... et merci Wildcat ]
T'étais un peu en avance T-Rex
Y'a pas de problème Wild
Et merci à toi Buck-Danny
C'est la fête
Niveau 2 avec Redhot
#26
[quote="T-REX FFW04"]
... et merci Wildcat ]
T'étais un peu en avance T-Rex
Y'a pas de problème Wild
Et merci à toi Buck-Danny
C'est la fête
... et merci Wildcat ]
T'étais un peu en avance T-Rex
Y'a pas de problème Wild
Et merci à toi Buck-Danny
C'est la fête
[/align]-
Buck-Danny
- Jeune Pilote
- Messages : 1794
- Inscription : 27 décembre 2006
#27
Bah de rien!!!
Sa va fait toujours plaisir les encouragements, surtout lorsqu'ils sont merités
Sa va fait toujours plaisir les encouragements, surtout lorsqu'ils sont merités
By Strength & Guile
-
Buck-Danny
- Jeune Pilote
- Messages : 1794
- Inscription : 27 décembre 2006
-
Cougar FFW04
- Chef de patrouille
- Messages : 5708
- Inscription : 20 janvier 2002
#31
Te voila donc officielement PHOENIX maintenant, alors double félicitations
FSX@War : THE unofficial TacPack Companion
-
Buck-Danny
- Jeune Pilote
- Messages : 1794
- Inscription : 27 décembre 2006
#33
Merci Coug', maintenant les CBUs n'ont plus aucun secret pour moiCougar FFW04 a écrit :
Te voila donc officielement PHOENIX maintenant, alors double félicitations
.Buck-Danny a écrit : Bah re feloches alors
Merci encore Buck-Danny
[/align]-
eutoposWildcat
Topic author - Webmaster
- Messages : 16094
- Inscription : 28 janvier 2005
#34
Bon, alors voilà quand même enfin le débrief de notre dernier vol avec Redhot 
:
Date: le 26 février 2007
Sujet: suppression d'AAA en CCIP, Tir DTOS, Tir Maverick
Moniteur: Wildcat
Elève: Redhot
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.10
Donc ce lundi nous étions partis pour nous lancer dans les joies du bombardement en piqué.
Comme Redhot se destine à la spécialisation SEAD, a priori, je décide que nous commencions par un exercice de destruction d'AAA, en bombardement en piqué en CCIP. Ca n'est pas un enseignement obligatoire du cursus EDC, mais disons que c'est un "bonus"
.
Donc, le principe: approche 12-13000 ft sur l'objectif défendu par de l'AAA, en palier, à au moins Mach 0,8. Une fois que l'objectif passe sous la barre de tangage -20°, mise en piqué sur l'objectif, et on attend que l'AAA commence à tirer. On repère très vite le premier flash au sol d'une pièce d'AAA en train de tirer, et on largue tout de suite une paire de CBU dessus en CCIP, puis on s'échappe derechef en piqué tout en larguant des leurres, veillant à ne pas dépasser Mach 0,95 ni 5,5G (limites pour les emports air-sol), et on finit le piqué en dégageant en radada à grande vitesse. Je montre l'exécution du truc à Redhot, qui pige très bien le principe. Deux erreurs toutefois: larguer un tapis de CBU, ce qui n'est pas efficace sur de l'AAA puisqu'en général elle est dispersée autour de la zone à défendre, et puis ne pas se hâter de larguer le plus vite possible, pour dégager aussitôt que possible. En effet l'intérêt du piqué c'est qu'il fait en sorte que les canons lourds d'AAA ne peuvent plus nous suivre correctement, mais une fois bas, en gros en-dessous de 4.000ft, les canons automatiques type 23 mm ont beaucoup moins de mal à le faire, eux. Il faut donc être très vif, et s'écarter de la trajectoire qui conduit à l'objectif le plus tôt possible. Qui plus est, si jamais un MANPAD traîne dans le coin, il vaut mieux s'être écarté avec célérité!
