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Scrat a écrit :Y'a peut-être un système qui percute une cartouche de gaz et enclenche une seule fois une tentative d'ouverture et de descente des trains...

une question?sur les avion de chasse y a pas un systeme pour libéré le train par la force de la gravité comme pour certain(tous?

Euh, quelqu'un sait pourquoi il attérit avec sa perche de ravitaillement sortie?

Wild Angel a écrit :le meilleur avion du monde devrait être un avion:

difficilement détectable ou furtif
ravitaillable en vol
embarquable sur porte avion
capable d'assurer des missions de frappe loitaine, de ravitaillement en vol, de reconnaissance, de chasse, de surveillance électronique, de frappe de précision, de frappe nucléaire, de frappe navale, anti radar, d'appui sol, et ce mieux que n'importe quel avion hyper spécialisé
avoir une capacité de décollage/atterrissage courts/verticaux
être facile à maintenir en état de vol.
avoir un rayon d'action considérable
être capable d'opérer depuis des aérodromes de fortune.

Le tout sans être plus cher qu'un F-16 ou un Mirage 2000 dernière génération...

Twix1001 a écrit :Wild arrete de nous parler du Rafale...



C'est vrai que cela ce rapproche beaucoup du Rafale F3...

Wild Angel a écrit :j'ai oublié: faire de la lutte asw et des opération de resco.

Valkyrie a écrit :sans oublier qu'il vole avec de l'energie solaire

Mobius a écrit :Wild a oublié un point important, une escadrille de cet avion là doit pouvoir se connecter pour former un robot géant

Mobius a écrit :

&quot a écrit :Cet avion, il le connaît : c'est lui qui en dirige l'expérimentation opérationnelle. Pour le lieutenant-colonel Jean-Jacques Mailhol, 38 ans, chef de l'"équipe de marque" du Centre d'expérimentations aériennes militaires (CEAM) de Mont-de-Marsan, "si on compare le Rafale avec l'Eurofighter, le JSF ou le Jas 39 Gripen (suédois), il n'y a pas photo : le Rafale est largement en tête sur tous les plans. On me dirait : "tu pars au combat et tu choisis ton avion", je n'hésiterais pas une demi-seconde...". Son avis, assure-t-il, n'est pas isolé : "Nous avons fait voler différents pilotes étrangers sur Rafale, des Canadiens, des Indiens, d'autres. Après les vols, les avis ont été unanimes : personne n'a relevé de défaut flagrant."


Pas plus que les autres pilotes de Mont-de-Marsan, cet officier ne se sent mis en difficulté par les déboires commerciaux du Rafale. Si cet avion est critiqué, il le défend, avec précaution, "pour ne pas dévoiler toutes ses capacités", mais il se laisse rapidement entraîner par son admiration. "Il y a le même bond technologique entre le Mirage-2000 et le Rafale, qu'entre le Mirage-III et le Mirage 2000", explique-t-il. Le Rafale, "ce sont deux avions en un seul ; il est capable de mener une mission de défense aérienne et une mission d'assaut, avec les capacités d'emport en armements combinés du Mirage 2000 et du Mirage 2000 D, c'est un vrai avion polyvalent, le seul dans son cas".

Une mission à bord d'un Rafale, explique-t-il, c'est comme une partie d'échecs : celui qui l'emporte, "c'est celui qui est capable d'anticiper très rapidement et de rendre coup sur coup très rapidement". A Mont-de-Marsan, ce ne sont pas de futurs Guynemer qui sont formés : "Quand on sélectionne un pilote de chasse, on recherche d'abord quelqu'un qui est capable de gérer son système d'armes avec efficacité. Le pilotage s'oublie à bord de cet avion, au profit du pilotage automatique, et grâce à la fusion des capteurs." Un pilote de Rafale est donc d'abord un gestionnaire de systèmes informatiques. Et un avocat convaincu...

Dominique Gallois et Laurent Zecchini