Astrophysique
Publié : mar. mai 01, 2007 1:21 pm
Comme dit dans le forum "Aviation passion", je met un sujet d'astrophysique ici car des sujet "pointu" ont déjà été abordés ici.
Si les mod' ont un autre avis, no problème.
Bon je me lance.
Ci-joint donc un dialogue concernant la planète extra-solaire compatible avec la vie qui a été découverte dernièrement.
Je suis un peut partis en free-style là dessus. C'est à dire en interprétant à ma sauce des notions d'astrophysiques telles que je les avaient plus ou moins comprises (plutôt moins que plus... )
Par contre ça a entrainé un certain nombre de réflexions et s'ils y en a qui touchent leur bille en astrophysique, ou qui veulent embrayer là-dessus, j'aimerais qu'ils nous disent ce qu'ils en pensent et nous livrent leur réflexions.
Pas d'inibition ici.
Pas besoin de dire 'c'est du délire', ça n'a aucun intérêt, on le sais déjà et la réponse est : Oui, c'est du délire.
Mais tout d'abord ce dialogue:
collectioneur:
c-seven:
Neuron:
Neuron:
c-seven:
******
Bon la première question concerne les hypothèses qui remettent en cause l'astrophysique à cause des anomalies Pioneer. Qu'en est-il.
Ensuite, la relativité générale d'Einstein lie la gravité, l'espace et le temps en faisant intervenir la vitesse de la lumière comme constante.
Effectivement cette théorie n'a jamais été prise en défaut et toutes les expériences l'ont confirmées à la n-ième décimale prêt.
Mais toutes ces expériences se sont faites dans un 'bain' de gravité ambiante et de densité de matière correspondant au système solaire.
A-t-on déjà envisagé qu'il en aille différemment dans d'autres référenciels et notament que la vitesse de la lumière ne soit pas si constante que ça? En fonction de la gravité / densité de matière par exemple?
Par exemple dans un cadre microscopique ou il y a quazi-absence de matière on est dans le domaine quantique. Rien à voir avec la relativité générale on le sait très bien, il y a même contradiction.
Et bien est-ce qu'il est possible que dans les espaces intersidéraux ou il y a quazi absence de matière également, on ait aussi des effets qui se rapprochent du monde quantique?
Par exemple les sondes Pioneer sont cencée s'arrêter dans 10 années lumière à cause de l'anomalie pioneer. Mais si on leur procurait une certaine énergie équivalente à celle qu'elle ont reçue initialement à ce moment là, est-ce qu'on ne leur donnerait pas une vitesse quazi-lumière localement?
Qu'est-ce qu'on en sait de toute manière? On a jamais vu un objet dans les espaces intersidéraux et pour cause: ya rien. La seule chose qui fait dire que c'est du vide intersidéral c'est qu'il n'y a rien entre deux objets lumineux qu'on peut observer.
Et si on voyait qq chose, on le verrait par sa lumière justement .... laquelle est ce qu'elle est et notament limitée à 300000 km/s c'est certain .... dans notre référenciel système solaire.
Enfin: a-ton déjà essayé des modèles ou il n'y a pas de matière noire et autre énergie noire mais où on 'trafiquerait' les distances entre les objets célestes pour faire 'coller' le modèle, ce, en 'trafiquant' la vitesse des lumières émises ... en espérant trouver une relation avec la masse des système observés.
Dès lors les distances serraient beaucoup plus courtes que ce que l'on observe, ou plus exactement, les équations qui régissent ces espaces permettrait de les traverser beaucoup plus rapidement qu'avec notre pauvre limitation locale à la vitesse de la lumière.
Tout ça c'est des vagues délires avec de vagues notions. Je ne suis qu'ingénieur dans un domaine pratico-pratique (avec de l'imagination toutefois), je ne connais rien en astrophisique.
Par contre si quelqu'un peut nous décrir les hypothèses alternatives qui sont évaluées, se rapprochant, ou non, du domaine, en discuter, je suis preneur.
Si les mod' ont un autre avis, no problème.
Bon je me lance.
Ci-joint donc un dialogue concernant la planète extra-solaire compatible avec la vie qui a été découverte dernièrement.
