Re: USA - Iran
Publié : lun. mai 11, 2020 9:37 pm
On a fait la même chose avec des roquettes il y a 30 ans
Quid ?Ghostrider a écrit : ↑lun. mai 11, 2020 9:37 pmOn a fait la même chose avec des roquettes il y a 30 ans
The U.S. Space Force confirmed that its Space Based Infrared System satellites were used to detect more than a dozen Iranian missiles aimed at U.S. war fighters in Iraq in January, giving Americans and their partners crucial warning.
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SBIRS is the U.S. military’s primary missile warning satellite constellation. Built by Lockheed Martin, the satellites use exquisite infrared sensors provided by Northrop Grumman to detect ballistic missile launches all around the world. The constellation consists of four geosynchronous (GEO) satellites, with another two payloads riding on host satellites operating in highly elliptical orbits (HEO) to provide global coverage. The GEO satellites include two sensors: A scanner and a step-starer. While the scanning sensor continuously monitors the earth, the more accurate step-starer can provide coverage for theater missions. Each HEO payloads includes a scanning sensor.
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Ahead of a potential attack, the 2nd Space Warning Squadron was able to bring the SBIRS constellation to bear, providing advanced warning of any Iranian missile launches. Raymond specifically credited Capt. Tasia Reed and Lt. Christianna Castaneda with personally planning the SBIRS mission in the lead up to the attack, ensuring optimal sensor coverage of the area.
Le programme de missiles balistiques de l'Iran n'est pas négociable et le président élu des Etats-Unis, Joe Biden, "en a bien conscience", a déclaré lundi le président iranien Hassan Rohani.
Joe Biden semblerait enclin à réintégrer les Etats-Unis au sein de l'accord de 2015 sur les activités nucléaires iraniennes (JCPoA) en prélude à de nouvelles discussions plus larges sur le programme nucléaire de la République islamique, mais aussi son programme de missiles et sa politique régionale.
Donald Trump a retiré les Etats-Unis de l'accord de Vienne et imposé en mai 2018 de lourdes sanctions contre Téhéran dans l'espoir de contraindre l'Iran à renégocier sur ces trois points. Cette politique de "pression maximale" est restée sans effet.
Le Commandement central des Etats-Unis (CENTCOM) a déclaré dans un communiqué que le déploiement, qui a été exécuté par deux bombardiers stratégiques B-52H, visait à souligner "l'engagement de l'armée américaine envers la sécurité régionale et à démontrer une capacité unique à déployer rapidement une puissance de combat supérieure dans un court délai".
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Selon les médias, ce déploiement reflète les préoccupations croissantes à Washington selon lesquelles l'Iran pourrait exercer des représailles contre les Etats-Unis à l'approche du premier anniversaire de l'assassinat par les forces américaines du haut commandant militaire iranien Qassem Soleimani.
Les tensions entre les Etats-Unis et l'Iran, qui durent depuis un an, ont été ravivées par une attaque à la roquette contre le complexe de l'ambassade américaine dans la Zone verte de la capitale irakienne, Bagdad, le 20 décembre.
Le président américain Donald Trump a attribué à l'Iran la responsabilité de cette attaque. Il a tweeté le 23 décembre : "Si un Américain est tué, je tiendrai l'Iran pour responsable. Réfléchissez bien".
Téhéran a nié ces allégations. Le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif a tweeté : "Trump portera l'entière responsabilité de tout aventurisme" alors qu'il quitte ses fonctions.
C'est une nouvelle démonstration de force de Téhéran. La télévision iranienne a montré des centaines de drones disposés sur une piste d'atterrissage en présence des principaux chefs militaires de l'armée régulière et des Gardiens de la révolution, l'armée d'élite du pays.
Ces drones de combat sont utilisés comme bombardiers ou pour effectuer des missions de reconnaissance. Selon les médias iraniens, certains de ces drones peuvent être utilisés pour des opérations kamikazes.
Ces manœuvres interviennent alors que Washington a décidé de maintenir dans la région le porte-avions Nimitz après des menaces iraniennes proférées contre les États-Unis à l'occasion de l'anniversaire de l'assassinat du général Qassem Soleimani par les Américains à Bagdad.
Un haut responsable militaire iranien a affirmé que l'armée américaine a procédé ces derniers jours à certaines manœuvres, notamment la présence de bombardier B52 non loin de l'espace aérien iranien pour provoquer la peur. Il a ajouté que l'Iran était prêt à répondre à toute provocation.
Ces manœuvres interviennent aussi au lendemain de la reprise de l'enrichissement d'uranium à 20%, critiquée par les pays occidentaux comme une entorse à l'accord nucléaire de 2015.
Ouais... Une base souterraine avec "des centaines de missiles avec une portée de plusieurs centaines de kilomètres", on va dire que je suis moyennement convaincu... (remember le Qaher 313...) En revanche, ceux qu'ils ont pourraient déjà sûrement faire très mal dans la région...(...)
Ces images d'une nouvelle base souterraine ont été montrées pour la première fois par le chef des Gardiens de la révolution, le général Hossein Salami. On y voit des tunnels remplis de missiles.
Selon les explications du général, cette base s'étend sur plusieurs kilomètres et abrite des centaines de missiles avec une portée de plusieurs centaines de kilomètres. Il a ajouté que les Gardiens de la révolution disposaient de plusieurs de ces bases souterraines le long du Golfe.
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Les missiles montrés dans les images diffusées par la télévision d'État sont capables d'atteindre les monarchies arabes du Golfe mais aussi toutes les bases américaines et les navires des États-Unis dans la région. Cette révélation intervient en pleine tension entre l'Iran et les États-Unis, qui ont renforcé leurs moyens militaires dans la région.
Ces derniers jours, l'Iran a également organisé des manœuvres militaires durant lesquelles des centaines de drones d'une portée de plusieurs centaines voire de milliers de kilomètres ont été montrés.
Dans un discours à la télévision d'État, le Guide suprême iranien a affirmé que l'Iran refusait toute négociation sur son programme balistique, comme le réclament les pays occidentaux.
The surface-to-air missiles (SAMs) found by the US Navy on two dhows smuggling weapons to Yemen are powered by small gas turbine engines made by the company AMT Netherlands, according to a recently released report by the UN Panel of Experts on Yemen.
The previously undocumented missiles were found along with other weapons and components – many of them Iranian-made – on two dhows that were stopped in the Gulf of Aden in November 2019 and February 2020. Named the 358 SAM by the US military, they are comparatively slow, but long-range weapons that appear to be designed to loiter until they detect an aircraft.
The panel of experts said there is no evidence the type has been used by the Iranian-backed Yemeni group Ansar Allah (the Houthis).
AMT Netherlands makes small jet engines for remotely controlled aircraft, gliders, and research purposes. The five recovered 358 SAMs were fitted with the company’s Titan engine, which weighs 3.6 kg, can generate 393 N of thrust, and costs around EUR10,000 (USD12,000).
The report said the engines were exported in two shipments in 2017 and 2019 to companies in Hong Kong, with the export licence issued by the Netherlands stating they could not be re-exported. Beijing told the panel of experts that the company whose name was used to import the engines ceased to exist in 2014.
The 358 SAMs also included MTi-100 inertial sensor modules made by Xsens Technologies, also a Dutch company, that were exported to another company in China in 2015–16.