Soirée chez les syndicate le 07/03
Publié : mer. mars 07, 2012 9:14 pm
Bon on avait rendez vous pour un petit vol avec les potos, et au final, on s'est retrouvé à deux. Du coup, on est parti sur Syndicate avec Pollux.
Connexion au serveur, une mission tourne, on matte les objectifs, on choisi un avion, ce sera le SE5 que l'on a pas piloté depuis un moment, et hop cockpit. Et là, c'est la merde, pas de commande pour ma pomme. Déconnexion, test en mision rapide, c'est la merde. Je cherche pendant que Pollux vole. Il m'annonce que la mission va bientôt se terminer, donc pas d'affolement. Enfin, je trouve ce qui merde, et je susi parré pour le lancement de la deuxième mission. Mais ce coup ci pas de SE-5. Pas grave, il y a du Hp400, et comme la dernière sortie date, on tente le coup.
La mission se situe dans le secteur de Reims. Nous décollerons de la ferme d'Alger, au Sud de Reims. Il y a plusieurs objectif, on décide d'aller taper les usines qui sont enfoncé dans les lignes allemandes. Pour cela, on prend des bombes de 100KG.
Arrivé cockpit, on regarde la manche à air, et on se re-familiarise avec le cockpit. Le météorologue était malade du coup, on a pas d'info utile pour nos bombes, et on se fait les calcules comme on peut. Alors la manche à air soufle vers le nord, en arrivant sur la cible, ça va nous donner une correction de -90 me dit Pollux. Hum, je le sens pas, et en mettant les choses à plat, on en vient à décider que ce serait + 90 de correction au vent. C'est que ça fait un moment que l'on a pas fait de la baleine. On s'est fait muter à la chasse dès que l'on a pu. Il faut dire qu'en permission, ça a plus de succés auprés des femmes. Et comme on était les seule pilotes disponibles, on nous y a collé. Le capo chef Gris s'est fait porté pale, et l'adjudant chef JJ est parti en permission aux folies bergère.
Pour la vitesse du vent, on va tabler sur un classique, à savoir un 2 m/s. Pour le plan de vol, on va prendre un cap Nord Est. Pour l'altitude bombardement, on va table sur du 3000m, mais on avisera en fonction de la couche nuageuse. Si la cible est masqué, il est prévu de continuer tout droit et de refaire un circuit sur la droite en s'enfonçant un peu plus dans les lignes allemandes, afin d'éviter la ligne de front qui risque d'être bien plus fréquenté.
Avant de lancer les moteurs, je fais signe à Pollux et j'ai un peu peur de la manche à air qui se trouve juste sur ma gauche. Les moteurs ronronnent, le compte tour est toujours aussi visible. Allez, je mets plein gaz, et commence à rouler. La balaine s'arrache toute seul du sol, et je maintiens un faible taux de monté pour ne pas casser le peu de vitesse que j'ai. Pollux semble avoir du mal, il a oublié de coupler ses deux moteurs, mais il corrigera et décollera. Il me rejoint et nous commençons la lente ascenssion. Au vu de notre taux de monté, je change le plan de vol, et prend plein Est afin de nous laisser le temps de monter. On passe le front et on arrive juste sous la couche. J'espère que l'on va pouvoir monté au dessus une fois le nuage de passé. Dès qu'il est passé, nous reprenons notre lente monté, et je dérive un peu à droite pour éviter le nuage suivant et pouvoir continuer à monter.
La bande forêt arrive, et c'est le point de repère pour mettre le cap sur la cible. Pollux me suit, mai se fait un peu distancer. Je ralenti un peu pour qu'il me rejoigne, ce qui neutralise la montée. On est pas encore situé au dessus de la couche ni en dessous. On se trouve à une altitude batarde, mais l'objectif est pour l'instant dégagé. On continue tout droit, en scrutant le ciel, mais il semble que les teutons soient plus sur le front ce qui arrange bien nos affaires. On en profite pour finir nos réglages de viseur.
