuivant qui se disperse. Je suis à nouveau coiffé par un EIII et repart au ras des cimes vers l'ouest. Mon moteur nous lâchera peu après.

Posé intacte chez nous ou une voiture de la base viendra nous chercher.

Aucune revendication possible.

La suite demain...

Tableau final des victoires/pertes mis à jour!

Je pouvais passer sans le reposter!

http://www.nbcnews.com/news/military/fu ... ers-n53476

J'avais vu cela oui, le temps était, comment dire...
On en retrouve toujours, je me rappelle de il y a 4-5 ans, où plus de 200 australiens avaient été ré-enterrés à Fromelles, en présence de membres de la famille royale et d'officiels Australiens.

On en apprend tout les jours: http://www.dailymail.co.uk/news/article ... rthed.html

Lors de l'attaque sur Loos en 1915, des soldats des London Irish Rifles ont attaqué les positions allemandes ballon au pied, dribblant et se faisant des passes jusqu'à ce qu'il finisse dans un barbelé...et que les joueurs aient été tués/blessés.