Il faut bien se rappeler que dès lors qu'on vole en-dessous de 10.000ft, on est potentiellement en danger, il faut être tout à la fois très prudent et très attentif. Donc on veille toujours à passer le moins de temps possible en-dessous de 10.000ft, et lorsqu'on remonte depuis la TTBA, on le fait toujours de manière bien franche et rapide.
Enfin, le principe est tout de même très bien compris, et cette leçon nous sert d'introduction pour le bombardement de cibles mobiles en DTOS.
Donc, je commence à expliquer le principe de fonctionnement du DTOS, mode de bombardement en visuel qui permet de larguer en piqué-ressource, et non pas simplement en piqué. Dans le détail, c'est pas bien compliqué: le DTOS marche à très peu de choses près comme le CCRP, à la différence que la désignation se fait à l'aide du carré désignation asservi au FPM dans le HUD, et dont on peut éventuellement modifier un peu l'écartement par rapport au FPM manuellement.
On fait un essai sur cible fixe: palier jusqu'à ce que la cible soit à -20° en tangage, piqué sur la cible, on pose la carré de désignation sur la cible, on enfonce le bouton d'autorisation de tir et on remonte en alignant le FPM et la Steering Line, et veillant à ce que la PC soit passée lorsque le nez passe au-dessus de l'horizon. Pas de souci pour Redhot, qui pige bien le système. Je lui explique le grand intérêt de ce mode en CAS: il permet de patrouiller tranquillement entre 11.000 et 15.000ft, piquer sur les cibles, "crever" la surface imaginaire des 10.000 ft et remonter tout de suite comme un martin-pêcheur, en passant ainsi un temps très court en-dessous des 10.000ft, le bas du piqué-ressource se situant normalement grosso-modo autour de 7.000ft.
La difficulté de l'exercice consiste à acquérir rapidement sa cible durant le piqué, à veiller à ne pas dépasser Mach 0,95 durant ce piqué, à bien rester le long de la Steering Line pour la remontée, et à ne pas oublier de larguer des leurres!
La manipulation idéale, sur cible mobile, consiste à conserver le radar en GMT, et le mode de bombardement CCRP, jusqu'à se trouver au moment de commencer le piqué (c'est-à-dire, par exemple, lorsque la cible se trouve à -20° en tangage), de façon à bien avoir identifié quelle est la position de la colonne visée. Si jamais la colonne s'arrête, et donc n'est plus visible en GMT, on créé immédiatement un point MARK. A noter que se servir du radar ne doit pas empêcher de prendre de bons repères visuels, qui seront nécessaires pour la conduite des passes suivantes.
Une fois arrivé au moment de commencer le piqué, alors on passe en DTOS, on pose le FPM sur la position préalablement identifiée de la cible, et on la cherche au padlock (en vue 4 ou en vue 5). Dès qu'on l'a, on pose un peu en avant de sa course le carré de désignation (pour tenir compte du fait que la cible continuera de se déplacer pendant le temps de vol des munitions qu'on lui envoie sur la tronche), et aussitôt on remonte en larguant des leurres.
Dans le principe, tout est bien pigé par Redhot. Au départ, il ramouille un peu dans l'échange GMT-CCRP/AGR-DTOS, mais corrige ça très vite. En revanche, il montre deux défauts plus importants: un goût prononcé pour la BA, qui fait qu'il y reste trop longtemps au début
, prenant de gros risques puisqu'on ne peut jamais savoir, en particulier en campagne, ce qui peut bien se cacher au sol que l'on n'avait pas repéré, et surtout un manque de repères visuels, en liaison avec le HSD, qui le fait perdre un peu de temps pour reprendre ses passes et retrouver facilement ses cibles.
Nous travaillons un peu là-dessus, et Redhot s'en tire bientôt beaucoup mieux. Ne pas oublier cependant de toujours passer le moins de temps possible entre 10.000ft et 500ft, donc être très attentif à l'altimètre.
