Check-Six Forums

Merci pour la mission Miguel !!

J'ai pas vu les lumières de là haut. Je me suis vaché dans un champs. En vue F2 sur un autre avion, voilà ce que je vois :



Merci pour la mission, Mig.

....devinez pourquoi je suis pas rentré....

Pour info, les lumières des villes et villages s'éteignent petit à petit en pleine nuit....

NE PAS PERDRE SON LEADER

Je suis yellow3
décollage 19:10 avec 6 Hurri.
Engagement avec 2 Condors au dessus du convoi, une passe 3/4 avant sur le leader pour moi puis je les lache pour engager des 109 arrivés sur zone. yellow4 (Psycho) annonce qu'il est out (je ne sais pas s'il est victime des bombers ou des 109). Les condors sont abattus+au moins un 109 par yellow1 (Mikmak). Yellow 6 (Erel) a également été perdu.
On n'est plus que 4 (yellow 1,2 Acro,3,5 Nacy), on tournicotte au dessus du convoi mais un 109 annoncé trop tard plonge sur yellow 5 et le met hors de combat (c'est le 2ième ailier que je perds...).
Yellow 2 qui avait été endommagé par les 109 lors du 1er engagement annonce que son moulin a des ratés, il tente un retour mais devra se poser en campagne (je le soupçonne fortement d'avoir eu peu d'un atterrissage dans le noir:detective)...
Après de longues minutes de patrouilles, ma canne blanche/yellow1/Mikmak me ramène à temps (Atterrissage vers 20:20) pour boire la soupe qui n'est déjà plus vraiment tiède (mais on se partage 6 parts à nous deux, la guerre ça creuse!)...


Regroupement des survivants après l'engagement contre les Condors et quelques 109.

Couverture des popeyes en cercle défencif

Commence à se faire tard, et si on rentrait?

Commence à faire frais, je peux m'approcher dis?

Encore un peu...

Home sweet home

Ok now, let's go to

Merci Miguel !

N°3 (je crois) d’un groupe de 5 Spit, Mad leader (on ne lui à pas laissé le choix )



Branle bas de combat, des Condors sont signalés le long de la côte Anglaise, vu les pertes élevées de nos navires, nos chefs nous « conseillent » vivement de descendre les yeux de la luftwaffe….





On décolle tard dans la journée mais il fait encore jour, on rassemble au seuil de piste et nous mettons les gaz face au soleil couchant, pas simple mais aucune casse à déplorer au décollage. Suivant notre chef adoré, nous prenons rapidement le cap vers la zone de patrouille estimé. L’opérateur radar commence à donner des relèvements correctes, altitude : Angel 13. Nous devons d’abord prendre visuel sur notre convoi maritime, mais le nombre de bateaux dans l’estuaire de la Tamise n’aide pas….

L’opérateur commence à s’agiter : multiple contactes venant du Nord de Ramsgate. Quasiment en même temps que l’engagement des Hurri (qui trouvent ces sacrés Condors), nous engageons un magnifique groupe de Stuka qui se dessine majestueusement dans la lumière du soleil couchant. Pas le temps de rêvasser, TAIAU, l’ordre est lancé, mais un 109 est annoncé en maraude, puis deux, puis trois, puis plein… Je suis mon Lead qui tire sur un Stuka, puis tente d’engager le 109 qui le menace, mais comme il est trop rapide, je replonge sur les bombardiers. Par habitude je check mes 6, break, le danger me guettait … La faible luminosité déchirée par les traçantes des mitrailleurs fait maintenant place au vide sidéral. Pour me dégager j’ai plongé en tournoyant et me retrouve seul, totalement seul et perdu….. Il me faut 10 mn chrono pour retrouver mes copains à coté d’un 109 qui semble esseulé et qui prend le cap vers la France.

Nous tournons un bon moment pour regrouper le max d’équipiers avant de rentrer mais nous continuons en même temps à courir après quelques contactes fantômes annoncés par le contrôleur. Le seul contact sera une paire d’Hurri que je verrais pour la première et la dernière fois ce soir.



Il est temps de rentrer.

Nous suivons notre chef toujours adoré, en léger piqué nous avons l’impression de quitter l’azur et de plonger dans l’obscurité la plus totale…. Le Lead suit de loin la Tamise qui se reflète mais en traversant un nuage la panique nous gagne, perte de visu, alarme moteur, vibration, chute du zinc …. Grosse frayeur, nous regroupons mais nous avons perdu un ailier. Le chef ayant une panne électrique totale, sa régulation hélice ne fonctionne pas et nous avons toutes les peines du monde pour garder la formation avec lui. Peut-être aussi à cause de la fatigue et du manque entraînement à ces vols de nuit (idée incongru du grand commandement…)

Nous cherchons cette P… de base, en bougeant dans tous les sens, c’est mon tour, je perd la formation, adieu chief, je me retrouve seul pour rentrer….



A la radio un collègue annonce avoir trouvé la base équipée de piste en dur, de tenter une approche puis, au dernier moment de remettre les gaz : c’était Biggin-Hill totalement dévasté par un raid précédant des Allemands, petit souvenir des Me110…



Le Lead puis 3 équipiers trouvent la bonne base puis se posent. Je tente une approche sur une piste éclairée mais il s’agit de la base des Hurri, remise des gaz, cap au Sud et je tombe enfin sur ma Home Sweet Home ( Au passage, les maisons s’illuminent les unes après les autres, c’est sur, je survole les Faubourgs de Londres.) Je vois mon équipier se poser, je me pose à l’issue et enfin … … … coupure moteur, je respire ….

