salut a tous
est que l'on peut trouvé une missions sur le débarquement en normandie?
je me lancerait bien dans la création mais j'ai peur que celle ci soit trés longue à
faire.alors si en plus il faut la faire réaliste on n'ait pas couché.
mission ultime
mission ultime
#1phenomx4 965 be (am3), gigagyte GA-MA785GMT-UD2H, ati 7950 oc sapphire, 8 GIGA g skill ares, x52 saitek, LG 25" 3d passive
#2
va voir en biblio C6,dans Il2 FBAEP.
à mon souvenir,il y en a une en spit,une en FW190,et une en mustang.
à mon souvenir,il y en a une en spit,une en FW190,et une en mustang.
Pilote ops JTFF
W11 /I7-7700 CPU 3.60 GHz /32G RAM DDR4 / NVIDIA GTX 3070 / Track ir 5/ Palo Saitek/ HOTAS Warthog/ Skillkorp 33" / HP REVERB G2
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UF-hallacar
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#3
Eider du 3/52 en a faite une retrance la sortie des 2 fw1900 au dessus des plages anglaise le 6 juin
faut lui demander
faut lui demander
"les cons cela osent tout et c'est d'ailleurs à cela qu'on les reconnait" M.AUDIARD
#4
Salut ! J'ai deux missions un peu fictives sur le Jour J, à jouer en multijoueur (pas d'IA). Ca risque d'être un peu ennuyeux pour un seul joueur... 
La météo est très mauvaise depuis plusieurs jours. Le 4 juin 1944, à 23h, les avions du 50th Troop Carrier Squadron faisaient tourner leurs moteurs au ralenti. Les parachutistes avaient déjà embarqué, en vue d’être largués au dessus des côtes normandes, un peu à l’intérieur des terres. Mais l’ordre de décollage ne vint pas. Une couche de nuages bas s’étendait sur tout le sud de l’Angleterre. L’opération Neptune, la phase navale de l’opération Overlord était annulée. Le temps était si mauvais que même le navire allemand posté habituellement au milieu de la Manche pour donner aux Allemands l’alerte de l’invasion attendue, avait été retiré et se trouvait amarré dans son port d’attache.
Vingt quatre heures plus tard, on réaligna les C-47, moteurs aux ralentis, tandis que les troupes aéroportées embarquaient dans le ventre des avions. Le temps sur la plupart des bases britanniques n’avait guère changé. Mais le service météo avait fait part d’une amélioration des conditions climatiques l’espace de trente-six heures. Vers 3h du matin, le 5 juin 1944, le Général Eisenhower donna l’ordre de lancer l’opération Overlord.
L’ordre de décollage de la plupart des Dakota n’arriva que bien plus tard, après 23h30. Une énorme formation commença à décrire des cercles au sud de l’Angleterre. Au moins 850 avions s’étaient regroupés, des C-47, mais aussi des planeurs tractés, des Mosquito de la chasse nocturne… Au fur et à mesure, les formations d’avions de transport mirent le cap vers le sud, pour faire une approche ouest-est sur la zone de largage.
[size=-2]Zones d’embarquement des troupes sur les navires alliés[/size]
A partir de 22h, l’armada navale alliée prit le large, divisée en 47 convois, regroupant plus de 6900 navires. Le Nord-pas-de-calais ainsi que toute la Normandie subissent d’intenses bombardements par les avions de la RAF et de l’USAAF, même s’ils sont peu précis. Sainte-Mère-l’Eglise est touchée par plusieurs projectiles, dont l’un incendie une maison en centre-ville.
Peu avant minuit, une vingtaine de C-47 survolent l’immense flotte, et les parachutistes n’en croient pas leurs yeux ! Des navires à perte de vue ! A bord des avions se trouvent des soldats de la 82nd et de la 101st Airborne, qui devront protéger le débarquement sur le secteur de Utah Beach, entre Sainte-Mère-l’Eglise et Carentan. A 00h16, les premiers éclaireurs sautent au dessus de la Normandie, pour baliser les zones de largage. Les Dakota volent à moins de 200m du sol, pour éviter la dérive due au vent.
A 01h50 arrive le gros des troupes. Alors que les éclaireurs ont balisé un large triangle, 369 C-47 larguent pas loin de 15000 parachutistes sur la zone. Dès que les hommes touchent le sol, ils font face à de violents accrochages, particulièrement à Sainte-Mère-l’Eglise. De nombreux soldats se sont perdus sous la dérive du vent, et ne parviennent à regrouper que sur le tard. L’essentiel des troupes du secteur de la 101st Airborne se trouve autour et dans Sainte-Mère-l’Eglise, premier village à libérer pour l’unité.