Je suis un peut partis en free-style là dessus. C'est à dire en interprétant à ma sauce des notions d'astrophysiques telles que je les avaient plus ou moins comprises (plutôt moins que plus... )
Par contre ça a entrainé un certain nombre de réflexions et s'ils y en a qui touchent leur bille en astrophysique, ou qui veulent embrayer là-dessus, j'aimerais qu'ils nous disent ce qu'ils en pensent et nous livrent leur réflexions.
Pas d'inibition ici.
Pas besoin de dire 'c'est du délire', ça n'a aucun intérêt, on le sais déjà et la réponse est : Oui, c'est du délire.
Mais tout d'abord ce dialogue:
collectioneur:
Spéculons que les projets de propulsion hyperspatiale dont les théoriciens s'occupent actuellement auront un gros coup de pouce si il y a une destination précise à ceux ci
c-seven:
Il y a aussi des ouvertures du côté de l'anomalie Pioneer (les sondes Pioneer qui sont en train de sortir de l'influence du système solaire ont un comportement anormal par rapport à la théorie)
Certains astrophysiciens spéculent que les constantes ne sont pas aussi constante que ça finalement, notament la vitesse de la lumière - donc les distances puisqu'on évalue les distances en fonction de la lumière.
La lumière de ce qu'on voit passant par la zone d'influence gravitationnelle du système solaire avant de nous parvenir, cette image serait déformée ce qui expliquerait un certains nombre de choses incompréhensibles comme le fait que 90% de la matière de l'univers nous est invisible.
Dès lors, le plus dur serait de sortir de l'influence du système solaire, après ça roule
Neuron:
c-sevenqui aurait dit en 1930, que moins de 40 ans plus tard, des hommes iraient sur la Lune ?
Jamais la technologie humaine n'a été aussi poussée qu'aujourd'hui , ne nous mettons pas de freins psychologiques, même si la recherche reste et restera à jamais un long chemin parsemé d'embuches...
Oui.
D'autant qu'il y a en ce moment (coincidence?) de grosses remises en question concernant le domaine qui nous préocupe ici: l'astrophysique.
Avec les modèles classiques on arrive de plus en plus à des impasses qu'on fait passer avec des "bricollages" qui prennent de plus en plus un caractère absurde pour certains physiciens.
Voir la matière noire et l'énergie noire. Quand ça ateind 95% de la masse de l'univers visible: ça craint!
Voir les contradictions entre le domaine quantique et la relativité générale.
Il faut savoir que si on a besoin de cette matière c'est parce que les galaxies ne sont pas assez denses avec ce que l'on voit et qu'elle devraient 'éclatter' en morceau. Et encore une fois c'est 95% de matière qu'il faut trouver pour que ça tienne nomdedju...!
Il y en a qui remettent en cause le modèle car on tombe dans l'acharnement thérapeutique là.
Et notament un astrophysicien Israelien (parmis d'autres) dont j'avais plus ou moins compris sa thèse vulgarisée (plutôt moins que plus... )
En gros la gravité a une influence pour les référentiels physiques et notament les constantes comme la vitesse de la lumière par exemple. Einstein l'avait bien dit par rapport au temps, mais ce serait qu'un petit bout du problème plus général.
Donc le seul référentiel qu'on a c'est l'influence gravitationnelle du système solaire.
Et les abérations viennent du fait que ce qu'on voit ont été émises avec un certain référenciel, pour être ensuite traduites dans le notre en étant passé entre temps dans le vide quazi absolu des espaces intersidéraux.
Un peut comme si on prenait des mesures avec une règle élastique.
Dans le cas de la matière 'noire', ce ne serait pas un manque de masse mais une erreure sur les distances (lesquelles distance sont mesurées en faisant intervenir la vitesse de la lumière dans le calcul). Enfin, c'est peut-être plus compliqué, peut-être que les distances sont là (selon notre référentiel) mais comme les références changent, c'est comme si elles étaient plus grandes qu'en réalité ou quelque chose comme ça
Et dans l'espace interstelaire ou il y a une quazi absence de gravité on a des effets bizards, quazi quantiques.
Les sonde pioneer qui sortent de l'influence gravitationnelle du système solaire en serait les premiers indices.
Bref: si on a du bol, le plus dur c'est de sortir de l'influence du système solaire et ensuite la moindre propultion te propulse à quaziment la vitesse de la lumière (ou une contraction du temps et/ou des distances ou je ne sais quoi).
