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Topic author - Messages : 6149
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#2
En gros c'est du style bohémia studio on sort battle simulator comme vbs1 pour les militaires afin de finançer les projets à venir (with more under development (F-16, F/A-18)
seulement l'armée russe a-t-elle les moyens ou la volonté d'acheter, car vu le terrain les armes et les avions c'est elle la seule source de financement possible ?
vladimir si tu veux bien venir poster:Jumpy:
seulement l'armée russe a-t-elle les moyens ou la volonté d'acheter, car vu le terrain les armes et les avions c'est elle la seule source de financement possible ?
vladimir si tu veux bien venir poster:Jumpy:
Asrock E3 890GX Phenom II X6 @4ghz avec Corsair H50 8go SSD OCZ agility2 HD6950@ 6970 Seven 64
Hulk of Dover Never before in the fields of human gaming has so much been promised by so few and not been delivered to so many.
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#3
C'est sans aucun doute une démarche spéculative à tous points de vues, mais je ne pense pas que la cible visée soit 'armée Russe, je pense plutôt à des écoles d'instructions de tous pays; car si la carte à la forme que l'on sait elle est suffisemment large pour modéliser tout type de terrain, plaine/montagne/côtes....
Intel CoreI7-3770K/3ghz 8mb, Noctua NH-U12P SE2, Asus P8Z77V, 2x4Go G-SKILL DDR3 , ASUS GTX670 2go, Boitier FRACTAL R3, Alim CORSAIR PRO SERIES GOLD AX750, DD1 Samsung SSD128Go 830 series, DD2 Seagate BARRACUDA 2To, T-IR 5, Hotas THRUSTMASTER WARTHOG, Palo Saitek Pro Flight Rudder, THRUSTMASTER MFD's, Pilotseat GameRacer Pro
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- Jeune Pilote
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#5
Ben c'est a dire que je faisait le rapport avec Lockon et en particulier l'aspect meilleure strategie pour l'attaque de site SAM et je cite:
1/ "D'une manière ou d'une autre, les jeux commerciaux sont appelés à jouer un rôle croissant, affirment les responsables. « Des gens du Département de la Défense iront voir des développeurs commerciaux et diront, 'votre jeu est presque ce que nous voulons. Au lieu de payer des millions pour le développer nous-mêmes, peut-être pouvons l'adapter pour bien moins' », prédit le colonel Matt Caffrey, professeur de wargaming à l'Air Command and Staff College et réserviste à l'Air Force Research Lab's Information Directorate à Rome, dans l'Etat de New York."
2/ "Algorithmes et données fidèles
Mais considérer simplement les prix est trompeur, relèvent les défenseurs des grandes et traditionnelles simulations militaires. « L'une des raisons pour lesquelles il faut autant d'argent et de temps pour construire un JWARS, c'est qu'il utilise des algorithmes validés par des données et des armes réelles », note un gestionnaire du Gouvernement familier avec le programme.
« Il y a eu beaucoup de recherches pour vérifier que ces algorithmes complexes représentent la manière avec laquelle nos systèmes fonctionnent », déclare-t-il. « Disons qu'un bataillon en attaque un autre. Nos algorithmes et notre expérience du monde réel pourraient suggérer que l'attaquant a 90% de chances de détruire un système donné. Les jeux commerciaux pourraient utiliser un algorithme bien plus simple qui conclut à pourcentage de destruction de 60%. »
« Si l'objectif de ces jeux est le plaisir, c'est très bien », continue le gestionnaire. « Mais si vous utilisez un modèle pour prendre des décisions sur l'évaluation des forces valant des milliards de dollars, vous devez être sûrs que les algorithmes sont justes. Et il y a une grande différence entre une probabilité de 60% et 90% pour que quelque chose se passe. »
Un problème qui use les nerfs des concepteurs commerciaux comme des militaires est la question de savoir qui crée les simulations les plus précises. Les critiques accusent JANUS, BBC (Battalion/Brigade Simulation) et leurs semblables d'être des modèles ayant le fétichisme de la puissance de feu et de l'attrition, accordant la victoire à celui qui a les plus gros canons, plutôt que donner un poids égal à des facteurs immatériels comme le moral, la fatigue et la cohésion. De telles considérations ont depuis longtemps été intégrées aux wargames commerciaux, informatisés ou sur papier.
3/ "L'Air Force veut qu'il affine l'intelligence artificielle de ces jeux, et qu'il utilise ensuite cette connaissance pour améliorer celle d'autres wargames informatiques. « Mon approche consiste à prendre un moteur de jeu et à le développer en une série couvrant différentes périodes historiques », explique Tiller, qui fait également la démonstration à l'Air Force de son jeu de niveau opératif Modern Air Power. « Je pourrais utiliser Modern Air Power comme d'un jeu pour couvrir n'importe quoi depuis le Vietnam jusqu'à l'Irak. »
Tiller prédit que les dollars de la défense vont attirer les développeurs commerciaux. « Avec la faible marge des wargames commerciaux, même des SSTR et des SBIR (Small Business Innovative Research Program) sont très attractifs », souligne-t-il. « Vous n'allez pas attirer un Microsoft avec cette quantité d'argent, mais vous pouvez certainement attirer un développeur commercial. Lorsque je vends un jeu, je peux le faire pour 40 $ et avoir un certain retour sur investissement. Un SBIR est un financement plus constant. Je peux compter sur ces 100'000 $ pendant 9 mois, et ils justifient l'effort accru de développer l'IA d'un wargame. »"
Et Je pense que a termes ils ont l'ambition de faire un simu en temps réel,integre les donnée satellite et autre source afin de planifier une attaques ayant le taux de réussite le plus elevé.