Enfin, comme cette leçon sur le DTOS se passe bien, nous pouvons passer à la version "pépère" du CAS: le CAS avec Maverick. Dans le principe, ça ressemble un peu au DTOS, mais en plus "cool" : on croise à 12000-13000ft, on repère les cibles en GMT, si elles nous font du moins la gentillesse d'être mobiles. Les Mavericks étant en mode PRE, on a plus qu'affiner le verrouillage de la tête du missile après avoir verrouillé au radar, en descendant éventuellement un peu pour avoir un meilleur visuel si nécessaire, mais uniquement s'il s'agit bien d'une nécessité. Une fois à portée, on tire, éventuellement plusieurs missiles si on en a le temps, en se rappelant que la priorité est de ne pas s'approcher de la cible, ni surtout de la survoler (sinon, à quoi bon des missiles, hein, j'vous l'demande, ma brave dame?).
Pas de problème pour Redhot sur ce plan-là, il maîtrise. Qui plus est, à ce moment de la leçon j'introduis l'obligation d'annoncer les axes de passe et de dégagement, à l'entrée et à la sortie des passes, en plus des annonces de tir, et il fait ça très bien.
Pour la bonne bouche, on passe ensuite à l'utilisation des Mavericks sans le radar. Ca oblige à avoir une bonne orientation visuelle sur la zone, mais Redhot commence à y parvenir sans trop de problème, et à bien manier le padlock. Pas de souci, il s'en tire bien. Attention toutefois encore à être attentif sur l'altimètre: en CAS, l'altitude c'est la vie! (et le gras aussi)
Enfin, en tous les cas c'est l'acquisition sans souci des derniers modules du niveau 2 pour Redhot, bravo!!!
:Date: le 26 février 2007
Sujet: suppression d'AAA en CCIP, Tir DTOS, Tir Maverick
Moniteur: Wildcat
Elève: Redhot
Version: Falcon 4.0 Allied Force 1.10
Donc ce lundi nous étions partis pour nous lancer dans les joies du bombardement en piqué.
Comme Redhot se destine à la spécialisation SEAD, a priori, je décide que nous commencions par un exercice de destruction d'AAA, en bombardement en piqué en CCIP. Ca n'est pas un enseignement obligatoire du cursus EDC, mais disons que c'est un "bonus"
.Donc, le principe: approche 12-13000 ft sur l'objectif défendu par de l'AAA, en palier, à au moins Mach 0,8. Une fois que l'objectif passe sous la barre de tangage -20°, mise en piqué sur l'objectif, et on attend que l'AAA commence à tirer. On repère très vite le premier flash au sol d'une pièce d'AAA en train de tirer, et on largue tout de suite une paire de CBU dessus en CCIP, puis on s'échappe derechef en piqué tout en larguant des leurres, veillant à ne pas dépasser Mach 0,95 ni 5,5G (limites pour les emports air-sol), et on finit le piqué en dégageant en radada à grande vitesse. Je montre l'exécution du truc à Redhot, qui pige très bien le principe. Deux erreurs toutefois: larguer un tapis de CBU, ce qui n'est pas efficace sur de l'AAA puisqu'en général elle est dispersée autour de la zone à défendre, et puis ne pas se hâter de larguer le plus vite possible, pour dégager aussitôt que possible. En effet l'intérêt du piqué c'est qu'il fait en sorte que les canons lourds d'AAA ne peuvent plus nous suivre correctement, mais une fois bas, en gros en-dessous de 4.000ft, les canons automatiques type 23 mm ont beaucoup moins de mal à le faire, eux. Il faut donc être très vif, et s'écarter de la trajectoire qui conduit à l'objectif le plus tôt possible. Qui plus est, si jamais un MANPAD traîne dans le coin, il vaut mieux s'être écarté avec célérité!
Il faut bien se rappeler que dès lors qu'on vole en-dessous de 10.000ft, on est potentiellement en danger, il faut être tout à la fois très prudent et très attentif. Donc on veille toujours à passer le moins de temps possible en-dessous de 10.000ft, et lorsqu'on remonte depuis la TTBA, on le fait toujours de manière bien franche et rapide.
