Jeeploo
Brutus
BF 110-C2
Alors que venait d’être relâcher le matin même de l'infirmerie accompagné d'un magistrale : "Si vous revenez encore une foi pour une égratignure je vous passe par les armes que vous sachiez ce que douleur veut dire !".
Un officier de liaison s'avance vers moi en me tendant un papier sur lequel est écris
ordre de mission ...
On m'envois faire une reconnaissance du front, les avancées des dernières 24h ayant été foudroyantes, l'état major à du mal à connaitre la position exacte de ses unités, on m'envoie donc contrôler les secteurs considéré comme "clés" afin de rendre compte de l'avancée des troupes.
L'officiers m'apprend aussi que mon mitrailleur sera remplacer par un homme des renseignement, armé d'une caméra ... l'optique de survolé le front à basse altitude ne m'enchante déjà pas des masse, mais si je dot en plus me coltiner un "rampant" en mitrailleur ... j'accepte la mission et demande à l'officier de prévenir mon passager "départ à 9h15".
Je m'installe dans mon 110 et met en route alors que Friedrich aide mon nouveau mitrailleur à s'installer. Je remonte en bout de piste et observe les "Stuka" du Stg1 décoller en formation.
Pour ma part la navigation se fera sans histoire, un cap Nord pour atteindre merville et constater que l'aérodrome est sous surveillance des Panzer de la VIeme armée, Puis Nord Ouest pour constater que Cassel l'est également avant de filer vers Ouest pour rendre compte de la situation à St Omer ... Le Nord de St Omer est alors calme à ce moment là, la base aérienne Nord est déserte et les routes sont vides tout comme le ciel ... Je poursuis à l'Ouest avant de faire demi tour au bout de 10min. Au retour, la DCA se manifeste à l'Ouest de St Omer mais rien de méchant. Passer la base, mon "reporter" me signale un hurri dans nos 4h, je tourne la tête et aperçois l'anglais, je pousse les chaudière à fond pour passer les 450km/h mais le britts ne réagi pas ... Peu de temps après nouvel alerte, il me signale un convois de DCA fuyant la zone des combat par la route entre St Omer et Bergues, groupe qu'il prendra en photo. J'effectue un large cercle autour d'Hazebrouck afin de retourner dans ma zone de patrouille. Absorber dans ma recherche de contact sol, je ne relève la tête qu'au dessus de la foret de St Omer ...
Horreur ! des contact ! par dizaines ! et des Blenheim en plus !!!
Plus le temps de faire demi-tour, mon sang de chasseur bouillonne, je fonce sur le premier contact venu la manette des gaz incruster dans le tableau de bord. J'effectue une passe frontale (que je loupe misérablement d’ailleurs
) sur un blenheim, il n'a pas tenter de s'esquiver ou de tirer lui aussi, soit il est surpris, soit il est aveugle ... Qu'a cela ne tienne je replaque mon piège au ras des arbres et fonce plein Sud. Personne n'à suivi ... j'envoie un message radio à Barbo leader pour qu'il relaye l'info concernant ce groupe de blenheim mais je ne reçois aucune réponse.
Sur la fréquence, les 109 semble avoir repéré les blenheim, je tourne en gauche et remonte sur St Omer afin de ralentir la fuite des Britts. A mon arrivée, ils n'ont pas bouger, ils sont entrain de se regrouper au Nord de St Omer. Je prend un en chasse, je note quelques impact sur sa dérive mais il break droite de toute ses forces, je ne le suis pas ... J'effectue un large droite avant de croiser la route d'un Spit' ! Un Spit ! içi ! Damn ... euu Mein Gott ! Je reprend ma fuite plein sud radada pleine balle. mais l'anglais gagne du terrain. Et les traçante se font de plus en plus menaçante (bien qu'une grande partie aient retourner les taupes
)
"Sch***, il me lâchera pas !". Derrière, j'entend mon reporter chialer comme un gosse en empoignant sa MG 34, il tire frénétiquement (dans tout les sens sauf sur l'appareil cela dit ... merci l'IA ...
). Alors que je me demande comment tout cela va finir, un bruit familier me ramène à la dur réalité "HIT !". Le moteur gauche perd des tours de manière vertigineuse et le droit vois se pression d'huile partir en sucette. Je sort le train atterrissage et préviens mon passager que je m’apprête à me poser de la manière la moins académique du monde ... pas de réponse ...
Ce champs fera l'affaire, le moteur droit rend l'âme quand je plaque la bestiole au sol ... Lorsque je rouvre les yeux, la poussière ne s'est pas totalement dissipée, je me débrèle, ouvre la verrière et me dirige vers l'arrière. Le pauvre gosse est affalé sur sa MG, le corps transpercé par les balles anglaise ... je le sort de la machine, récupère sa caméra, et l'emballe dans sont parachute ...
je prend alors le poste radio et indique mes coordonnée supposé au QG. Après un long silence, Barbo leader m'ordonne de : "Laisser tomber ma carcasse et de ramèner le rouge ! Il est un peu plus au Sud !"
Après avoir informer Brabo leader que la caisse de rouge à aussi été victime des balles anglaise, je me fait récupéré par un convoi Allemand qui me ramène à ma base dans l’après midi.
Les photos sont en cours d'analyse ...