2 spits abattus avec mon vieux Stuka !
Publié : dim. oct. 02, 2005 8:47 pm
Bonsoir à tous !
Lors d'un bombardement massif sur Eastchurch AF, j'ai eu l'occasion d'abattre 2 Spit aux commandes de mon vieux Stuka inférieur dans presque tous les domaines de vol à la chasse britannique
Au milieu de la DCA britannique, mon Stuka est chahuté mais lorsque j'aperçois par la verrière sous mes pieds, l'aérodrome, je commence mon piqué. Le bruit terrifiant des aérofreins retentit, je lâche ma bombe un peu tard mais parvient à redresser en perdant connaissance quelques petites secondes
Alors que l'ensemble de mes ailiers vient de terminer son piqué, je décide de faire un passage bas pour mitrailler quelques appareils restés au sol. Hélas, la vague n°2 est quelque peu en avance et c'est au milieu de leur bombardement que je me retrouve !
Je décide alors de m'éloigner en rassemblant mon escadrille qui répond présente. Nous n'avons perdu aucun appareil mais un Stuka de la section Yellow a l'air salement touché. Cap au 162. Après quelques minutes de vol nous apercevons nos escorteurs (de superbes BF109), qui se démènent au milieu de nuées de Spitfire anglais. Nous sommes largement à 1 km au dessus d'eux, je décide alors de profiter de notre altitude pour piquer vers la zone de combat. Nous pourrons toujours abattre quelques appareils de la chasse britannique qui auront été endommagés par nos escorteurs
Je repère vite un Spitfire qui sort d'une chandelle prolongée, en pleine perte de vitesse. Je me lance à sa poursuite et avec l'élan, le rattrape aisément. Malgré sa finesse, la manoeuvre qu'il vient d'exécuter lui a coûté cher en vitesse.
Je lache une rafale qui déchire littéralement son fuselage, une autre qui fait voler en éclat le cockpit, et une dernière tombe sur le capot moteur du Spitfire, qui prend instantanément feu sous mes yeux.
Le cockpit a du être bloqué par mes balles, ou le pilote a du être blessé, toujours est-il que ce dernier n'a pas réussi à s'éjecter et finit sa carrière dans le channel.
Alors que j'envisage de quitter la zone, j'entends le vrombissement invraisemblable d'un moteur Rolls Royce, et je ressens en même temps de fortes turbulences dans le palonnier. Mon mitrailleur me signale qu'un Spit vient de nous froler.
Il me précise également qu'il lui a semblé apercevoir sur un de ses plans les marques d'une rafale... Effectivement le pilote malgré tous ses efforts ne parvient pas à fuir la zone et je le rattrape rapidement, en compagnie d'un BF109. Ce dernier tire deux rafales sèches mais ne parvient pas à accrocher le pilote britannique. Je corrige d'un collimateur et je balance la purée, pas de salve mais un tir de trois ou quatre secondes. Les balles ricochent et se plantent dans le fuselage, faisant voler les débris alentours.
Le Spit, touché à mort, file sans précipitation vers la surface de la mer.
Deuxième victoire de la journée, en combat tournoyant, à bord de mon fier Stuka
Lors d'un bombardement massif sur Eastchurch AF, j'ai eu l'occasion d'abattre 2 Spit aux commandes de mon vieux Stuka inférieur dans presque tous les domaines de vol à la chasse britannique
Au milieu de la DCA britannique, mon Stuka est chahuté mais lorsque j'aperçois par la verrière sous mes pieds, l'aérodrome, je commence mon piqué. Le bruit terrifiant des aérofreins retentit, je lâche ma bombe un peu tard mais parvient à redresser en perdant connaissance quelques petites secondes
Alors que l'ensemble de mes ailiers vient de terminer son piqué, je décide de faire un passage bas pour mitrailler quelques appareils restés au sol. Hélas, la vague n°2 est quelque peu en avance et c'est au milieu de leur bombardement que je me retrouve !
Je décide alors de m'éloigner en rassemblant mon escadrille qui répond présente. Nous n'avons perdu aucun appareil mais un Stuka de la section Yellow a l'air salement touché. Cap au 162. Après quelques minutes de vol nous apercevons nos escorteurs (de superbes BF109), qui se démènent au milieu de nuées de Spitfire anglais. Nous sommes largement à 1 km au dessus d'eux, je décide alors de profiter de notre altitude pour piquer vers la zone de combat. Nous pourrons toujours abattre quelques appareils de la chasse britannique qui auront été endommagés par nos escorteurs
Je repère vite un Spitfire qui sort d'une chandelle prolongée, en pleine perte de vitesse. Je me lance à sa poursuite et avec l'élan, le rattrape aisément. Malgré sa finesse, la manoeuvre qu'il vient d'exécuter lui a coûté cher en vitesse.
Je lache une rafale qui déchire littéralement son fuselage, une autre qui fait voler en éclat le cockpit, et une dernière tombe sur le capot moteur du Spitfire, qui prend instantanément feu sous mes yeux.
Le cockpit a du être bloqué par mes balles, ou le pilote a du être blessé, toujours est-il que ce dernier n'a pas réussi à s'éjecter et finit sa carrière dans le channel.
Alors que j'envisage de quitter la zone, j'entends le vrombissement invraisemblable d'un moteur Rolls Royce, et je ressens en même temps de fortes turbulences dans le palonnier. Mon mitrailleur me signale qu'un Spit vient de nous froler.
Il me précise également qu'il lui a semblé apercevoir sur un de ses plans les marques d'une rafale... Effectivement le pilote malgré tous ses efforts ne parvient pas à fuir la zone et je le rattrape rapidement, en compagnie d'un BF109. Ce dernier tire deux rafales sèches mais ne parvient pas à accrocher le pilote britannique. Je corrige d'un collimateur et je balance la purée, pas de salve mais un tir de trois ou quatre secondes. Les balles ricochent et se plantent dans le fuselage, faisant voler les débris alentours.
Le Spit, touché à mort, file sans précipitation vers la surface de la mer.
Deuxième victoire de la journée, en combat tournoyant, à bord de mon fier Stuka