Pas tout à fait. Il y a de l'hydrogène ... bon d'accord, un atome tous les 30 km mais de l'hydrogène quand même
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Pas tout à fait. Il y a de l'hydrogène ... bon d'accord, un atome tous les 30 km mais de l'hydrogène quand même
A confirmer, ou pas...-Support for the unconventional orbiting solar programme jumped after China announced its 2060 carbon neutral target
-Civilian and military researchers will look at applications for the technology amid concerns about radiation and the potential for beams misfired from space
With more than a third of days marred by fog all year round, Chongqing city in southwestern China is not the ideal place for a solar power plant. But soon it will have the nation’s first experimental facility to test a revolutionary technology allowing China to send, and receive, a powerful energy beam from space in about a decade, according to scientists involved in the project.
Harvesting energy from the sun and beaming it to Earth using huge infrastructure in orbit has been regarded as science fiction, but according to a plan by the Chinese government, the nation will put a 1 megawatt solar energy station in space by 2030.
And by 2049, when the People’s Republic of China celebrates its 100th anniversary, the total power capacity of the plant or plants would increase to 1 gigawatt, the equivalent of the current largest nuclear power reactor.
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Roues inertielles pour tourner sur les 3 axes, et ventilateur pour la propulsion.diditopgun a écrit : ↑mer. août 18, 2021 11:09 pmQuand la fiction devient réalité. Comme tout bon fan de SF mes yeux s'écarquilles !
Comment se deplacent-t-ils ces sympathiques petits robots cubiques ?
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l'incident s'est produit lors de la phase d'ascension de l'appareil dont l'angle de montée n'était pas le bon, c'est-à-dire que la trajectoire n'était pas suffisamment verticale. Cela pouvait empêcher l'avion d'accumuler suffisamment de vitesse pour le retour sur la terre ferme ! Des alertes de sécurité se sont déclenchées. Une orange, puis une rouge signalant que la trajectoire de l'avion n'était pas optimale et qu'il y avait un risque que l'appareil manque de puissance pour arriver à destination, c'est-à-dire se poser sur la piste du Spaceport America.
Il faut savoir que comme pour la navette spatiale américaine, le SpaceShipTwo plane lors de son retour sur Terre et de son atterrissage. Sans moteur, il lui faut donc acquérir suffisamment de puissance pour se poser en sécurité. Le voyant rouge allumé aurait dû contraindre les pilotes à annuler la mission et à retourner se poser au sol avant d'atteindre « l'espace ». Inimaginable pour le boss Branson dont le vol marquait l'entrée de la compagnie dans l'ère du tourisme suborbital.
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L'entreprise ne nie pas le problème. Elle reconnaît que l'avion est tombé en dessous de son altitude autorisée pendant une minute et quarante-trois secondes en raison de vents d'altitude différents de ceux attendus. En aucun cas, le SpaceShipTwo s'est trouvé hors des marges de sécurité de la mission. Les pilotes, qui rappelons-le sont des pilotes d'essais, ont jugé qu'il n'y avait pas de risque pour l'équipage et l'avion, et donc décidé de poursuivre le vol malgré les alertes de sécurité. L'enquête devra déterminer si les pilotes ont manqué aux règles élémentaires de la sécurité en vol ou s'ils ont agi en parfaite connaissance des causes sans faire prendre des risques supplémentaires à l'équipage et à l'avion. Aujourd'hui, le SpaceSHipTwo est cloué au sol le temps de l'enquête.
La Nasa a annoncé la réussite de Perseverance lors de son second essai de forage sur Mars, le 1er septembre. L'agence spatiale a publié des photos de l'évènement, qui devrait être le premier d'une longue série de missions destinées à rapatrier les roches martiennes sur Terre.
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Mis en service en novembre 1992, le Bâtiment d’essais et de mesures [BEM] « Monge » est le deuxième plus grand navire de la Marine nationale après le porte-avions Charles de Gaulle.
Avec ses 230 mètres de long [pour 25 mètres de large] et 21’000 tonnes de déplacement [à pleine charge, ndlr], il dispose de capacités qui, n’ayant aucun équivalent en Europe, lui permettent de collecter et d’exploiter les paramètres d’un missile en vol ainsi que de surveiller les satellites et les débris spatiaux en orbite pour le compte du Centre nationale des études spatiales [CNES] et du Commandement de l’Espace [CdE].
Pour cela, le Monge est notamment équipé de trois radars de trajectographie et d’analyse assurant un suivi aérien de haute précision, dont le « NORMANDIE » [NOuveau Radar du Monge pour ANalyse, Détection et Identification Électromagnétique], fonctionnant en bande L, de six antennes de télémesure, d’une une station optique dotée d’une tourelle optronique réalisant des observations dans le visible et l’infrarouge ainsi que d’une station météo/aérologie pour mesurer les caractéristiques aérologiques de la zone de rentrée atmosphérique d’un missile balistique.
Et, pour faire fonctionner l’ensemble, le Monge est en mesure de produire assez d’énergie pour alimenter une ville de 15’000 habitants, grâce à ses six diesels alternateurs développant chacun 1’500 KW.
Le BEM Monge est un navire plutôt discret, dans le sens où il ne fait que très rarement parler de lui. Il en est en effet surtout question quand un essai de missile balistique M51 est effectué, sous l’égide de la Direction générale de l’armement [DGA].
Quant à ses capacités, il est régulièrement avancé que trois de ses radars sont les plus puissants d’Europe, ce qui lui permettrait de « repérer une pièce de 2 euros à 800 kilomètres » d’altitude.
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Ce 7 septembre, (...) le chef d’état-major de la Marine nationale [CEMM], l’amiral Pierre Vandier, a rappelé que les marins s’intéressent de près à ce qui se passe en orbite en publiant une vidéo pour donner un [léger] aperçu des capacités du Monge.
« La Station spatiale internationale se trouve à 400 km au-dessus de la surface de la mer. Les puissants radars du bâtiment d’essais et de mesures Monge, qui recueillent habituellement des données sur les tirs de missiles balistiques dans le cadre de la dissuasion océanique, ont réussi à l’observer! », a lancé l’amiral Vandier, via Twitter.
Et d’ajouter : « La Marine Nationale a souvent le regard et les capteurs tournés vers le ciel et l’espace.
Effectivement, on peut voir nettement l’ISS sur les images que le CEMM a diffusées.
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L’astronaute français a participé le 12 septembre à la sixième sortie en scaphandre dans le vide de sa carrière. L’occasion de s’attribuer un nouveau record français et européen, mais aussi mondial en dehors des Etats-Unis et de la Russie.
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Il n'est pas parfait, mais même l'évocation de ses défauts peut approcher la perfection
Il me fait penser au blond de Gad El Maleh
J'avais exactement la même sensation en pensant à Mme Claudie Haigneré quand j'étais plus jeune...
+1CrazyFry a écrit : ↑mar. sept. 14, 2021 7:36 am"Mais aussi mondial... en dehors des États-Unis et de la Russie" Ils sont pas croyable, c'est déjà beau le records de France et d'Europe pourquoi ils se sentent obligé de tourner la phrase comme ça ensuite. Un petit "juste derrière les états-unis et la Russie " ou un truc du style aurait suffit... Je vais les appeler tiens vu que je suis champion du monde de mon quartier au 100m
En tout cas beau palmarès de Pesquet, il va susciter des vocations il y aura de la relève si tout va bien![]()