réservoirs supplémentaires
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#1Salut les gars !
Peut-on savoir à quel moment le réservoir supplémentaire est vide , étant donné qu'il n'y a pas de jauge pour lui ?
Peut-on savoir à quel moment le réservoir supplémentaire est vide , étant donné qu'il n'y a pas de jauge pour lui ?
#2
Quand la jauge des réservoirs principaux commence à baisser ?
Antec Nine Hundred II - Asus P6X58D-E / Intel X58 - Intel Core I7 950 3 GHz - 6 Go DDR3 1600 MHz Corsair - Windows Seven Professional 64 bits - NVidia Geforce 480 GTX 1,5 Go
#3
Sur le P-47D, sur la jauge principale, il y a deux "quartiers", un pour le "main fuel tank" l'autre pour l'"auxillary fuel tank". Sinon, sur les vrais, je suppose que le fait de choisir son réservoir grâce au sélecteur permet d'afficher le niveau. (?)
#4
Sur les vrais, on fait un suivi de conso: le réservoir contient tant, on consomme tant de l'heure, ça doit couper à telle heure. A telle heure -5mn, on change de réservoir (en tout cas on faisait comme ça sur Cessna 310).
Si on s'est loupé, avant d'annoncer "panne moteur" quand le moteur tousse, on commence par basculer le réservoir, ça évite de passer pour un con.... (vécu d'instructeur qui m'a été relaté).
Voili voilà, les fleurons de l'aéronautique actuelle disposent pour certains de jaugeurs externes, mais je ne connais pas leur mode de fonctionnement exact. Quoi qu'il en soit je doute qu'un P51 de 1944 ait été mieux équipé qu'un Cessna 310 des années 90 sur ce plan, donc affine tes DTC (distance temps consommation, bandes de pervers ).
Si on s'est loupé, avant d'annoncer "panne moteur" quand le moteur tousse, on commence par basculer le réservoir, ça évite de passer pour un con.... (vécu d'instructeur qui m'a été relaté).
Voili voilà, les fleurons de l'aéronautique actuelle disposent pour certains de jaugeurs externes, mais je ne connais pas leur mode de fonctionnement exact. Quoi qu'il en soit je doute qu'un P51 de 1944 ait été mieux équipé qu'un Cessna 310 des années 90 sur ce plan, donc affine tes DTC (distance temps consommation, bandes de pervers ).
L'avion, l'avion, l'avion, ça fait lever les yeux, etc...
#5
Sur le P-47D, sur la jauge principale, il y a deux "quartiers", un pour le "main fuel tank" l'autre pour l'"auxillary fuel tank".
La plupart des avions ont, en interne , plusieurs réservoirs, celui situé le plus près du moteur étant utilisé au décollage et à l'atterrissage. Il est parfois plus petit et appelé "réserve" sur certains appareils. C'est le cas des P-47 d'après ma doc.
PS: pour info, quand la lampe rouge s'allume, d'après la doc, il te reste "entre" 5 et 20 gallons, faut espérer que tu es du bon côté de l'erreur
L'avion, l'avion, l'avion, ça fait lever les yeux, etc...
#6
Et hop, un petit diagramme du sysème carburant du P-47
http://www.zenoswarbirdvideos.com/Image ... dC,D,G.gif
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#7
Je sais plus où y'avait un doc avec les capacités des réservoirs sup sur IL2 calculé en mettant 1% de carburant dans l'éditeur de mission (donc le moteur coupe grosso modo quand tu as fini ton réservoir sup). Après naturellement, un reservoir sup se crame plus vite à 100% qu'à 50 ^^
Sur les avions russes (La5, La7 et IL2 notamment mais ce dernier n'a pas de réservoir sup), la jauge ne bouge que quand l'avions a cramé un tiers environ de son carburant embarqué, donc difficile de savoir quand on a fini le reservoir sup. De mémoire sur les La y'a environ 25 min de carburant à 90% (a la louche)
Historiquement, comme ca déja été dit, les gars connaissaient le temps de vol sur un reservoir sup, et le largait avant que le moteur ne se coupe (surtout si tu es allié et que tu es en plein millieux du Reich c'est moyen ).