A 03h05, le chef de la base du 361st FG reçoit un appel confidentiel. Un Mosquito a repéré un convoi allemand partant d’Isigny, se dirigeant très probablement vers Sainte-Mère-l’Eglise. De plus, les parachutistes de la 101st Airborne signale plusieurs canons et mitrailleuses embusquées dans le sud de Sainte-Mère-l’Eglise. Le 374th FS est demandé en urgence sur zone pour empêcher l’arrivée de renforts allemands et aider nos soldats, qui sont dans une mauvaise situation.
Attention à la luminosité et au plafond nuageux, très bas. La présence de chasse ennemie devrait être très faible. Les Mosquito de la RAF veillent.
************************
A 05h30, le 6 juin 1944, trois torpilleurs allemands commandés par le Capitaine de Corvette Heinrich Hoffmann traversent un brouillard artificiel et se retrouvent nez à nez avec la flotte d’invasion ! Plusieurs bâtiments alliés ouvrent le feu, mais les Allemands ont le temps de larguer une salve de 18 torpilles avant de disparaître à nouveau dans le brouillard. Seul un destroyer est touché, un navire norvégien, qui coule aussitôt.
La batterie côtière de Longues-sur-mer ouvre le feu pour la première fois à 05h37. Dix gerbes d’eau s’élèvent autour d’un destroyer américain. Aucune victime n’est à déplorer.
A 05h58, le jour se lève, froid, gris et pluvieux. Deux minutes plus tard, 1365 bombardiers alliés déversent 4000 tonnes de bombes sur les côtes. 38000 roquettes sont tirées depuis des péniches lance-roquette avant l’arrivée des troupes, qui débarquent sur les plages à partir de 06h30.
Le téléphone sonne encore une fois au Mess du 361st FG, à 06h15. Les hommes de la 82nd Airborne n’ont pas réussi à prendre la batterie côtière de Grainville durant la nuit. C’est un complexe de bunkers protégeant plusieurs canons de gros calibres, qui menacent directement la flotte alliée et les troupes qui débarquent. Les Allemands ne semblent pas encore avoir reçu d’informations pour effectuer des tirs précis, mais cela ne saurait tarder. Il faut détruire cette batterie !
Un « cordon de sécurité » est en place depuis 5h du matin et englobe toute la zone de débarquement, à 70km à l’intérieur des terres. Chaque squadron de l’USAAF se voit assigné un secteur à la limite du secteur. Ainsi, aucun avion ennemi ne doit théoriquement voler dans votre secteur, sauf s’ils ont passé les mailles du filet.
Les missions :
http://campagneav.free.fr/fichiers/jourj.zip
Bon vol !
La météo est très mauvaise depuis plusieurs jours. Le 4 juin 1944, à 23h, les avions du 50th Troop Carrier Squadron faisaient tourner leurs moteurs au ralenti. Les parachutistes avaient déjà embarqué, en vue d’être largués au dessus des côtes normandes, un peu à l’intérieur des terres. Mais l’ordre de décollage ne vint pas. Une couche de nuages bas s’étendait sur tout le sud de l’Angleterre. L’opération Neptune, la phase navale de l’opération Overlord était annulée. Le temps était si mauvais que même le navire allemand posté habituellement au milieu de la Manche pour donner aux Allemands l’alerte de l’invasion attendue, avait été retiré et se trouvait amarré dans son port d’attache.
Vingt quatre heures plus tard, on réaligna les C-47, moteurs aux ralentis, tandis que les troupes aéroportées embarquaient dans le ventre des avions. Le temps sur la plupart des bases britanniques n’avait guère changé. Mais le service météo avait fait part d’une amélioration des conditions climatiques l’espace de trente-six heures. Vers 3h du matin, le 5 juin 1944, le Général Eisenhower donna l’ordre de lancer l’opération Overlord.
L’ordre de décollage de la plupart des Dakota n’arriva que bien plus tard, après 23h30. Une énorme formation commença à décrire des cercles au sud de l’Angleterre. Au moins 850 avions s’étaient regroupés, des C-47, mais aussi des planeurs tractés, des Mosquito de la chasse nocturne… Au fur et à mesure, les formations d’avions de transport mirent le cap vers le sud, pour faire une approche ouest-est sur la zone de largage.