La cible se rapproche, et un nuage est juste dessus. Si on continue à cette altitude, on va le traverser, et il nous est impossible de passer au dessus. Je décide de passer en dessous. Je pique, et Polux me suit. On se place sous la couche. On refais nos réglages de viseur. Mon mitrailleur de nez se réveille, et me gène pour ajuster la cible qui se profil juste à côtés d'un terrain teuton. Il semble qu'il n'y ai pas d'ennemi dans le coin, et que c'était juste de la surveillance. Je me colle à mon réticule de visé, et fais les corrections de direction. L'usine est attenante au terrain. Je lache toutes mes bombes et reste rivé au viseur pour voir les dégats. Une partie de l'usine est soufflé, ainsi qu'un ou plusieurs hangar.
Je continue mon virage gauche induit par ma correction lors de la visée, et met le cap plein ouest vers nos lignes. Pollux me suit. Quelques instant plus tard, mes mitrailleurs se réveille, et j'entends les mitrailleuses cracher, tout comme je peux voir des albatros qui plonge sur nous. Les balles allemande pleuve, et je suis touché légèrement. Mais je continue ma route. Pollux me fait des signes pour me dire que je fume. Je regarde ma température de moteur, et je vois mes geauges à 100%, et ça c'est pas bon, vu que j'ai mes radiateur ouvert à moitié. J'ouvre complètement les radiateurs en espérant que ça tienne. Je ne pense même plus à rentrer à la ferme d'Alger. Je fais le point sur les terrains et ce sera Courcy, juste aprés le front.
Les moteur semble garder leur tour malgrés le fait qu'il ne tourne plus trés rond, vu le bruit qu'il font. Et un albatros remet ça, en me trouant à nouveau la passoir. Le hauban extérieur droit à souffert, mais l'aile semble tenir. Les moteurs sont en train de lacher, je perds de la vitesse. Pollux me fait des grand signes, et je vois mon moteur gauche en flamme. Je décide me mettre en descente pour essayer de souffler l'incendie. Je surveille mon aile gauche, et je la vois commencer à plier puis se détacher avec le moteur. C'en est fini de moi, mon aile droite s'arrache aussi, dans la descente.
Je me cracherais dans le no man's land, juste à côtés d'un nos artilleurs qui a du avoir bien peur en me voyant tomber.
Connexion au serveur, une mission tourne, on matte les objectifs, on choisi un avion, ce sera le SE5 que l'on a pas piloté depuis un moment, et hop cockpit. Et là, c'est la merde, pas de commande pour ma pomme. Déconnexion, test en mision rapide, c'est la merde. Je cherche pendant que Pollux vole. Il m'annonce que la mission va bientôt se terminer, donc pas d'affolement. Enfin, je trouve ce qui merde, et je susi parré pour le lancement de la deuxième mission. Mais ce coup ci pas de SE-5. Pas grave, il y a du Hp400, et comme la dernière sortie date, on tente le coup.
La mission se situe dans le secteur de Reims. Nous décollerons de la ferme d'Alger, au Sud de Reims. Il y a plusieurs objectif, on décide d'aller taper les usines qui sont enfoncé dans les lignes allemandes. Pour cela, on prend des bombes de 100KG.
Arrivé cockpit, on regarde la manche à air, et on se re-familiarise avec le cockpit. Le météorologue était malade du coup, on a pas d'info utile pour nos bombes, et on se fait les calcules comme on peut. Alors la manche à air soufle vers le nord, en arrivant sur la cible, ça va nous donner une correction de -90 me dit Pollux. Hum, je le sens pas, et en mettant les choses à plat, on en vient à décider que ce serait + 90 de correction au vent. C'est que ça fait un moment que l'on a pas fait de la baleine. On s'est fait muter à la chasse dès que l'on a pu. Il faut dire qu'en permission, ça a plus de succés auprés des femmes. Et comme on était les seule pilotes disponibles, on nous y a collé. Le capo chef Gris s'est fait porté pale, et l'adjudant chef JJ est parti en permission aux folies bergère.