Super le diagrame Rollnloop, merci ! Si tu en as d'autres comme ca hésite pas ^^
Sur les avions russes (La5, La7 et IL2 notamment mais ce dernier n'a pas de réservoir sup), la jauge ne bouge que quand l'avions a cramé un tiers environ de son carburant embarqué, donc difficile de savoir quand on a fini le reservoir sup. De mémoire sur les La y'a environ 25 min de carburant à 90% (a la louche)
Historiquement, comme ca déja été dit, les gars connaissaient le temps de vol sur un reservoir sup, et le largait avant que le moteur ne se coupe (surtout si tu es allié et que tu es en plein millieux du Reich c'est moyen ).
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"Souvenez-vous des œuvres que nos pères ont accomplies de leur temps, et vous recevrez un nom et une gloire immortels."
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- Chef de patrouille
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#8
Sur le Mosquito, il existe 4 jauges sur le tableau de droite...
2 pour les réservoirs internes, 2 pour les bidons supplémentaires...
2 pour les réservoirs internes, 2 pour les bidons supplémentaires...
#9
Dans touts les cas , tu ne les largues qu'en cas de besoin, donc, pas utile de se prendre la tête....
#10
UF_Josse a écrit :Dans touts les cas , tu ne les largues qu'en cas de besoin, donc, pas utile de se prendre la tête....
Sauf que les bidons provoquent de la trainée... donc se balader avec des bidons vides, c'est couillon...
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#11
Pour les avions russes, ce n'est pas tout à fait ça. La jauge indique 300 litres maxi. Tant qu'il te reste plus de 300 litres, la jauge ne bouge pas, ... normal !
Le La-5 a 560 litres (environ selon version), l'aiguille commence à descendre quand tu as consommé les premiers 260 litres !
Il faut donc connaître la capacité d'emport de ton avion au départ pour dire que ça représente 1/3 ou 1/4 quand l'aiguille bouge.
Le La-5 a 560 litres (environ selon version), l'aiguille commence à descendre quand tu as consommé les premiers 260 litres !
Il faut donc connaître la capacité d'emport de ton avion au départ pour dire que ça représente 1/3 ou 1/4 quand l'aiguille bouge.
L'escadrille a besoin de plusieurs volontaires pour compléter son effectif : NOTRE SITE. NOTRE FORUM.
Nos Screenshots tirés de nos vols de campagnes : ICI.
Trucs & Astuces de l'éditeur de missions: ICI.
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#12
Mais refabriquer ou racheter des bidons, ça l'est encore plus En fait, la trainée est minime et si tu n'as pas de nécessité de les larguer, ils ne l'étaient normalement pas...... et la trainée du bidon en croisière..... on s'en tape, en fait.Oscarbob a écrit :Sauf que les bidons provoquent de la trainée... donc se balader avec des bidons vides, c'est couillon...
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#13
Josse ça veut dire que les pilotes de l'époque rentraient à leur base avec des bidons d'essence vide ? C'est pas dangereux pour l'atterissage ?
#14
J'ai vu des vidéos de poser avec bidons, vi, et .... non, pas plus dangereux que ça, en fait......
#15
C'est peut-être pas modélisé dans le jeu mais un bidon traine énormément.UF_Josse a écrit :... et la trainée du bidon en croisière..... on s'en tape, en fait.
Les pilotes de l'Armée de l'Air (de nos jours) disent que lorsqu'ils emportent un bidon de 1200 litres par exemple, la moitié seulement (donc 600 litres) est utilisée pour augmenter leur autonomie, l'autre moitié servant à compenser la trainée supplémentaire.