1/ "D'une manière ou d'une autre, les jeux commerciaux sont appelés à jouer un rôle croissant, affirment les responsables. « Des gens du Département de la Défense iront voir des développeurs commerciaux et diront, 'votre jeu est presque ce que nous voulons. Au lieu de payer des millions pour le développer nous-mêmes, peut-être pouvons l'adapter pour bien moins' », prédit le colonel Matt Caffrey, professeur de wargaming à l'Air Command and Staff College et réserviste à l'Air Force Research Lab's Information Directorate à Rome, dans l'Etat de New York."
2/ "Algorithmes et données fidèles
Mais considérer simplement les prix est trompeur, relèvent les défenseurs des grandes et traditionnelles simulations militaires. « L'une des raisons pour lesquelles il faut autant d'argent et de temps pour construire un JWARS, c'est qu'il utilise des algorithmes validés par des données et des armes réelles », note un gestionnaire du Gouvernement familier avec le programme.
« Il y a eu beaucoup de recherches pour vérifier que ces algorithmes complexes représentent la manière avec laquelle nos systèmes fonctionnent », déclare-t-il. « Disons qu'un bataillon en attaque un autre. Nos algorithmes et notre expérience du monde réel pourraient suggérer que l'attaquant a 90% de chances de détruire un système donné. Les jeux commerciaux pourraient utiliser un algorithme bien plus simple qui conclut à pourcentage de destruction de 60%. »
« Si l'objectif de ces jeux est le plaisir, c'est très bien », continue le gestionnaire. « Mais si vous utilisez un modèle pour prendre des décisions sur l'évaluation des forces valant des milliards de dollars, vous devez être sûrs que les algorithmes sont justes. Et il y a une grande différence entre une probabilité de 60% et 90% pour que quelque chose se passe. »
Un problème qui use les nerfs des concepteurs commerciaux comme des militaires est la question de savoir qui crée les simulations les plus précises. Les critiques accusent JANUS, BBC (Battalion/Brigade Simulation) et leurs semblables d'être des modèles ayant le fétichisme de la puissance de feu et de l'attrition, accordant la victoire à celui qui a les plus gros canons, plutôt que donner un poids égal à des facteurs immatériels comme le moral, la fatigue et la cohésion. De telles considérations ont depuis longtemps été intégrées aux wargames commerciaux, informatisés ou sur papier.
3/ "L'Air Force veut qu'il affine l'intelligence artificielle de ces jeux, et qu'il utilise ensuite cette connaissance pour améliorer celle d'autres wargames informatiques. « Mon approche consiste à prendre un moteur de jeu et à le développer en une série couvrant différentes périodes historiques », explique Tiller, qui fait également la démonstration à l'Air Force de son jeu de niveau opératif Modern Air Power. « Je pourrais utiliser Modern Air Power comme d'un jeu pour couvrir n'importe quoi depuis le Vietnam jusqu'à l'Irak. »
Tiller prédit que les dollars de la défense vont attirer les développeurs commerciaux. « Avec la faible marge des wargames commerciaux, même des SSTR et des SBIR (Small Business Innovative Research Program) sont très attractifs », souligne-t-il. « Vous n'allez pas attirer un Microsoft avec cette quantité d'argent, mais vous pouvez certainement attirer un développeur commercial. Lorsque je vends un jeu, je peux le faire pour 40 $ et avoir un certain retour sur investissement. Un SBIR est un financement plus constant. Je peux compter sur ces 100'000 $ pendant 9 mois, et ils justifient l'effort accru de développer l'IA d'un wargame. »"
Et Je pense que a termes ils ont l'ambition de faire un simu en temps réel,integre les donnée satellite et autre source afin de planifier une attaques ayant le taux de réussite le plus elevé.
#6
Celà me fait furieusement pensé à Sonalist qui fait des simulateur pour les "civils" de sous marin nucléaire entre 2 commande de l'us Army .
Résultat, les simu telle que sub-command sont "trés" proche de la réalité opérationnel mais certaine choses sont pas implémenté (matos sensible).
Résultat, les simu telle que sub-command sont "trés" proche de la réalité opérationnel mais certaine choses sont pas implémenté (matos sensible).
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Le site de la Boulets Air Force recrute des pilotes sans et avec de l'expérience sur Lock On.
Vidéo de promo qui arrache tous !
Vidéo de promo
http://www.bouletsairforce.com
Le site de la Boulets Air Force recrute des pilotes sans et avec de l'expérience sur Lock On.
Vidéo de promo qui arrache tous !
Vidéo de promo
http://www.bouletsairforce.com
#7
Dès lors, les développeurs accueillent avec intérêt les possibilités d'obtenir des contrats gouvernementaux stables et relativement lucratifs. C'est aussi l'occasion de s'éloigner un peu des hobbyistes dont la passion pour la précision historique devient fréquemment obsessionnelle au fil des chats sur Internet - du genre, « Ce jeu est nul ! Il mentionne que la 1ère division d'infanterie utilisait le M-1234A en Normandie ! N'importe quel idiot sait qu'il s'agissait du M-1234B ! »
commme quoi hein !
poussez pas
MSI MAG Z690 Tomahawk, Core i7-12700K, Geforce 3070, 32Go DDR4, SSDs, Turtle Beach Velocity One, Windows 11 Pro
#8
Y'a du boulot pour en faire un simu militaire...
Tout dépend de l'utilisation souhaitée.
Par exemple à l'EAI de Montpellier ils utilisent une version de Rainbow Six avec des addon français pour l'entrainement tactique, alors que Rainbow Six est loin d'être une simulation comparé à ce que l'on retrouve dans le secteur militaire.