Et si on confirme l'existance de planètes vivable: du bol, on en aurra.
On a toujours eu du bol. A tel point que de très grands physiciens en arrivent à devenir croyant à cause de ça.
Ya pas de raison que ça s'arrête.
Neuron:
peux tu nous en dire un peu plus la dessus ?
il me semblait qu'arrivées aux confins du système solaire, elles ralentissaient , elles seraient donc en train de ré accélérer toutes seules ?
c-seven:
Heuu, tu m'en demande beaucoup là, je suis un amateur aussi (bien que j'aime bien l'astrophysique, ça fait planer )
Alors voilà, les sonde ralentissent "selon notre référentiel". Mais localement elle vont à la vitesse prévue.
Ce qui veut dire que si on leur donnait maintenant la même énergie que celle qu'elles ont reçue pour aller à leur vitesse calculée, vue d'ici elles irraient à la vitesse prévue mais localement elles iraient plus vite et parcoureraient plus de chemin.
Et si les sondes s'éloignent encore de l'influence gravitationnelle du système solaire, et qu'on leur donne toujours la même énergie, pour nous elles iraient toujours à la vitesse prévue (environ 12 km/s) mais localement elles iraient à 50% de la vitesse de la lumière si ça se trouve avec toutes les consequences que ça a sur le temps etc...
Ou quelque chose de ce genre.
J'interprête là, mais j'en sais pas plus que toi
******
Bon la première question concerne les hypothèses qui remettent en cause l'astrophysique à cause des anomalies Pioneer. Qu'en est-il.
Ensuite, la relativité générale d'Einstein lie la gravité, l'espace et le temps en faisant intervenir la vitesse de la lumière comme constante.
Effectivement cette théorie n'a jamais été prise en défaut et toutes les expériences l'ont confirmées à la n-ième décimale prêt.
Mais toutes ces expériences se sont faites dans un 'bain' de gravité ambiante et de densité de matière correspondant au système solaire.
A-t-on déjà envisagé qu'il en aille différemment dans d'autres référenciels et notament que la vitesse de la lumière ne soit pas si constante que ça? En fonction de la gravité / densité de matière par exemple?
Par exemple dans un cadre microscopique ou il y a quazi-absence de matière on est dans le domaine quantique. Rien à voir avec la relativité générale on le sait très bien, il y a même contradiction.
Et bien est-ce qu'il est possible que dans les espaces intersidéraux ou il y a quazi absence de matière également, on ait aussi des effets qui se rapprochent du monde quantique?
Par exemple les sondes Pioneer sont cencée s'arrêter dans 10 années lumière à cause de l'anomalie pioneer. Mais si on leur procurait une certaine énergie équivalente à celle qu'elle ont reçue initialement à ce moment là, est-ce qu'on ne leur donnerait pas une vitesse quazi-lumière localement?
Qu'est-ce qu'on en sait de toute manière? On a jamais vu un objet dans les espaces intersidéraux et pour cause: ya rien. La seule chose qui fait dire que c'est du vide intersidéral c'est qu'il n'y a rien entre deux objets lumineux qu'on peut observer.
Et si on voyait qq chose, on le verrait par sa lumière justement .... laquelle est ce qu'elle est et notament limitée à 300000 km/s c'est certain .... dans notre référenciel système solaire.
Enfin: a-ton déjà essayé des modèles ou il n'y a pas de matière noire et autre énergie noire mais où on 'trafiquerait' les distances entre les objets célestes pour faire 'coller' le modèle, ce, en 'trafiquant' la vitesse des lumières émises ... en espérant trouver une relation avec la masse des système observés.
Dès lors les distances serraient beaucoup plus courtes que ce que l'on observe, ou plus exactement, les équations qui régissent ces espaces permettrait de les traverser beaucoup plus rapidement qu'avec notre pauvre limitation locale à la vitesse de la lumière.
Tout ça c'est des vagues délires avec de vagues notions. Je ne suis qu'ingénieur dans un domaine pratico-pratique (avec de l'imagination toutefois), je ne connais rien en astrophisique.
Par contre si quelqu'un peut nous décrir les hypothèses alternatives qui sont évaluées, se rapprochant, ou non, du domaine, en discuter, je suis preneur.