Règle d'emport de carburant en vol tactique militaire
Publié : mar. juin 10, 2008 12:59 am
On entend de plus en plus souvent à tort et à travers que les compagnies aériennes US mettent la pression sur leurs CDB afin qu’ils emportent de moins en moins de carburant pour les vols etc etc etc… zone rouge… et autre n’importe quoi.
La quantité minimale à embarquer étant réglementée, j’imagine très mal un CDB bidouiller avec les ops et signer son manifeste en étant hors la loi. Je pense qu’on doit seulement leur demander de ne pas embarquer systématiquement la « louchée » supplémentaire que la plupart des skippers font.
Mieux vaut trouver des astuces afin alléger l’avion, bien sûr.
Mais pour ce qui concerne les avions de transports tactiques militaires, quels sont les obligations en matière de réserves de carburant à embarquer au départ (en plus du carburant correspondant au délestage).
En effet, le terrain de destination n’a pas forcément un ou des terrains de dégagement proches (relativement), et les missions de longues durée ainsi que les impératifs de réussite opérationnelle ne doivent certainement pas imposer l’emport de réserves correspondant à celles du transport aérien public de passagers.
Existe-t-il donc une règle stricte, ou bien est-elle variable en fonction de la mission ?
(Je pense que DeeJay, Jaillie ou TOM doivent pouvoir répondre à la question)
* * *
La quantité minimale à embarquer étant réglementée, j’imagine très mal un CDB bidouiller avec les ops et signer son manifeste en étant hors la loi. Je pense qu’on doit seulement leur demander de ne pas embarquer systématiquement la « louchée » supplémentaire que la plupart des skippers font.
Mieux vaut trouver des astuces afin alléger l’avion, bien sûr.
Mais pour ce qui concerne les avions de transports tactiques militaires, quels sont les obligations en matière de réserves de carburant à embarquer au départ (en plus du carburant correspondant au délestage).
En effet, le terrain de destination n’a pas forcément un ou des terrains de dégagement proches (relativement), et les missions de longues durée ainsi que les impératifs de réussite opérationnelle ne doivent certainement pas imposer l’emport de réserves correspondant à celles du transport aérien public de passagers.
Existe-t-il donc une règle stricte, ou bien est-elle variable en fonction de la mission ?
(Je pense que DeeJay, Jaillie ou TOM doivent pouvoir répondre à la question)
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