Enfin, le principe est tout de même très bien compris, et cette leçon nous sert d'introduction pour le bombardement de cibles mobiles en DTOS.
Donc, je commence à expliquer le principe de fonctionnement du DTOS, mode de bombardement en visuel qui permet de larguer en piqué-ressource, et non pas simplement en piqué. Dans le détail, c'est pas bien compliqué: le DTOS marche à très peu de choses près comme le CCRP, à la différence que la désignation se fait à l'aide du carré désignation asservi au FPM dans le HUD, et dont on peut éventuellement modifier un peu l'écartement par rapport au FPM manuellement.
On fait un essai sur cible fixe: palier jusqu'à ce que la cible soit à -20° en tangage, piqué sur la cible, on pose la carré de désignation sur la cible, on enfonce le bouton d'autorisation de tir et on remonte en alignant le FPM et la Steering Line, et veillant à ce que la PC soit passée lorsque le nez passe au-dessus de l'horizon. Pas de souci pour Redhot, qui pige bien le système. Je lui explique le grand intérêt de ce mode en CAS: il permet de patrouiller tranquillement entre 11.000 et 15.000ft, piquer sur les cibles, "crever" la surface imaginaire des 10.000 ft et remonter tout de suite comme un martin-pêcheur, en passant ainsi un temps très court en-dessous des 10.000ft, le bas du piqué-ressource se situant normalement grosso-modo autour de 7.000ft.
La difficulté de l'exercice consiste à acquérir rapidement sa cible durant le piqué, à veiller à ne pas dépasser Mach 0,95 durant ce piqué, à bien rester le long de la Steering Line pour la remontée, et à ne pas oublier de larguer des leurres!
La manipulation idéale, sur cible mobile, consiste à conserver le radar en GMT, et le mode de bombardement CCRP, jusqu'à se trouver au moment de commencer le piqué (c'est-à-dire, par exemple, lorsque la cible se trouve à -20° en tangage), de façon à bien avoir identifié quelle est la position de la colonne visée. Si jamais la colonne s'arrête, et donc n'est plus visible en GMT, on créé immédiatement un point MARK. A noter que se servir du radar ne doit pas empêcher de prendre de bons repères visuels, qui seront nécessaires pour la conduite des passes suivantes.
Une fois arrivé au moment de commencer le piqué, alors on passe en DTOS, on pose le FPM sur la position préalablement identifiée de la cible, et on la cherche au padlock (en vue 4 ou en vue 5). Dès qu'on l'a, on pose un peu en avant de sa course le carré de désignation (pour tenir compte du fait que la cible continuera de se déplacer pendant le temps de vol des munitions qu'on lui envoie sur la tronche), et aussitôt on remonte en larguant des leurres.
Dans le principe, tout est bien pigé par Redhot. Au départ, il ramouille un peu dans l'échange GMT-CCRP/AGR-DTOS, mais corrige ça très vite. En revanche, il montre deux défauts plus importants: un goût prononcé pour la BA, qui fait qu'il y reste trop longtemps au début
, prenant de gros risques puisqu'on ne peut jamais savoir, en particulier en campagne, ce qui peut bien se cacher au sol que l'on n'avait pas repéré, et surtout un manque de repères visuels, en liaison avec le HSD, qui le fait perdre un peu de temps pour reprendre ses passes et retrouver facilement ses cibles.Nous travaillons un peu là-dessus, et Redhot s'en tire bientôt beaucoup mieux. Ne pas oublier cependant de toujours passer le moins de temps possible entre 10.000ft et 500ft, donc être très attentif à l'altimètre.
