Mirage 2000 News (and old...)

[Milos]

Je ne savais pas qu'il avait été tué. Les photos de l'épave montraient les rails vides de sièges

[JulietBravo]

Je ne savais pas qu'il avait été tué. Les photos de l'épave montraient les rails vides de sièges

Si c'est sièges au pluriel alors ça n'est pas le même avion, vu qu'il était question de l'EG210, donc monoplace.
La Grèce, c'est entouré d'eau, donc des Mirage 2000 qui ont fini à la baille, il y en a sans doute plusieurs...

[OPIT]

Il y a un autre M2000 (204) qui s'est retrouvé sous l'eau et qu'ils ont repêché. C'était un biplace, avec 2 éjections réussies.
Pour le 210 il existe une vidéo sur Youtube qui montre l'avion fraichement sorti de l'eau, et le siège est encore présent. Donc pas d'éjection, mais probablement une tentative d'évacuation une fois sous l'eau où la verrière aurait pu être une gêne (dans la vidéo elle est totalement absente, ce qui pourrait signifier qu'elle n'a pas été fragilisée)

[Deltafan]

Article OPEX 360, avec le titre : Haute intensité : Sans préavis, la 3e Escadre de Chasse a dispersé ses Mirage 2000B/D vers cinq bases aériennes

https://www.opex360.com/2025/04/23/haut ... aeriennes/

Le 22 avril, l’AAE a lancé une (...) manœuvre aérienne, qu’elle a qualifiée d’inédite. Ainsi, (...) l’AAE a ordonné la dispersion immédiate et sans préavis des Mirage 2000D RMV et des Mirage 2000B de la 3e Escadre de chasse depuis la base aérienne [BA] 133 de Nancy-Ochey. « Ce matin [22/04], la 3e Escadre de chasse […] a reçu un ordre inattendu : DISPERSION IMMÉDIATE » de ses avions « vers cinq bases aériennes différentes à travers la métropole », a en effet relaté l’AAE, via ses réseaux sociaux. Cette « manœuvre inédite, sans avertissement », menée par la Brigade aérienne de l’aviation de chasse [BAAC] a été baptisée JADE, pour « JAillissement D’Escadre ». Elle vise à « tester la réactivité, la mobilité et la résilience de nos unités face à une menace soudaine ou à l’indisponibilité de leur base d’origine ».

Les Mirage 2000D/B de la 3e escadre ont ainsi été dispersés vers les bases aériennes de Salon-de-Provence, d’Avord, de Luxeuil, de Rochefort et d’Orléans. « Mais il ne s’agit pas seulement de déplacer des avions : la chaîne de soutien technique accompagne ce déploiement, avec un défi logistique de taille pour les bases non équipées pour le Mirage 2000 », a souligné l’AAE.
(...)

La tenue d’un tel exercice avait été annoncée par le général Philippe Moralès [qui vient de faire ses adieux aux armes, ndlr] en 2023. (...). D’où l’élaboration de concepts opérationnels comme MORANE [Mise en œuvre réactive de l’arme aérienne], inspiré de l’Agile Combat Employment [ACE] mis en œuvre par l’US Air Force. Il s’agit de « pouvoir déployer et disperser ses moyens aériens en différents endroits pour qu’ils soient moins vulnérables aux frappes ennemies » car « le ciblage adverse doit devenir plus difficile car nous sommes moins prévisibles » avait-il détaillé.

[flavonoide]

Les "dessérés" sur Luxeuil ont du être heureux...

[fougamagister]

"Jaillissement d'escadre" je m'en remets pas

[ironclaude]

Les "dessérés" sur Luxeuil ont du être heureux...

On doit les surnommer les "décérébrés" : elle est facile

[baz0991]

Les "dessérés" sur Luxeuil ont du être heureux...

Hmmm.... Il y a pourtant un foyer plutôt super sympa sur la BA116, juste à côté du mess....

