Murphy's a raison. La fin ne correspond pas à la réalité historique. de plus le film comporte pas mal d'erreurs notamment dans les tenues. et c'est vrai que par moment c'est un peu mieleux.bref "Nous etions Soldats" est un film INCONTOURNABLE !
Salut Merlin : au moins nous sommes d'accord un point....Merlin (FZG_Immel) a écrit :
Mais ca reste un film d'action et de guerre impressionant.
car sur le reste.... je prefere le "fond" du film, et importe moins d'interet à sa "forme" ( "realité" historique, tenues, qui ont quand meme leurs importances... syndrome d'Holiwood certainement ! )wolf.dma a écrit :... son oncle créateur des commandos de l'air soit d'accord avec cela. Il lui botterait peut être même le cul! ...
ben un combattant ...--> est clairement identifié comme tel ( uniforme reconnaissance , integrationdans une unité combatante...)UF_Josse a écrit :
Alors, est elle civile ou combattante quand elle le menace avec sa kalash ?
C'est pour ça que les chiffres séparés, civils-combattants, me semblent de toutes façons impossibles à donner....
Un combattant n'est il pas autre chose qu'un civil armé ? tout au moins dans ce type de conflit ?
La différence est que pendant des opérations spéciales, on mise sur la qualité des troupes et non sur la quantité, le but des Opérations Spéciales est de porter un coup dur à l'ennemi, d'où leur intérêt stratégique.Jallie a écrit : pour finir ..la différence entre une guerre et des Opérations spéciales ....à répétition....
la barrière est mince aussi.
Pour les amateurs d'heroisme et de combat à 1 contre 100, interessez vous à la guerre d'Indochine. Il n'y a pas trop de bons fims mais par contre beaucoup de bon bouquins écrits par ceux qui avaient participé à ces combats
La voix de Denez Prigent illustre aussi un plan sur le minaret d'une mosquée. Consonnances celtico arabes très sympas.Murphy'S a écrit :ah oki..............ca me semblait bizarre aussi ...........ca avait pas trop de consonnances bretonne
Charlie Bravo !! Milos, tu as perdu ton sens commun ! Il me semble que cela ne peux pas être comparé à du Schoendorffer.Milos a écrit :"La 317eme section"
"Dien Bien Phu"
dans une moindre mesure "charlie bravo"
La fraternité, la camaraderie ente combatant.
L'Héroisme, le sens du sacrifice pour les autres etc etc
Le dépassement de soi même, Vaincre sa trouille qui te creuse le ventre quand le copain tremble et se dégonfle
La joie d'être vainqueur, la joie d'être vivant !
etc etc
SpruceGoose partait sur les baratins classiques d'intellectuels (et uniquemenet sur cela) et cela m'étonnerait que son oncle créateur des commandos de l'air soit d'accord avec cela. Il lui botterait peut être même le cu
Et pour Pollux, t'en a fait une de guerre ? toi ? Car si ce n'est pas le cas, tu risques pas de voir.
Je n'étais pas toujours d'accord avec lui sur de nombreux points, mais les discussions se terminaient toujours en vaste rigolade... tellement il avait le sens de la dérision. En tout cas l'esprit d'initiative est une qualité qui ne lui avait jamais fait défaut tout au long de sa vie.Twix1001 a écrit :...Merci SpruceGoose d'avoir mis cet article, il réflète une triste réalité
Ayant passé beaucoup de temps dans la jungle en opération d'infiltration pour les besoins du renseignement militaire, mon père me racontait que, paradoxalement, il craignait énormément de se retrouver dans les pattes d'un tigre. Si l'on pouvait se mettre à la place de l'ennemi humain qui raisonnait comme vous et que l'on pouvait donc anticiper ou deviner ses intentions et par là même déjouer ses plans, le tigre lui pouvait vous pister et vous épier une semaine entière avant de saisir l'occasion de... on savait seulement qu'il était là, tout près.PolluxDeltaSeven a écrit :... j'apprécie assez les films de Spielberg, et plus particulièrement ...
PolluxDeltaSeven a écrit :
Pour en revenir sur les films de guerre, je pense qu'il serait difficile de tous les départager. Il y en a tellement que chacun a de quoi y trouver son compte...
Dans les films récents, j'avais particulièrement apprécié "JARHEAD"... C'est un genre totalement différent de "Blackhawk Down", mais qui traite également de manière sérieuse et réaliste d'un conflit récent...
Quelqu'un d'autre l'a vue?
Malgré tout ce qu'il a vécu, toutes les idées et les conceptions du monde qui nous opposaient sur le fond et parfois la forme, il n'a jamais eu de sentiments de haine , de rancune, de vengeance ou encore de méchanceté. C'était cela qui m'avait toujours le plus impressionné... ce contrôle extraordinaire de soi-même qui permet de passer outre ses instincts d'homme les plus primaires lorsque la vie vous fait du mal... et bon sang, toujours ce sens incroyable de la dérision qui faisait que l'on ne s'engueulait jamais.wolf.dma a écrit :... C'était un sacré bonhomme...
Bel article, je n'ai jamais entendu parlé ni ne connaissait "le personnage".....SpruceGoose a écrit :Il ne le peut plus depuis 1 mois...
