Une journée comme les autres à la Jasta 18
Publié : mar. mai 24, 2011 8:46 pm
Il est tôt le matin, la journée est fraiche mais s'annonce bien belle. Peu de nuages dans le ciel, un peu de vent fouettant le visage, c'est d'ailleurs un vent changeant.
Il y a une heure mon chef m'appelais, il me donne l'ordre de mission.
Les Français viennent d'installer une batterie d'artillerie au nord de St-Mihel qui harcèle nos convoie de ravitaillement, il n'y a aucun appareil d'attaque au sol pour mener cette tâche.
La mission nous reviens donc, je transmet l'ordre de mission à Obélix que j'ai gentiment demandé pour diriger cette mission.
Il y a 7 appareils de disponible pour cette mission, 5 fokker DVII et 2 fokker Dr1.
La patrouille de fokker Dr1 nous servira d'ange gardien pendant que nous irons labourer le sol.
Je vérifie mon avion avant de partir, tout est en ordre, les avions sont tous aligné pour accomplir leurs besogne:
Sa fait du bien de voler sans leader, le ciel est beau, c'est une belle journée pour voler et peut-être pour mourir.
Le vent me fouette le visage, il y a une légère odeur d'essence et d'huile. Le moteur ronronne à merveille.
C'est bon le rêve est finis, maintenant on arrive sur le front avec les camarades, on arrive donc dans la guerre et surement aussi proche de l'enfer.
Déjà quelques flocons noires de DCA sont aperçus.
Je lève les yeux, nos anges gardiens sont bien là, prés à se sacrifier pour nous et le bien de la mission, pis je suis rassuré de savoir que les pilotes des Dr1 sont Collosky et Stork, de très bon pilote de la Jasta 18, dont un AS récemment décoré.
Tant mieux pour nous, il ne tireront pas un seul coup de feu du vol.
J'aperçois l'objectif, quelques temps plus tard Obélix tire une fusée confirmant que l'objectif est en vue. L'objectif est devant.
Au loin, je vois Obélix piquer sur l'objectif, mais je me doute pas réellement à se moment que c'est un piqué proche de l'enfer que subisse chaque jours nos soldats.
J'aligne mes cibles dans mon viseur, je charge mes mitrailleuse, mon cœur bat à 100, mon avion aussi, la DCA est dense, le vent aussi, je maintient comme je peu mon manche, mon appareil est brutalisé dans tout les sens. Mais je déclenche l'enfer sur les servants des canons, surement plusieurs morts, mais aucun remords car se son mes ennemies et que je fait mon boulot.
Durant cette missions, mes braves camarades ont pris soin de détruire les ballons du secteur, avant que les froggy puissent les rentrer.
Notre artillerie aussi est de la partie, en effet plus loin il y a nos troupes qui ont levé des ballons, profitant de notre présence sur le front.
Mais notre propre artillerie peu devenir un danger pour nous.
La DCA ennemie est bien présente et devient de plus en plus dangereuse, vivement que l'on sorte de cette enfer.
Le leader donne le signal de replie, ouf c'est finis, un pincement au cœur de joie mais aussi d'espoir, l'espoir que l'on rentre tous.
Je voie plus loin un camarade, son blason indique qu'il s'agit du bon vieux Voltigeur, je sert sur lui pour rentrer.
Finis l'enfer et retour dans le rêve.
Je fait un passage au dessus de la base avant d'atterrir, la plus part de mes camarades sont déjà au sol.
Je suis sur le sol, bien en vie, un coup d'œil autours de moi et tout le monde est en vie, on a pas rencontrer de bandits, on est tous rentré, on a eu quelques cibles, voilà un agréable sentiment de devoir accomplis qui règne en moi.
Il y a une heure mon chef m'appelais, il me donne l'ordre de mission.
Les Français viennent d'installer une batterie d'artillerie au nord de St-Mihel qui harcèle nos convoie de ravitaillement, il n'y a aucun appareil d'attaque au sol pour mener cette tâche.
La mission nous reviens donc, je transmet l'ordre de mission à Obélix que j'ai gentiment demandé pour diriger cette mission.
Il y a 7 appareils de disponible pour cette mission, 5 fokker DVII et 2 fokker Dr1.
La patrouille de fokker Dr1 nous servira d'ange gardien pendant que nous irons labourer le sol.
Je vérifie mon avion avant de partir, tout est en ordre, les avions sont tous aligné pour accomplir leurs besogne:
Sa fait du bien de voler sans leader, le ciel est beau, c'est une belle journée pour voler et peut-être pour mourir.
Le vent me fouette le visage, il y a une légère odeur d'essence et d'huile. Le moteur ronronne à merveille.
C'est bon le rêve est finis, maintenant on arrive sur le front avec les camarades, on arrive donc dans la guerre et surement aussi proche de l'enfer.
Déjà quelques flocons noires de DCA sont aperçus.
Je lève les yeux, nos anges gardiens sont bien là, prés à se sacrifier pour nous et le bien de la mission, pis je suis rassuré de savoir que les pilotes des Dr1 sont Collosky et Stork, de très bon pilote de la Jasta 18, dont un AS récemment décoré.
Tant mieux pour nous, il ne tireront pas un seul coup de feu du vol.
J'aperçois l'objectif, quelques temps plus tard Obélix tire une fusée confirmant que l'objectif est en vue. L'objectif est devant.
Au loin, je vois Obélix piquer sur l'objectif, mais je me doute pas réellement à se moment que c'est un piqué proche de l'enfer que subisse chaque jours nos soldats.
J'aligne mes cibles dans mon viseur, je charge mes mitrailleuse, mon cœur bat à 100, mon avion aussi, la DCA est dense, le vent aussi, je maintient comme je peu mon manche, mon appareil est brutalisé dans tout les sens. Mais je déclenche l'enfer sur les servants des canons, surement plusieurs morts, mais aucun remords car se son mes ennemies et que je fait mon boulot.
Durant cette missions, mes braves camarades ont pris soin de détruire les ballons du secteur, avant que les froggy puissent les rentrer.
Notre artillerie aussi est de la partie, en effet plus loin il y a nos troupes qui ont levé des ballons, profitant de notre présence sur le front.
Mais notre propre artillerie peu devenir un danger pour nous.
La DCA ennemie est bien présente et devient de plus en plus dangereuse, vivement que l'on sorte de cette enfer.
Le leader donne le signal de replie, ouf c'est finis, un pincement au cœur de joie mais aussi d'espoir, l'espoir que l'on rentre tous.
Je voie plus loin un camarade, son blason indique qu'il s'agit du bon vieux Voltigeur, je sert sur lui pour rentrer.
Finis l'enfer et retour dans le rêve.
Je fait un passage au dessus de la base avant d'atterrir, la plus part de mes camarades sont déjà au sol.
Je suis sur le sol, bien en vie, un coup d'œil autours de moi et tout le monde est en vie, on a pas rencontrer de bandits, on est tous rentré, on a eu quelques cibles, voilà un agréable sentiment de devoir accomplis qui règne en moi.