[size=-2]Zones d’embarquement des troupes sur les navires alliés[/size]
A partir de 22h, l’armada navale alliée prit le large, divisée en 47 convois, regroupant plus de 6900 navires. Le Nord-pas-de-calais ainsi que toute la Normandie subissent d’intenses bombardements par les avions de la RAF et de l’USAAF, même s’ils sont peu précis. Sainte-Mère-l’Eglise est touchée par plusieurs projectiles, dont l’un incendie une maison en centre-ville.
Peu avant minuit, une vingtaine de C-47 survolent l’immense flotte, et les parachutistes n’en croient pas leurs yeux ! Des navires à perte de vue ! A bord des avions se trouvent des soldats de la 82nd et de la 101st Airborne, qui devront protéger le débarquement sur le secteur de Utah Beach, entre Sainte-Mère-l’Eglise et Carentan. A 00h16, les premiers éclaireurs sautent au dessus de la Normandie, pour baliser les zones de largage. Les Dakota volent à moins de 200m du sol, pour éviter la dérive due au vent.
A 01h50 arrive le gros des troupes. Alors que les éclaireurs ont balisé un large triangle, 369 C-47 larguent pas loin de 15000 parachutistes sur la zone. Dès que les hommes touchent le sol, ils font face à de violents accrochages, particulièrement à Sainte-Mère-l’Eglise. De nombreux soldats se sont perdus sous la dérive du vent, et ne parviennent à regrouper que sur le tard. L’essentiel des troupes du secteur de la 101st Airborne se trouve autour et dans Sainte-Mère-l’Eglise, premier village à libérer pour l’unité.
A 03h05, le chef de la base du 361st FG reçoit un appel confidentiel. Un Mosquito a repéré un convoi allemand partant d’Isigny, se dirigeant très probablement vers Sainte-Mère-l’Eglise. De plus, les parachutistes de la 101st Airborne signale plusieurs canons et mitrailleuses embusquées dans le sud de Sainte-Mère-l’Eglise. Le 374th FS est demandé en urgence sur zone pour empêcher l’arrivée de renforts allemands et aider nos soldats, qui sont dans une mauvaise situation.
Attention à la luminosité et au plafond nuageux, très bas. La présence de chasse ennemie devrait être très faible. Les Mosquito de la RAF veillent.
************************
A 05h30, le 6 juin 1944, trois torpilleurs allemands commandés par le Capitaine de Corvette Heinrich Hoffmann traversent un brouillard artificiel et se retrouvent nez à nez avec la flotte d’invasion ! Plusieurs bâtiments alliés ouvrent le feu, mais les Allemands ont le temps de larguer une salve de 18 torpilles avant de disparaître à nouveau dans le brouillard. Seul un destroyer est touché, un navire norvégien, qui coule aussitôt.
La batterie côtière de Longues-sur-mer ouvre le feu pour la première fois à 05h37. Dix gerbes d’eau s’élèvent autour d’un destroyer américain. Aucune victime n’est à déplorer.
A 05h58, le jour se lève, froid, gris et pluvieux. Deux minutes plus tard, 1365 bombardiers alliés déversent 4000 tonnes de bombes sur les côtes. 38000 roquettes sont tirées depuis des péniches lance-roquette avant l’arrivée des troupes, qui débarquent sur les plages à partir de 06h30.
Le téléphone sonne encore une fois au Mess du 361st FG, à 06h15. Les hommes de la 82nd Airborne n’ont pas réussi à prendre la batterie côtière de Grainville durant la nuit. C’est un complexe de bunkers protégeant plusieurs canons de gros calibres, qui menacent directement la flotte alliée et les troupes qui débarquent. Les Allemands ne semblent pas encore avoir reçu d’informations pour effectuer des tirs précis, mais cela ne saurait tarder. Il faut détruire cette batterie !
Un « cordon de sécurité » est en place depuis 5h du matin et englobe toute la zone de débarquement, à 70km à l’intérieur des terres. Chaque squadron de l’USAAF se voit assigné un secteur à la limite du secteur. Ainsi, aucun avion ennemi ne doit théoriquement voler dans votre secteur, sauf s’ils ont passé les mailles du filet.
Les missions :
http://campagneav.free.fr/fichiers/jourj.zip
Bon vol !