[flavonoide]

J'avais plutôt en tête un texte de Knell, je crois, narrant un déroutement qui s'était terminé de manière assez piteuse dans un boui-boui du centre ville.

[secu54]

Bonjour
C'est vrais que pour les anciens ce genre d'exercice rappelle des souvenirs.
Fut un temps où on y avait droit au moins une fois par an.
On peut s'interroger sur le fait que ce soit devenu si exceptionnel que l'AAE éprouve le besoin de communiquer à tout va sur le sujet.

[gillouf1]

Bonjour
C'est vrais que pour les anciens ce genre d'exercice rappelle des souvenirs.
Fut un temps où on y avait droit au moins une fois par an.
On peut s'interroger sur le fait que ce soit devenu si exceptionnel que l'AAE éprouve le besoin de communiquer à tout va sur le sujet.

Faut dire que maintenant, desserrer des avions on ne peut pas le faire n'importe où et n'importe comment: il faut des réseaux informatiques connectés et sécurisés pour les mettre en oeuvre. Même quand ça se passe sur une base opérationnelle, les mécanos et pilotes sont obligés de "squater" les locaux des unités implantées et partager le peu de moyens existants, donc tout le monde travaille de manière dégradée (sauf si c'est juste pour se poser et repartir directement sur la base mère).
Sans parler des lourdeurs administratives : je ne suis plus dans le milieu, mais je serais quand même curieux de savoir à quel point cet exercice c'est déroulé "sans préavis" (genre réservation des véhicules, Ordres de mission, réservation de l'hebergement, préparation de "mini lots" rien que pour le mise en oeuvre et lots de bords pour le campement, oxygène liquide sur les bases comme Orléans, Salon ou Rochefort etc).

@+

[OPIT]

Bonjour
C'est vrais que pour les anciens ce genre d'exercice rappelle des souvenirs.
Fut un temps où on y avait droit au moins une fois par an.
On peut s'interroger sur le fait que ce soit devenu si exceptionnel que l'AAE éprouve le besoin de communiquer à tout va sur le sujet.

+1
Les joies du desserrement inopiné sans passage aux stands, et des trajets en bus "vintage" à l'autre bout du pays...

[baz0991]

Bonjour
C'est vrais que pour les anciens ce genre d'exercice rappelle des souvenirs.
Fut un temps où on y avait droit au moins une fois par an.
On peut s'interroger sur le fait que ce soit devenu si exceptionnel que l'AAE éprouve le besoin de communiquer à tout va sur le sujet.

Faut dire que maintenant, desserrer des avions on ne peut pas le faire n'importe où et n'importe comment: il faut des réseaux informatiques connectés et sécurisés pour les mettre en oeuvre. Même quand ça se passe sur une base opérationnelle, les mécanos et pilotes sont obligés de "squater" les locaux des unités implantées et partager le peu de moyens existants, donc tout le monde travaille de manière dégradée (sauf si c'est juste pour se poser et repartir directement sur la base mère).
Sans parler des lourdeurs administratives : je ne suis plus dans le milieu, mais je serais quand même curieux de savoir à quel point cet exercice c'est déroulé "sans préavis" (genre réservation des véhicules, Ordres de mission, réservation de l'hebergement, préparation de "mini lots" rien que pour le mise en oeuvre et lots de bords pour le campement, oxygène liquide sur les bases comme Orléans, Salon ou Rochefort etc).

@+

Il a avait eu de la com à ce sujet au moins 15 jours avant vers certaines unités (soutien, ATC, prodef, ...), avec pour consigne de garder cette info à leur niveau.
A l'époque des messageries instantanées et dans un milieu où presque tout le monde se connait, j'émet de sérieux doutes quand au fait que le secret fut bien gardé...

[Milos]

C'est vrai que pour les anciens ce genre d'exercice rappelle des souvenirs.
Fut un temps où on y avait droit au moins une fois par an.

J'ai même connu des manoeuvres sur deux semaine (avec une partie du personnel bloqué le week-end) et rappel des réservistes la deuxième

[MS Galileo]