Enfin, comme cette leçon sur le DTOS se passe bien, nous pouvons passer à la version "pépère" du CAS: le CAS avec Maverick. Dans le principe, ça ressemble un peu au DTOS, mais en plus "cool" : on croise à 12000-13000ft, on repère les cibles en GMT, si elles nous font du moins la gentillesse d'être mobiles. Les Mavericks étant en mode PRE, on a plus qu'affiner le verrouillage de la tête du missile après avoir verrouillé au radar, en descendant éventuellement un peu pour avoir un meilleur visuel si nécessaire, mais uniquement s'il s'agit bien d'une nécessité. Une fois à portée, on tire, éventuellement plusieurs missiles si on en a le temps, en se rappelant que la priorité est de ne pas s'approcher de la cible, ni surtout de la survoler (sinon, à quoi bon des missiles, hein, j'vous l'demande, ma brave dame?
).Pas de problème pour Redhot sur ce plan-là, il maîtrise. Qui plus est, à ce moment de la leçon j'introduis l'obligation d'annoncer les axes de passe et de dégagement, à l'entrée et à la sortie des passes, en plus des annonces de tir, et il fait ça très bien.
Pour la bonne bouche, on passe ensuite à l'utilisation des Mavericks sans le radar. Ca oblige à avoir une bonne orientation visuelle sur la zone, mais Redhot commence à y parvenir sans trop de problème, et à bien manier le padlock. Pas de souci, il s'en tire bien. Attention toutefois encore à être attentif sur l'altimètre: en CAS, l'altitude c'est la vie! (et le gras aussi)
Enfin, en tous les cas c'est l'acquisition sans souci des derniers modules du niveau 2 pour Redhot, bravo!!!
"If everyone is thinking alike, then somebody isn’t thinking."
#35
Wildcat,
Tout d'abord, un grand merci à toi, puis je dois te dire que l'aquisition de mon niveau deux ne me laisse pas sans joie.
Voilou donc rendez-vous pour le Niveau 3 : je vais quand même pas le lâcher si facilement...
A bientôt
Tout d'abord, un grand merci à toi, puis je dois te dire que l'aquisition de mon niveau deux ne me laisse pas sans joie.
Voilou donc rendez-vous pour le Niveau 3 : je vais quand même pas le lâcher si facilement...
A bientôt
[/align]-
eutoposWildcat
Topic author - Webmaster
- Messages : 16094
- Inscription : 28 janvier 2005
#36
Déjà, félicitations à toi pour être allé jusqu'à la fin de la lecture de mon débriefing , parce que j'ai encore franchement abusé sur la longueur de celui-là.
, parce que j'ai encore franchement abusé sur la longueur de celui-là. "If everyone is thinking alike, then somebody isn’t thinking."
#37
Oui oui ne t'inquiètes pas, j'aime bien les relire (ils sont très complets), tu mets des petites remarques intéressantes et drôles... En plus, c'est pas juste histoire de te flatter, mais ta prose n'est pas trop désagréable donc ca se lit tout seul
[/align]-
eutoposWildcat
Topic author - Webmaster
- Messages : 16094
- Inscription : 28 janvier 2005
#38
Ben je fais souvent long, parce que je songe aux autres élèves qui n'ont pas encore fait le module, et qui pourront ainsi (du moins je l'espère) trouver quelques explications utiles pour les guider.
(Merci pour le commentaire : effectivement, vu la longueur, j'essaie qu'en plus ça soit pas trop pénible .)
(Merci pour le commentaire
: effectivement, vu la longueur, j'essaie qu'en plus ça soit pas trop pénible .)"If everyone is thinking alike, then somebody isn’t thinking."
-
Buck-Danny
- Jeune Pilote
- Messages : 1794
- Inscription : 27 décembre 2006
#39
Manquerait plus que ce soit bourré de fautes d'orthographes et lourd
"é pis j'lui dis => vazy, appui sur el'bouton voir, tu voi, ya plaind de 'tite loupiote qui salume..." 
"é pis j'lui dis => vazy, appui sur el'bouton voir, tu voi, ya plaind de 'tite loupiote qui salume..."
By Strength & Guile
-
eutoposWildcat
Topic author - Webmaster
- Messages : 16094
- Inscription : 28 janvier 2005
