Check-Six Forums

Tom38000 a écrit : ↑

lun. juil. 12, 2021 11:43 am

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Les américains considèrent la limite de 80 km pour définir "l'espace" (50 miles), la définition internationale "ligne de Karman 100 km" est arrivée après il me semble (et puis ça arrangeait bien les US d'avoir plein d'"astronautes" pilotes d'essais d'avions X)
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La Chine devient une puissance militaire spatiale en passe de concurrencer les États-Unis. C’est ce qu’affirme un rapport publié par les services de renseignement américains, qui évalue les menaces pesant sur Washington.
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Cependant, c’est la sophistication de l’armement chinois qui inquiète le plus les hauts gradés américains. Pékin posséderait déjà des appareils capables d'atteindre les satellites américains. La République populaire aurait développé des missiles pouvant détruire des satellites situés dans l’orbite basse de la Terre. Pour atteindre les appareils plus éloignés de notre astre, l’armée chinoise a aussi conçu des lasers pouvant aveugler ou brouiller les capteurs et senseurs des satellites espions américains.
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“Pékin est aussi en train de développer des satellites qui pourront attaquer les appareils d’autres nations directement dans le vide du cosmos”, peut-on encore lire dans le rapport publié par les services secrets américains.
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En avril 2020, les militaires américains ont annoncé l’activation immédiate de la mission Space Fence. Il s’agit là d’un système de radar dont la portée englobe tous les objets qui orbitent à basse ou à moyenne altitude autour de la planète bleue. Les radars peuvent détecter des objets de la taille d’une bille.
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Le système Space Fence n’aura pas qu’une vocation protectrice. Il pourra également espionner et surveiller les déplacements de satellites militaires espions d’autres pays.

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Le 30 juin 2021 (...) la MDA (Missile Defense Agency) propulsait dans l’espace à une altitude inconnue deux CubeSat. Ces CubeSat effectueront une expérience de 90 jours qui pourra être étendue jusqu’à une année. Leurs principales missions seront d’établir des communications fiables, sécurisées et rapides aux profit des stations-sols dans la lutte anti-missile.
En effet, l’architecture de défense antimissile nécessite des communications entre les intercepteurs, les capteurs et les systèmes de commandement et de contrôle pour identifier, suivre et détruire rapidement les missiles ennemis entrants avant même qu’ils n’atteignent leurs cibles. Les CubeSat permettent ainsi de tester les technologies à bas coût. Néanmoins, l’idée de les utiliser comme vecteurs de transmissions rapides entre les systèmes de détection et ceux d’interception fait progressivement son chemin. De plus, fonctionnant sur une approche incrémentale, il pourrait facilement s’adapter aux nouvelles demandes et charges utiles.
Conçus par l’université de Stanford en 1999, les CubeSat sont un sous-ensemble de la famille des nano-satellites. La masse d’un CubeSat va de 1 à 10 kilos pour une utilisation qui peut aller jusqu’à deux années. Il est principalement utilisé à des fins d’expérimentations par les agences gouvernementales ou les instituts de recherches. Son faible coût couplé à une miniaturisation de la charge de lui permet de mener de nombreuses expériences.

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Bientôt une centrale nucléaire sur Mars? C’est du moins ce que propose un bureau d’études affilié à l’agence spatiale russe Roscosmos, dans les documents que Sputnik a pu consulter.
Le projet est censé alimenter en électricité la future base russe sur Mars.
Comme réacteur, les scientifiques proposent d'utiliser des technologies développées pour le remorqueur spatial nucléaire Zeus qui livrera la centrale nucléaire sur l’orbite, puis larguera en parachute sur la surface de la planète.
Le remorqueur permettra d'organiser un canal de transmission de données à haut débit vers la Terre depuis Mars et les engins spatiaux en orbite, indiquent les scientifiques du bureau d'études Arsenal qui élabore le projet.
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NASA is leading an effort, working with the Department of Energy (DOE), to advance space nuclear technologies. The government team has selected three reactor design concept proposals for a nuclear thermal propulsion system. The reactor is a critical component of a nuclear thermal engine, which would utilize high-assay low-enriched uranium fuel.
The contracts, to be awarded through the DOE’s Idaho National Laboratory (INL), are each valued at approximately $5 million. They fund the development of various design strategies for the specified performance requirements that could aid in deep space exploration.
Nuclear propulsion provides greater propellant efficiency as compared with chemical rockets. It’s a potential technology for crew and cargo missions to Mars and science missions to the outer solar system, enabling faster and more robust missions in many cases.
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Battelle Energy Alliance, the managing and operating contractor for INL, led the request for proposals, evaluation, and procurement sponsored by NASA using fiscal year 2021 appropriations. INL will award 12-month contracts to the following companies to each produce a conceptual reactor design that could support future mission needs:
-BWX Technologies, Inc. of Lynchburg, Virginia – The company will partner with Lockheed Martin.
-General Atomics Electromagnetic Systems of San Diego – The company will partner with X-energy LLC and Aerojet Rocketdyne.
-Ultra Safe Nuclear Technologies of Seattle – The company will partner with Ultra Safe Nuclear Corporation, Blue Origin, General Electric Hitachi Nuclear Energy, General Electric Research, Framatome, and Materion.
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At the end of the contracts’ performance periods, INL will conduct design reviews of the reactor concepts and provide recommendations to NASA. NASA will utilize the information to establish the basis for future technology design and development efforts.

