Une brève histoire de CF
Publié : mar. déc. 19, 2006 11:28 pm
Pour ceux qui auraient raté la Campagne Francophone...
Cela avait commencé par l'ouverture des soldes d'été 1941 quand la Vermarte fonça tête baissée vers les prometteur magasins d'Ukraine et comptait bien dévaliser les échoppes de Moscou avant leur fermeture en hiver. Aidée en cela par une toute puissance Louftvafeu qui ne laissa que quelques cendres derrière elle malgré le design résolument futuriste et révolutionnaires des engins de la Vévéhesse...
D'un autre côté, en matière d'engins futuristes de très haute technologie, les teutons avaient de la répartie ! Pour preuve ce document saisissant qui ne fut définitivement décrypté (voire plagié !) que trente-cinq plus tard par un certain monsieur George (qui n'est pas mon père).
Qu'à cela ne tienne ! Les forces aériennes russes pouvait compter sur des alliés indéfectibles qui leur fournissaient des engins de dernières générations qui, incompréhensiblement, continuèrent à susciter l'hilarité générale et les collibets de la part de leurs adversaires germaniques.
Ah oui... L'hiver... Le général Hiver qu'il l'appelle là-bas... Les forces russes comptèrent sur lui pour la victoire, mais en attendant, ce sont les as allemands qui comptèrent les leurs...
La situation était tellement désespérée sur le coup que les chefs d’état major ont carrément du avoir recours aux effectifs féminins (ils se reconnaîtront) !
Les pertes au sol furent considérables. Fort heureusement, les industries soviètiques, hâtivement déménagées à dos d'ânes vers des terres plus clémentes que les zones de bataille, disposaient d'artisans pécheurs (n'oublions pas que les ingénieurs étaient à l'époque en prison pour avoir appris à lire...) qui produisaient les meilleurs crevettes de la région !
L’adversité possédait également son cheval de bataille. Toutefois, par d’étranges effets secondaires inattendus, l’alliance de l’agresseur avec le Japon impérial eut d’abord comme conséquence la découverte du « bridage »…
Une mauvaise nouvelle n’arrivant jamais seule, l’ogre de Sibérie, la terreur de l’Oural, le monstre de Verkhoïansk (je sais, c’est ronflant… Mais ce sont les noms donnés par les élèves de l’école maternelle de Nijni-Novgorod aux appareils achetés grâce à la revente de colliers de nouilles lors de la kermesse annuelle…) se présentait alors face aux hordes d’invasion barbares !
Pas démontés pour autant, les germains purent compter sur leurs précieux alliés italiens et leurs fougueuses montures indomptables pour renverser une situation devenue désespéree…
Dicton rouge : rien ne vaut une bonne bastos pour remettre à l’endroit une mauvaise boussole !
Merci à tous pour cette CF !
PS : my papetier is rich…
Cela avait commencé par l'ouverture des soldes d'été 1941 quand la Vermarte fonça tête baissée vers les prometteur magasins d'Ukraine et comptait bien dévaliser les échoppes de Moscou avant leur fermeture en hiver. Aidée en cela par une toute puissance Louftvafeu qui ne laissa que quelques cendres derrière elle malgré le design résolument futuriste et révolutionnaires des engins de la Vévéhesse...
D'un autre côté, en matière d'engins futuristes de très haute technologie, les teutons avaient de la répartie ! Pour preuve ce document saisissant qui ne fut définitivement décrypté (voire plagié !) que trente-cinq plus tard par un certain monsieur George (qui n'est pas mon père).
Qu'à cela ne tienne ! Les forces aériennes russes pouvait compter sur des alliés indéfectibles qui leur fournissaient des engins de dernières générations qui, incompréhensiblement, continuèrent à susciter l'hilarité générale et les collibets de la part de leurs adversaires germaniques.
Ah oui... L'hiver... Le général Hiver qu'il l'appelle là-bas... Les forces russes comptèrent sur lui pour la victoire, mais en attendant, ce sont les as allemands qui comptèrent les leurs...
La situation était tellement désespérée sur le coup que les chefs d’état major ont carrément du avoir recours aux effectifs féminins (ils se reconnaîtront) !
Les pertes au sol furent considérables. Fort heureusement, les industries soviètiques, hâtivement déménagées à dos d'ânes vers des terres plus clémentes que les zones de bataille, disposaient d'artisans pécheurs (n'oublions pas que les ingénieurs étaient à l'époque en prison pour avoir appris à lire...) qui produisaient les meilleurs crevettes de la région !
L’adversité possédait également son cheval de bataille. Toutefois, par d’étranges effets secondaires inattendus, l’alliance de l’agresseur avec le Japon impérial eut d’abord comme conséquence la découverte du « bridage »…
Une mauvaise nouvelle n’arrivant jamais seule, l’ogre de Sibérie, la terreur de l’Oural, le monstre de Verkhoïansk (je sais, c’est ronflant… Mais ce sont les noms donnés par les élèves de l’école maternelle de Nijni-Novgorod aux appareils achetés grâce à la revente de colliers de nouilles lors de la kermesse annuelle…) se présentait alors face aux hordes d’invasion barbares !
Pas démontés pour autant, les germains purent compter sur leurs précieux alliés italiens et leurs fougueuses montures indomptables pour renverser une situation devenue désespéree…
Dicton rouge : rien ne vaut une bonne bastos pour remettre à l’endroit une mauvaise boussole !
Merci à tous pour cette CF !
PS : my papetier is rich…