Pour la vitesse du vent, on va tabler sur un classique, à savoir un 2 m/s. Pour le plan de vol, on va prendre un cap Nord Est. Pour l'altitude bombardement, on va table sur du 3000m, mais on avisera en fonction de la couche nuageuse. Si la cible est masqué, il est prévu de continuer tout droit et de refaire un circuit sur la droite en s'enfonçant un peu plus dans les lignes allemandes, afin d'éviter la ligne de front qui risque d'être bien plus fréquenté.
Avant de lancer les moteurs, je fais signe à Pollux et j'ai un peu peur de la manche à air qui se trouve juste sur ma gauche. Les moteurs ronronnent, le compte tour est toujours aussi visible. Allez, je mets plein gaz, et commence à rouler. La balaine s'arrache toute seul du sol, et je maintiens un faible taux de monté pour ne pas casser le peu de vitesse que j'ai. Pollux semble avoir du mal, il a oublié de coupler ses deux moteurs, mais il corrigera et décollera. Il me rejoint et nous commençons la lente ascenssion. Au vu de notre taux de monté, je change le plan de vol, et prend plein Est afin de nous laisser le temps de monter. On passe le front et on arrive juste sous la couche. J'espère que l'on va pouvoir monté au dessus une fois le nuage de passé. Dès qu'il est passé, nous reprenons notre lente monté, et je dérive un peu à droite pour éviter le nuage suivant et pouvoir continuer à monter.
La bande forêt arrive, et c'est le point de repère pour mettre le cap sur la cible. Pollux me suit, mai se fait un peu distancer. Je ralenti un peu pour qu'il me rejoigne, ce qui neutralise la montée. On est pas encore situé au dessus de la couche ni en dessous. On se trouve à une altitude batarde, mais l'objectif est pour l'instant dégagé. On continue tout droit, en scrutant le ciel, mais il semble que les teutons soient plus sur le front ce qui arrange bien nos affaires. On en profite pour finir nos réglages de viseur.
La cible se rapproche, et un nuage est juste dessus. Si on continue à cette altitude, on va le traverser, et il nous est impossible de passer au dessus. Je décide de passer en dessous. Je pique, et Polux me suit. On se place sous la couche. On refais nos réglages de viseur. Mon mitrailleur de nez se réveille, et me gène pour ajuster la cible qui se profil juste à côtés d'un terrain teuton. Il semble qu'il n'y ai pas d'ennemi dans le coin, et que c'était juste de la surveillance. Je me colle à mon réticule de visé, et fais les corrections de direction. L'usine est attenante au terrain. Je lache toutes mes bombes et reste rivé au viseur pour voir les dégats. Une partie de l'usine est soufflé, ainsi qu'un ou plusieurs hangar.
Je continue mon virage gauche induit par ma correction lors de la visée, et met le cap plein ouest vers nos lignes. Pollux me suit. Quelques instant plus tard, mes mitrailleurs se réveille, et j'entends les mitrailleuses cracher, tout comme je peux voir des albatros qui plonge sur nous. Les balles allemande pleuve, et je suis touché légèrement. Mais je continue ma route. Pollux me fait des signes pour me dire que je fume. Je regarde ma température de moteur, et je vois mes geauges à 100%, et ça c'est pas bon, vu que j'ai mes radiateur ouvert à moitié. J'ouvre complètement les radiateurs en espérant que ça tienne. Je ne pense même plus à rentrer à la ferme d'Alger. Je fais le point sur les terrains et ce sera Courcy, juste aprés le front.
Les moteur semble garder leur tour malgrés le fait qu'il ne tourne plus trés rond, vu le bruit qu'il font. Et un albatros remet ça, en me trouant à nouveau la passoir. Le hauban extérieur droit à souffert, mais l'aile semble tenir. Les moteurs sont en train de lacher, je perds de la vitesse. Pollux me fait des grand signes, et je vois mon moteur gauche en flamme. Je décide me mettre en descente pour essayer de souffler l'incendie. Je surveille mon aile gauche, et je la vois commencer à plier puis se détacher avec le moteur. C'en est fini de moi, mon aile droite s'arrache aussi, dans la descente.
Je me cracherais dans le no man's land, juste à côtés d'un nos artilleurs qui a du avoir bien peur en me voyant tomber.