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Pour un non spécialiste de ce genre d'équipement il se débrouille pas mal. A part de toutes petites approximations je n'ai rien trouvé de déconnant La plus grosse "boulette", à mon sens, est qu'il n'y a pas de limitation en altitude à proprement parlé. Ca dépend de la vitesse. Si aujourd'hui les sièges sont dit zéro/zéro, la génération précédente était grosso-modo du 0/90 (éjection au sol possible avec 90 kts mini).

Pour reprendre l'explication finale, ce qu'il appelle un fer à cheval est une manille, et son crochet est la "pince de retenue". Le principe de base autour de tout ça est que le parachute extracteur (le tout petit) sert à sortir le parachute stabilisateur (celui d'en dessous de 5" de diamètre). Le siège se trouve suspendu à ce duo via cette manille. Lorsque le système chrono-barymétrique décide que les conditions sont réunies pour la séparation siège-pilote et l'ouverture du parachute principal, il provoque l'ouverture de la pince de retenue et donc la libération de cette manille. Comme le parachute principal est aussi attaché dessus, il est sorti de son conteneur par la traction du parachute extracteur (le siège n'est plus suspendu et termine sa vie tout seul). Ici, du fait du serrage excessif, la manille est restée coincée sur la pince malgré la traction du parachute extracteur. C'est là qu'une éjection à plus grande vitesse aurait généré une plus grande force de traction susceptible de libérer cette manille.