C'est ce qu'on se tue à s'expliquer (alors qu'on est tous d'accord) depuis 10 pagesHeero a écrit :car excusez moi... mais un PA avec du SEM c'est pas un PA efficace...
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C'est ce qu'on se tue à s'expliquer (alors qu'on est tous d'accord) depuis 10 pagesHeero a écrit :car excusez moi... mais un PA avec du SEM c'est pas un PA efficace...
Purée, pourquoi on forme des espions et on envoie plein de satellites dans l'espace s'il suffit de regarder la télé ?lancaster a écrit :Porles SNLE regarder les rares documentaire TV ou certains bouquins vous apprendrons que les missilles son programmé a l'avance, que l'équipage et même le commandant ne connaissent pas leurs destinations.
Un PA français avec ses bâtiments d'accompagnement n'est pas en mesure d'entreprendre une opération offensive contre une nation potablement équipée. Et ce n'est pas une question de SEM, c'est plus profond que ça: effectif avia, effectif Hawkeye, nature et nombre des bâtiments du GAN (entre autres pas de SNA apte TLAM, pas de SNA capable de suivre le rythme des bâtiments de surface, pas de bâtiments de surface aptes missiles de croisière, pas d'équivalent AEGIS et, à terme, trop peu, etc). Ca sera le cas si on explose les budgets et qu'on construit deux Nimitz pour embarquer du Rafale et 4 Hawkeye au lieu de 2, si on construit des SNA équivalents à ceux de l'USN, ainsi que, au minimum, des bâtiments équivalents Arleigh Burke. Pour ça, il va falloir dissoudre l'AA, l'AT, la Gendarmerie, les Sapeurs Pompiers de Paris et le XV de France.toopack66 a écrit :un PA reste un élément (noyau) de notre capacité de projection ! non ?
Projeter n'est pas déplacer la France entière ou l'équivalent, il s'agit bien d'actions d'ampleurs mesurées, voir d'épaulement dans un dispositif international et en cela un PA opérationnel ( donc 2 PA) est très bien de mon point de vue.
Là je ne parle que du coté pratique de la chose, pas du budget ....
Pardonne ma digression mais s'il se guide comme moi il finira peu ou prou le nez en bas à droite de ton avatar avec un petit millimètre de marge!Scrat a écrit :Un ICBM ça se guide comment ? Point de départ programmé GPS et navigation INS ou bien il faut programmer une course avec trajectoires et coordonnées exprimées différemment que par latitude longitude ?
je crois que personne ici n'en sait foutre rien, et ceux qui savent auront surement le bon gout de ne rien divulguer...Un ICBM ça se guide comment ? Point de départ programmé GPS et navigation INS ou bien il faut programmer une course avec trajectoires et coordonnées exprimées différemment que par latitude longitude ?
Ah ben si TF1 le dit !Pour les SNLE regarder les rares documentaire TV ou certains bouquins vous apprendrons que les missiles son programmé a l'avance, que l'équipage et même le commandant ne connaissent pas leurs destinations.
Ca tombe bien, tu supposes à peu près conformément aux données publiques sur le sujet... il y aurait aussi un recalage informatique en vol.au feeling, je parierais sur un guidage inertiel entièrement autonome du début a la fin, avec un ptit recalage de la centrale inertielle avant le tir, mais ce n'est que supposition de ma part...
Si ça peut t'occuper la soirée... :Un ICBM ça se guide comment ?
Dunmer a écrit :le XV de France.
Heuuuuuuu.....Furie a écrit :y a quand même un truc très important avec les FAS et l'ASMP/2000N que ne permettent pas un ICBM ou même un Tomahawk : la possibilité de rappeler en vol et d'annuler la mission.
cette souplesse d'emploi doit être j'imagine très précieuse pour un gouvernement dans des moments de crises quand ils doivent être utilisés.
Ensuite, avant le lancement de l'arme (ICBM, Scalp Nuke (oui, je sais, pas encore) ou ASMP), le rappel du vecture est identiquement possible.El Doctor a écrit :Bon, y a un truc qui m'échappe dans votre logique, là. Un SNLE ou un 2000N sont "rappelables" de la même manière tant que le bouton n'a pas été poussé. Après, 2000N ou pas, l'ASMP est en route. Je ne vois donc pas en quoi le 2000N est plus souple, d'autant que j'ose croire que le feu nucléaire n'est pas déclenché sur une improvisation. Donc, au bout du compte, le processus de décision qui conduit au tir est le même.
Là encore c'est une question de choix. Si le moment venu on a vraiment envie d'aller récupérer la Guyane envahie par le Brésil, on pourra toujours opérer depuis la Martinique le temps de négocier l'implantation d'une base française au Surinam.Si un jour on nous fait le coup des Malouines on sera bien content de le (les) trouver.
Concrétisation rhétorique du théorème de Jean Dupont: quatre carottes + deux concombres = 6 navets. Puisqu'on parle d'agriculture, ça tombe bien.Ils disaient aussi qu'avec une toute petite partie de l'argent filé à la PAC ils pouvaient se construire une force européenne crédible. Parce que les tracteurs pour sécuriser une région c'est pas très crédible.