NASA is also maturing a fission surface power system for use on the Moon and Mars. NASA intends to partner with the DOE and INL to release a request for proposals that asks industry for preliminary designs of a 10-kilowatt class system that NASA could demonstrate on the lunar surface. Maturing fission surface power can also help inform nuclear electric propulsion systems, another candidate propulsion technology for distant destinations.
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A group of scientists may have just pinpointed the location on Mars of a mysterious source of methane, a gas most often produced by microbes — and NASA's Curiosity rover could be right on top of it.
Methane blips have pinged on Curiosity's detection systems six times since the rover landed in Mars' Gale crater in 2012, but scientists weren't able to find a source for them. Now, with a new analysis, researchers may have traced the methane burps to their origin.
To calculate the unknown methane source, researchers at the California Institute of Technology modeled the methane gas particles by splitting them into discrete packets. Taking into account the wind speed and direction at the time of their detection, the team traced their parcels of methane back through time to their possible points of emission. By doing this for all of the different detection spikes, they were able to triangulate regions where the methane source is most likely located — with one being just a few dozen miles away from the rover.
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This prospect is thrilling for scientists, as almost all of the methane in Earth's atmosphere has biological origins, according to the researchers, so that a signature on Mars could be a key signpost for finding life on the ostensibly desolate planet.
Even if the methane is being produced by non-biological processes, it could point to geological activity closely tied to the presence of liquid water — a vital ingredient for past or present life to thrive.
(...)

Milos a écrit : ↑

sam. juil. 17, 2021 3:04 pm

On a du mal à y envoyer quelque chose de plus gros qu'une lessiveuse et ils veulent y envoyer une centrale nucléaire ? Faut arrêter la vodka

ironclaude a écrit : ↑

sam. juil. 17, 2021 4:33 pm

Milos a écrit : ↑

sam. juil. 17, 2021 3:04 pm

On a du mal à y envoyer quelque chose de plus gros qu'une lessiveuse et ils veulent y envoyer une centrale nucléaire ? Faut arrêter la vodka

Oui, et puis, le progrès : aller installer une source de pollution nucléaire sur une planète ou on n'a pas encore mis le pied ?

Kakumei a écrit : ↑

sam. juil. 17, 2021 7:11 pm

La chine a testée une navette spatiale
https://www.thedrive.com/the-war-zone/4 ... spaceplane

Jaguar a écrit : ↑

sam. juil. 17, 2021 7:24 pm

ironclaude a écrit : ↑

sam. juil. 17, 2021 4:33 pm

Milos a écrit : ↑

sam. juil. 17, 2021 3:04 pm

On a du mal à y envoyer quelque chose de plus gros qu'une lessiveuse et ils veulent y envoyer une centrale nucléaire ? Faut arrêter la vodka

Oui, et puis, le progrès : aller installer une source de pollution nucléaire sur une planète ou on n'a pas encore mis le pied ?

Ça serait dommage de menacer la faune et la flore martienne...

Jaguar a écrit : ↑

sam. juil. 17, 2021 9:01 pm

Sachant que les idées de Terra formation sont absolument et complément impossibles, inatteignables, utopistes... .

Loneman a écrit : ↑

dim. juil. 18, 2021 11:34 am

Ha ! Total Recall avec Schwarzy , j'avais aimé à l'époque de sa sortie

Olaf_[RET] a écrit : ↑

dim. juil. 18, 2021 10:01 am

En fait ,cela fait longtemps que des générateurs d'électricité à radio-activité sont utilisés en astronautique : les GTR ( Générateur Thermo-électrique à Radio-isotope ) .Ils ont notamment été utilisés par les missions Apollo et les sondes martiennes Viking .
Donc , actuellement , il y a déjà 6 réacteurs nucléaires sur la Lune , et 2 sur Mars .
https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9n% ... dioisotope

ironclaude a écrit : ↑

dim. juil. 18, 2021 11:38 am

Loneman a écrit : ↑

dim. juil. 18, 2021 11:34 am

Ha ! Total Recall avec Schwarzy , j'avais aimé à l'époque de sa sortie

Aaahh, la scène ou Sharon Stone lui met une raclée