@+
#16
c'est comme tous, il faut pas tous prendre au pieds de la lettre.
bon déja le jour ou les paramètre de trainée et de conso d'un FW190 et d'un M2000 seront comparables.
De plus quand bill pilote un P38 au dessus de la roumanie, il y a tellement de 109/IAR etc.. qui lui en veulent que son bidon une fois vide il s'en débarrasse. Surtout que au pays des bidons et du pétrol on en fabrique a la tonne
Quand antoniu, on lui a livré un seul reservoir supplémentaire pour son emil, et que la prochaine livraison prévus c'est pour dans 6 mois, ben son bidon si il peut le ramener il le fait.
Idem pour les bombes.
le fait de rencontrer l'ennemi fait qu'il etait largué 99 fois sur 100.
bon déja le jour ou les paramètre de trainée et de conso d'un FW190 et d'un M2000 seront comparables.
De plus quand bill pilote un P38 au dessus de la roumanie, il y a tellement de 109/IAR etc.. qui lui en veulent que son bidon une fois vide il s'en débarrasse. Surtout que au pays des bidons et du pétrol on en fabrique a la tonne
Quand antoniu, on lui a livré un seul reservoir supplémentaire pour son emil, et que la prochaine livraison prévus c'est pour dans 6 mois, ben son bidon si il peut le ramener il le fait.
Idem pour les bombes.
le fait de rencontrer l'ennemi fait qu'il etait largué 99 fois sur 100.
si si dans le jeu tu va moins vite avec que sans, mais tu va plus loin aussiC'est peut-être pas modélisé dans le jeu mais un bidon traine énormément.
Escadrille 352 "les Gladiateurs"
"z'avez le meme rouge ? Je suis fan de Schumacher "
Manfred Von Richthofen
"z'avez le meme rouge ? Je suis fan de Schumacher "
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#17
Au vu de la conception des différents types de jaugeurs en 1940, c'était rare d'en équiper les bidons supplémentaires.
Il aurait fallut pour cela équiper de jaugeur à "lecture indirecte" pour sélectionner le réservoir intéressé et ensuite connaitre son niveau. Cela impose des canalisations supplémentaires(tube de pression) ou des liaisons mécaniques(transmission de mouvement), bien sûr pas de système électrique...
la meilleure méthode était, comme le dit Roll, de faire son bilan carburant pour savoir où l'on en est.
D'ailleurs on le fait toujours de nos jours, c'est bien plus précis, fiable et sûr qu'un jaugeur qui peut induire en erreur du fait d'un problème mécanique ou électrique.
Pour le Mossie, il avait je crois des réservoirs "intérieur"(dans la partie des ailes entre moteur/fuselage) et "extérieur"(au delà des moteurs), vu la position des nourrices, il fallait certainement pomper pour les transvaser. de plus ces nourrices profilées n'étaient pas largables.
Sur Tempest, la traînée des bidons était si ridiculement faible(je ne sais plus où j'ai lu que cela grèvait le Cx de l'avion de 2%) que la consigne était de les conserver!
Pour l'anecdote, le réservoir sur P47, et peut être d'autres avions américain possédait un tube de verre faisant fusible au moment du largage.
Et sur MS406, le pilote pouvait déverrouiller le réservoir principal inférieur(325 litres) et le larguer après avoir désacouppler la conduite d'essence d'avec le réservoir supérieur(81 litres). Le réservoir inférieur était simplement retenu par deux câbles en acier arrêtés par des broches escamotables, et deux sandows facilitaient son éjection vers le bas....
Il aurait fallut pour cela équiper de jaugeur à "lecture indirecte" pour sélectionner le réservoir intéressé et ensuite connaitre son niveau. Cela impose des canalisations supplémentaires(tube de pression) ou des liaisons mécaniques(transmission de mouvement), bien sûr pas de système électrique...
la meilleure méthode était, comme le dit Roll, de faire son bilan carburant pour savoir où l'on en est.