Si je tenais ce C..nard de grand commandement …



Merci à tous d’avoir accepté ce Vol de Nuit, merci au Hosting et aux codeur/décodeur des LAL pour la modif de dernière seconde





J’espère que pour les bleus, l’atterrissage ne fut pas trop pénible, vous aviez pratiquement 1h d’obscurité en plus des rouges.



En ce qui concerne la mission proprement dite :

- Tout le contexte de cette mission était une excuse pour pouvoir faire un combat mais surtout un atterrissage de nuit…. Ou plus prosaïquement, c’était seulement pour voir les ptites lumières de piste s’allumer , au passage, le clignotement de ces lumieres rend mieux en live que sur les screens.

- Je me suis cassé le C.. à trouver un nom plus ou moins réaliste au convoi, jamais je n’aurais imaginé qu’on me demande si l’indicatif représentait l’emplacement carroyé du convoi . Pour info, quelques sites internet recense tous les indicatifs allier des convois, et les premières lettres représentent une route particulière, les mêmes lettre mais en sens inverse représente la route en sens inverse ( le retour)

- Comme annoncé aux Bleus, les Condors étaient limité à 200km/h dans la mission, c’est un bug que je n’ai pas pu « éviter »….

- Ce n’est pas une excuse mais le briefing était « allégé » des maps, carte radar et carroyage base par manque de temps, pas par manque de volonté

- Les Stuka n’ont pas effectué un bombardement en piqué, ma fault , après de multiples essais j’ai laissé une mauvaise commande à ces inaptes de l’initiative …

- J’ai bien aimé le pilote qui à tenté de se poser sur une base bombardée, j’ai bien fait de les miner ces bases ^^





Encore une fois, merci à tous

Et désolé pour vous, je crois que c’est encore à moi de créer la mission la semaine prochaine



Miguel

Merci Miguel pour la mission, et surtout ta réactivité.
Je suis pour ma part bien incapable de pondre un tel travail aussi rapidement!:sweatdrop

trop fort ce miguel, merci pour ta mission simpatoche comme tout

Ailier d'Emile avec le groupe de Spit leadé avec enthousiasme (après lui avoir un peu forcé la main) par Mad nous formons la première paire.
Les 5 Spits sont repartis en paires... Oui, dans l'armée, on ne conteste pas les ordres du chef. Il y a une paire de 3 et puis c'est tout. Des questions ?

Arrivée sur zone sans problème en profitant du magnifique soleil couchant sur la campagne Anglaise.
La patrouille commence et rapidement nous avons l'occasion de plomber un groupe de Stukas. On fonce dessus, ça va être du gâteau. Je colle à mon lead en jetant des coups d'oeil inquiets derrière où, au moins 3 109, un peu plus haut, cerclent. Ils sont encore assez loin, on poursuit et s'approche des Stukas. Je n'aurai pas le temps de les engager; des traçantes me frôlent. J'annonce être engagé et break violemment à gauche, à droite, je cherche le bandit...
Je plonge finalement en vrille et il ne me suit pas mais j'ai perdu la patrouille. L'obscurité n'aidant pas, je ne la retrouverai jamais alors que nous devions être plusieurs fois très proches les uns des autres.
Retour intéressant. A 10 000 ft Les deux pistes en dur de Kenley sont bien visibles sous le clair de lune. Par contre l'éclairage annoncé n'apparaît qu'en finale à faible altitude alors que le commandant, au chaud dans son bureau, avait laissé entendre que nous retrouverions facilement la base grâce à l'éclairage des pistes !!!
Atterrissage de colonel pour finir

Malgré juste une courte rafale lâchée sur un Stuka déjà fumant et en détresse, j'ai adoré cette mission aux heures inhabituelles avec ce déluge de couleurs.
Merci Miguel.

Rapide débrief d'Anton Leader :


On nous a chargé de protéger 2 Fw200 Condor au large de l’Angleterre. Nous décollons légèrement en retard, nous mettons donc le cap immédiatement vers le point de rendez-vous sans attendre la paire Bruno qui décollera plus tard, suite à quelques problèmes techniques.

Nous trouvons facilement les Condors et nous nous plaçons en escorte sur eux.
Il sont lent et gros... ça va être une rude tâche si ils se font engagés. Et cela ne tardera pas.
Au bout de quelques minutes nous voyons plusieurs hurricanes surgir et agresser nos 2 protégés.
Nous plongeons pour tenter de les dégager tant bien que mal, mais les hurri continuent de surgir de partout et finissent par rapidement faire leur affaire aux Fw200...
Je perdrais mon ailier dans la bataille qui s'était séparer de moi pour tenter de dégager plus efficacement les hurricanes.
De mon coté je touche un hurri fumant noir, et un autre ou j'ai vu le pilote sauter.

Nos 2 Condors abattu, nous nous regroupons tant bien que mal pour venir en aide au reste du groupe chargé de protéger un groupe de Stuka qui ne vont pas tarder à être engagé a leur tour.

j'aurais l'occasion d'arroser copieusement un Spit a bout portant alors que celui-ci se plaçait dans les 6h des Stukas.
Plus tard, alors que je me retrouve dégagé de tout ennemi et que je m'apprête à rentrer, mon appareil est touché par un tir de DCA miraculeux ( je suis tout de même à plus de 5000 m et les flocons sont plus qu'épart...).
Le moteur étant mort, je me laisserais tranquillement descendre en plané au large des côtes anglaises. Je donnerais ma position exact par radio en espèrant qu'un hydravion puisse rapidement me récupérer...