Le pére des Commandos de l'Air s'envole pour toujours
Article paru dans l'édition du 12.05.06
Le général de brigade aérienne Albert-Charles Meyer est mort samedi 6 mai à l'hôpital militaire Percy de Clamart (Hauts-de-Seine).
Né le 11 mars 1921 à Belfort, Albert-Charles Meyer, élève pilote, avait vainement tenté de rejoindre Londres en juin 1940 après la défaite. Revenu à Belfort, il crée le réseau "Bruno" rattaché ensuite au réseau "Kléber", spécialisé dans le renseignement militaire.
Pendant près de quatre ans, il sillonne la France et la Belgique à vélo, transmettant aux Alliés des renseignements très précieux sur les mouvements de troupes de l'Allemagne.
Arrêté le 11 novembre 1944 à Belfort, Albert-Charles Meyer est torturé pendant huit jours, puis conduit en Allemagne, où il est condamné à mort deux semaines plus tard. Il parvient à s'évader, continuant à recueillir des renseignements sur le dispositif allemand lors de la contre-offensive de von Rundstedt dans les Ardennes durant l'hiver 1944.
Démobilisé en 1946, Albert-Charles Meyer rejoint de nouveau l'armée en Indochine en 1951 avec le grade de capitane, créant le concept des brigades de recherche et de contre-sabotage, puis en 1956 en Algérie les commandos-parachutistes de l'air. Le général de brigade aérienne Albert-Charles Meyer était grand-croix de la Légion d'honneur et grand-croix de l'ordre national du Mérite.
Alors qu'il connait l'ultime initiation, souhaitons lui force et courage devant l'éternel orient.
Xavier BERNARD - Coordinateur et Animateur de manager opérationnel
* * *
Le général de brigade aérienne Albert-Charles Meyer n’est plus. A l’heure où ce pays se désespère du triste spectacle de sa classe politique et du comportement d’une partie de ses élites, il est devenu vital de lui donner des repères en soulignant ses pertes de mémoire. Une cérémonie aux Invalides ne suffit pas. Il est tout aussi important de célébrer la fin de l’esclavage que de donner à la population française des symboles forts sur la défense de sa liberté sur le territoire français. Quel journal, quelle radio, quelle télévision se souvient de cet homme d’exception ?
Les médias français ont perdu depuis longtemps les principes élémentaires qui sous tendent l’existence et le devenir d’un pays. Au regard des années décisives du XXème siècle, le citoyen Meyer a sans doute plus d’importance que le citoyen Zidane. Le talent sur un terrain de foot est bien peu de choses lorsqu’il s’agit de donner sa vie pour combattre la tyrannie. Dans la France d’aujourd’hui, l’attention se porte d’abord sur les jeux du cirque. Cette aberration explique facilement que les jeux du cirque deviennent la loi du genre, y compris dans la manière de faire de la politique.
Le général Meyer était un homme humble qui a su donner un sens à sa vie. N’en déplaisent aux rentiers de l’idéologie post soixante-huitarde, il était aussi un homme du monde du renseignement. Résistant dans les services spéciaux militaires, arrêté par les nazis, torturé pendant une semaine, Meyer ne parlera pas. Condamné à mort, il s’évadera. Après un périple de 4 mois en Allemagne en homme traqué, il sera repris et s’évadera de nouveau. La guerre de Meyer se poursuit à partir de 1951 en Indochine. De la trempe des atypiques comme l’adjudant Vandenberg, Meyer crée sur la base aérienne de Bien Hoa un commando de contre espionnage et de contre sabotage avec des éléments vietminh ralliés. Il fait partie de ceux qui ont averti le haut commandement sur les risques encourus par le choix de la cuvette de Dien Bien Phu. En 1956, il crée les commandos de l’air.
Les hommes comme Meyer ne sont pas nombreux. L’angoisse de leurs épreuves ne se compare pas au visage défait des footballeurs dans l’attente des tirs au but. Grand Croix de la Légion d’honneur, le général Meyer a subi de nombreuses blessures physiques et morales dans sa vie de soldat, il est resté jusqu’à sa mort un patriote simple et humain. La jeunesse de ce pays ne connaît pas son histoire. Personne, à l’exception de l’armée et de ses camarades de combat, ne lui accorde le moindre regard. La cacophonie du n’importe quoi couvre ce silence pesant, malsain. La France recommencera à exister le jour où son peuple se regardera autrement dans le miroir. Qu’il apprenne d’abord à célébrer les guerriers qui lui ont consacré le meilleur d’eux-mêmes.
Christian Harbulot
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il suffirais de peu de choses un sourire, une attention, de qlq mots.......pour parfois change le destin d'une personne dans le "bon sens" .....
par les Modos mouaaaa) MDR Je ne range pas les massacres inter-ethniques ou inter-tribu d'afrique dans la catégorie "guerre". Je serai d'accord avec toi la dessus ! Aucune grandeur, aucune noblesse, Juste du sordide. Des phénomènes d'un autre age difficile à comprendre avec une mentalité occidentale (et je dis mentalité ! pas couleur de peau !).
Euh..... on peut se faire occuper génocider et tout ça sans guerre ? j'ai un peu de mal à faire la différencevince-16 a écrit :ach la guerre gross malheur!
il y a des choses bien pire comme se faire occuper, génocider, ou réduire en esclavage par exemple
l'un étant souvent la conséquence et/ou le but de l'autre