D'ailleurs on le fait toujours de nos jours, c'est bien plus précis, fiable et sûr qu'un jaugeur qui peut induire en erreur du fait d'un problème mécanique ou électrique.
Pour le Mossie, il avait je crois des réservoirs "intérieur"(dans la partie des ailes entre moteur/fuselage) et "extérieur"(au delà des moteurs), vu la position des nourrices, il fallait certainement pomper pour les transvaser. de plus ces nourrices profilées n'étaient pas largables.
Sur Tempest, la traînée des bidons était si ridiculement faible(je ne sais plus où j'ai lu que cela grèvait le Cx de l'avion de 2%) que la consigne était de les conserver!
Pour l'anecdote, le réservoir sur P47, et peut être d'autres avions américain possédait un tube de verre faisant fusible au moment du largage.
Et sur MS406, le pilote pouvait déverrouiller le réservoir principal inférieur(325 litres) et le larguer après avoir désacouppler la conduite d'essence d'avec le réservoir supérieur(81 litres). Le réservoir inférieur était simplement retenu par deux câbles en acier arrêtés par des broches escamotables, et deux sandows facilitaient son éjection vers le bas....
#18
Dans le film "Thunderbolt", on voit clairement se poser des piafs avec leur bidon ventral après une sortie au dessus de l'Italie.
#19
Il me semble que certains bidons de Mustang était "jetables", dans le sens où on ne pouvait de toute facon les utiliser qu'une fois (c'était par rapport à la matière qui servait à la fabrication je crois).
Quelqu'un en sait plus là dessus ?
Pour ceux du Tempest, ils avaient été dessiné exprès pour l'avion et coutaient très cher, d'où la consigne d'éviter de les larguer (cf. Le Grand Cirque)
Quelqu'un en sait plus là dessus ?
Pour ceux du Tempest, ils avaient été dessiné exprès pour l'avion et coutaient très cher, d'où la consigne d'éviter de les larguer (cf. Le Grand Cirque)
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#20
Il faut arrêter de croire qu'un bidon vide est forcément dangereux. Pour qu'il explose, il faudrait qu'il contienne un mélange air/essence en proportion précise.
Sur certains appareils, les réservoirs sont préssurisés avec les gaz d'échappement, donc pas de risque d'avoir un mélange carburé dans le réservoir lorsqu'il est vide. Donc pas d'explosion possible, sauf s'il prend un obus, mais là c'est l'explosion de l'obus.
Pour les réservoirs plus ou moins plein, même avec un évent de mise à l'air, le ratio air/essence est tel que l'explosion n'est pas possible (incendie oui)
Il n'y a que dans les films où les réservoirs des voitures explosent, mais ça, c'est pour le côté esthétique.
Il pourrait y avoir une limitation, celle de la masse max autorisée à l'atterrissage, peut être comme le cas des P38 qui s'en allaient intercepter l'amiral Yamamoto: si un pilote aurait dû atterrir aussitôt après décollage, vu la quantité d'essence supplémentaire, la masse maxi autorisée l'atterrissage était dépassée (la masse max au décollage est souvent supérieure à la masse max à l'atterrissage), il aurait alors été indispensable de se débarasser du carburant excédentaire pour ne pas faire plier le train d'atterrissage à l'impact des roues.
Roll pourra vous le confirmer
Sur certains appareils, les réservoirs sont préssurisés avec les gaz d'échappement, donc pas de risque d'avoir un mélange carburé dans le réservoir lorsqu'il est vide. Donc pas d'explosion possible, sauf s'il prend un obus, mais là c'est l'explosion de l'obus.
Pour les réservoirs plus ou moins plein, même avec un évent de mise à l'air, le ratio air/essence est tel que l'explosion n'est pas possible (incendie oui)
Il n'y a que dans les films où les réservoirs des voitures explosent, mais ça, c'est pour le côté esthétique.
