Publié : mar. oct. 16, 2012 11:05 pm
Débrief Bf-110.
Décollage pas trop mal, mais impossible de se mettre convenablement en formation, le leader se traîne et me donne le lead.
Chouette, à moi les responsabilités ! Je donne le cap à suivre, mise en économie des moteurs pour attendre Fried.
Les minutes passent, il se rapproche mais péniblement, sabotage ? Quoi qu'il en soit, nous avons un objectif à accomplir et c'est ce qui prime.
Remise des moteurs, enclenchement du PA et c'est partie pour 20-25 minutes de nav à sa la couler douce.
Je crois même avoir entendu mon mitrailleur ronfler !
Titan tiens globalement bien la formation, mais Fried peine à maintenir sa vitesse.
Nous arrivons sur la ville, nous bombarderons en une seule passe par l'ouest : Togno première usine, Titan la gare, Fried la seconde usine, puis, dans la foulée, nous bombarderons le terrain situé dans l'axe.
Un dernier coup d'oeuil dans le ciel, rien, nada, des chouettes ! Et bah tant mieux, où que soit la chasse adverse, qu'elle y reste !
Plein badin, et c'est partie pour la visite des toits de Brighton.
Je localise mon usine, large ma première bombe, garde mon axe et... ôh ! un train ! Passager ? Marchandise ? Impossible de voir ce que traine cette vieille loco avec les arbres, mais cette fumée blanche appelle mes obus comme le miel attire les abeilles.
Il n'est pas dans l'axe, le tire sera difficile. J'anticipe et inonde littéralement la zone de balle et d'obus. Pas d'explosion ! Mon mitrailleur m'annonce que je tir comme sa soeur.
A peine cette pensée traverse mone sprit que déjà la base aérienne se présente sous mes yeux. Les hangars sont collé à une put**n d'antenne ou autre mat métallique. Je corrige ma trajectoire, largue, et vire gauche aussi sec.
Cette fois ci, c'est bingo. Le souffle de mes bombes offre à cette ferraille toute mon indifférence.
Cap de sortie, et... ôh, mon train qui longe la côte... Ce n'est pas très prudent.
Op ! Petit coup à gauche, je suis dans l'axe cette fois ci et à peine ai-je commencé à tirer que déjà un magnifique geyser de vapeur s'érige dans la ciel.
Bon, assez jouer, il est temps de rentré.
Quelques kilomètres au large, Richy m'annonce être derrière moi et dans la foulé avoir la mort aux fesses.
Le pauvre sera hors de combat avant que je sois en position pour tenter de le couvrir. Je vide tout de même une poignée de munition sur le spit, qui prend peur et plonge.
Bon, c'est pas tout, mais je ne veux pas finir comme ça. Je convertis mes dernières mètres d'altitude en vitesse et fonce au raz de l'eau à près de 420km/h.
Le spit tente vaguement de me suivre avant de lâcher la poursuite.
Je me ferais deux ou trois frayeurs ensuite en voyant des appareils derrières moi. Spit ? 109 ? Spit au combat avec l'escorte ? En tous cas ça bouge.
Je terminerais le vol en rentrant paisiblement.
Décollage pas trop mal, mais impossible de se mettre convenablement en formation, le leader se traîne et me donne le lead.
Chouette, à moi les responsabilités ! Je donne le cap à suivre, mise en économie des moteurs pour attendre Fried.
Les minutes passent, il se rapproche mais péniblement, sabotage ? Quoi qu'il en soit, nous avons un objectif à accomplir et c'est ce qui prime.
Remise des moteurs, enclenchement du PA et c'est partie pour 20-25 minutes de nav à sa la couler douce.
Je crois même avoir entendu mon mitrailleur ronfler !
Titan tiens globalement bien la formation, mais Fried peine à maintenir sa vitesse.
Nous arrivons sur la ville, nous bombarderons en une seule passe par l'ouest : Togno première usine, Titan la gare, Fried la seconde usine, puis, dans la foulée, nous bombarderons le terrain situé dans l'axe.
Un dernier coup d'oeuil dans le ciel, rien, nada, des chouettes ! Et bah tant mieux, où que soit la chasse adverse, qu'elle y reste !
Plein badin, et c'est partie pour la visite des toits de Brighton.
Je localise mon usine, large ma première bombe, garde mon axe et... ôh ! un train ! Passager ? Marchandise ? Impossible de voir ce que traine cette vieille loco avec les arbres, mais cette fumée blanche appelle mes obus comme le miel attire les abeilles.
Il n'est pas dans l'axe, le tire sera difficile. J'anticipe et inonde littéralement la zone de balle et d'obus. Pas d'explosion ! Mon mitrailleur m'annonce que je tir comme sa soeur.
A peine cette pensée traverse mone sprit que déjà la base aérienne se présente sous mes yeux. Les hangars sont collé à une put**n d'antenne ou autre mat métallique. Je corrige ma trajectoire, largue, et vire gauche aussi sec.
Cette fois ci, c'est bingo. Le souffle de mes bombes offre à cette ferraille toute mon indifférence.
Cap de sortie, et... ôh, mon train qui longe la côte... Ce n'est pas très prudent.
Op ! Petit coup à gauche, je suis dans l'axe cette fois ci et à peine ai-je commencé à tirer que déjà un magnifique geyser de vapeur s'érige dans la ciel.
Bon, assez jouer, il est temps de rentré.
Quelques kilomètres au large, Richy m'annonce être derrière moi et dans la foulé avoir la mort aux fesses.
Le pauvre sera hors de combat avant que je sois en position pour tenter de le couvrir. Je vide tout de même une poignée de munition sur le spit, qui prend peur et plonge.
Bon, c'est pas tout, mais je ne veux pas finir comme ça. Je convertis mes dernières mètres d'altitude en vitesse et fonce au raz de l'eau à près de 420km/h.
Le spit tente vaguement de me suivre avant de lâcher la poursuite.
Je me ferais deux ou trois frayeurs ensuite en voyant des appareils derrières moi. Spit ? 109 ? Spit au combat avec l'escorte ? En tous cas ça bouge.
Je terminerais le vol en rentrant paisiblement.