Publié : mar. mai 19, 2009 12:51 pm
Le relais de carlingue(c'est le terme exact), qui permet en un seul cordon d'acheminer l'oxygène, la radiocom et l'électricité de la combinaison chauffante et aussi le chauffage d'oxygène(cas du relais Bronzavia).
La grosse prise noire est reliée au cordon prolongateur du "relais de poitrine" qui comporte une prise éjectable du côté "relais de poitrine".
Le modèle qui équipe le D520 est un "Ericsson"
Le contrôleur de débit devrait comporter des graduations à sa partie supérieure.
Ces graduations sont de 0 à 6000m de 1000 en 1000.
Si le régulateur de débit est bien réglé et l'automaticité correcte, l'aiguille indique la même valeur que l'altimètre, il doit y avoir concordance. En effet de débit est fonction de la pression ambiante.
Il est plus facile de faire la corrélation ainsi plutôt que de jongler avec des litres/minute et des altitudes.
Si le débit n'est pas suffisant, le pilote peut forcer alors de débit par le robinet qui se trouve juste au dessus, légèrement à droite.
Le gros bouton permet de réglage du débitmètre par action sur une capsule anéroïde. C'est cette dernière qui assure l'automaticité de débit en fonction de la pression ambiante.
Ci dessous le contrôleur de débit équipant les inhalateurs Gourdou et Angenault
Le travail sur l'instrumentation est superbe.
Une chose cependant, les graduations apparaissaient en (presque)blanc à l'époque.
C'est le vieillissement qui a donné cette couleur jaune orangé à la peinture phosphorescente au radium et que l'on observe sur des instruments vieux de plus de 60 ans.
La teinte que ça pouvait avoir à l'époque, c'est celle des aiguilles lumineuses des montres, blanc avec un micro chouïa de vert, vous les voyez orangées vos aiguilles? (pour ceusses qui ont des vraies montres
)
La grosse prise noire est reliée au cordon prolongateur du "relais de poitrine" qui comporte une prise éjectable du côté "relais de poitrine".
Le modèle qui équipe le D520 est un "Ericsson"
Le contrôleur de débit devrait comporter des graduations à sa partie supérieure.
Ces graduations sont de 0 à 6000m de 1000 en 1000.
Si le régulateur de débit est bien réglé et l'automaticité correcte, l'aiguille indique la même valeur que l'altimètre, il doit y avoir concordance. En effet de débit est fonction de la pression ambiante.
Il est plus facile de faire la corrélation ainsi plutôt que de jongler avec des litres/minute et des altitudes.
Si le débit n'est pas suffisant, le pilote peut forcer alors de débit par le robinet qui se trouve juste au dessus, légèrement à droite.
Le gros bouton permet de réglage du débitmètre par action sur une capsule anéroïde. C'est cette dernière qui assure l'automaticité de débit en fonction de la pression ambiante.
Ci dessous le contrôleur de débit équipant les inhalateurs Gourdou et Angenault
Le travail sur l'instrumentation est superbe.
Une chose cependant, les graduations apparaissaient en (presque)blanc à l'époque.
C'est le vieillissement qui a donné cette couleur jaune orangé à la peinture phosphorescente au radium et que l'on observe sur des instruments vieux de plus de 60 ans.
La teinte que ça pouvait avoir à l'époque, c'est celle des aiguilles lumineuses des montres, blanc avec un micro chouïa de vert, vous les voyez orangées vos aiguilles? (pour ceusses qui ont des vraies montres
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canon et mitrailleuses???? y en avait il vraiment sur les models de serie, sachant que je doit etre moins documenté que vous, je n ai jamais entendu parler de ca!!!