Il pourrait y avoir une limitation, celle de la masse max autorisée à l'atterrissage, peut être comme le cas des P38 qui s'en allaient intercepter l'amiral Yamamoto: si un pilote aurait dû atterrir aussitôt après décollage, vu la quantité d'essence supplémentaire, la masse maxi autorisée l'atterrissage était dépassée (la masse max au décollage est souvent supérieure à la masse max à l'atterrissage), il aurait alors été indispensable de se débarasser du carburant excédentaire pour ne pas faire plier le train d'atterrissage à l'impact des roues.
Roll pourra vous le confirmer
#21
Il faut arrêter de croire qu'un bidon vide est forcément dangereux. Pour qu'il explose, il faudrait qu'il contienne un mélange air/essence en proportion précise.
Dans le cas des appontages, il était quand même fortement préconisé de les larguer avant de rentrer (ainsi que de couper l'alimentation des mirailleuses, par exemple), et des oublis ont donné lieu a des accidents dramatiques.
Roll pourra vous le confirmer
Ne connaissant pas le P-38 suffisamment, je ne peux pas confirmer l'exemple, mais je confirme effectivement qu'on préfère attendre d'alléger l'appareil en cas de retour nécessaire peu après l'atterrissage, suivant les conditions météos, le type de panne, les perfos de l'appareil, etc.... on peut aussi choisir d'atterrir en surcharge, mais on s'engage dans ce cas a faire un "kisslanding" pour éviter de criquer le train.
L'avion, l'avion, l'avion, ça fait lever les yeux, etc...
#22
je parlais simplement du fait que la masse admise à l'atterrissage est parfois inférieure de celle au décollage.
Pour ce qui était du P38, je ne faisais que supposer, car les bidons spéciaux étaient de grande capacité, c'était juste pour imager. Je ne connais pas exactement la masse max à l'atterro du P38, mais la quantité de carburant supplémentaire était de 1800litres (1300kg)suspendue sous les ailes.
Pour ce qui était du P38, je ne faisais que supposer, car les bidons spéciaux étaient de grande capacité, c'était juste pour imager. Je ne connais pas exactement la masse max à l'atterro du P38, mais la quantité de carburant supplémentaire était de 1800litres (1300kg)suspendue sous les ailes.
#23
Pour en revenir aux reservoirs "jetables" dont je parlais, d'après ma docu, les Mustang avaient soit des réservoirs classiques en métal (75 US gallons), soit à partir de début 44 des réservoirs composés de papier compressé et de plastique (108 US gallons). Ces derniers étant nettement moins cher à fabriquer, de plus grande capacité, mais non réutilisables.
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#24
A noter aussi que faire un jettison de ses réservoirs au moment où un avions vous tire dessus, c'est un peu plus compliqué que d'appuyer sur une touche d'un clavier, il est donc préférable de le faire avant le combat... je n'ai pas d'anecdote spécifique sur ce point tactique durant la WWII, mais
-on voit plus d'une fois dans les guncams un réservoir supp' prendre feu sur une rafale, dommage que la victime ne l'ait pas largué plus tôt, elle aurait peut être pu échapper à son sort...
-Au Vietnam, les taux de pertes des F-100 lors des missions contre le nord ont un peu baissé quand les pilotes engagés ont décidé de se débarasser de leurs réservoirs avant d'entrer dans la "danger zone", et/ou de faire demi-tour quand ceux-cis ne voulaient pas se détacher.
-on voit plus d'une fois dans les guncams un réservoir supp' prendre feu sur une rafale, dommage que la victime ne l'ait pas largué plus tôt, elle aurait peut être pu échapper à son sort...
-Au Vietnam, les taux de pertes des F-100 lors des missions contre le nord ont un peu baissé quand les pilotes engagés ont décidé de se débarasser de leurs réservoirs avant d'entrer dans la "danger zone", et/ou de faire demi-tour quand ceux-cis ne voulaient pas se détacher.
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