Re: Nouvelles de l'espâââce...
Publié : ven. mars 26, 2021 4:57 pm
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La simulation de vol de combat
https://ts.checksix-fr.com/
Il y aura sûrement un jour où cela arrivera. Certaines explorations ont déjà commencé avec eux (les rovers de Mars entre autre) et on aura besoin d'autres, probablement plus spécialisés (par exemple pour explorer certaines lunes glacées de Saturne et Jupiter). On pourrait aussi parler de l'essaim de mini-satellites qui pourrait faire l'aller-retour vers les triplées du Centaure. Mais peut-être aussi que la nature humaine fera que l'homme cherchera des moyens pour quand même faire une grande partie de ces explorations par lui-même, au moins pour le système solaire. En tout cas, je l'espère (même si j'ai bien peur que nous nous auto-anéantissions avant...).Milos a écrit : ↑ven. mars 26, 2021 6:40 pmAvec la progression de la technologie, je pense que l'on ira plutôt vers une "communauté de robots" de plus en plus perfectionnés. Envoyer ce genre d'engins est beaucoup moins complexe que d'envoyer des humains et offre des possibilités de recherches plus poussées. C'est la clef de l'exploration spatiale![]()
Ce serait une belle aventure, mais limitée aux planètes telluriques dont l'une est un cailloux stétile (Mercure), l'autre présentant des conditions épouvantables (Vénus), la troisième peuplée de créatures belliqueuses et la dernière est morte (Mars). Quant aux planètes gazeuses ou aux géantes de glace, ce n'est même pas la peine d'en parler. La sonde lancée dans l'atmosphère jupiterienne n'a pas tenu longtemps. On peut toujjours essayer d'aller sur une lune
-Mercure, j'aimerais bien voir ce qu'on peut éventuellement trouver sur les zones à la limite entre la fournaise solaire et le froid sidéral. Mais effectivement, il y a peu de choses à en attendre. Peut-être une station scientifique.Milos a écrit : ↑ven. mars 26, 2021 10:53 pmCe serait une belle aventure, mais limitée aux planètes telluriques dont l'une est un cailloux stétile (Mercure), l'autre présentant des conditions épouvantables (Vénus), la troisième peuplée de créatures belliqueuses et la dernière est morte (Mars). Quant aux planètes gazeuses ou aux géantes de glace, ce n'est même pas la peine d'en parler. La sonde lancée dans l'atmosphère jupiterienne n'a pas tenu longtemps. On peut toujjours essayer d'aller sur une lune![]()
Ce domaine étant passionnant, on part un peu dans tous les sens.
c'était plutôt dans le sens abriter notre vie, une petite colonie de chercheurs stationnés sur une planète dans une sorte de "ferme spatiale" (un peu comme au pôle nord ou dans le film "seul sur Mars") pouvant se déplacer hors des shelters sans être iradiés/ébouillantés/glacés ou rotis dans les secondes qui suivent.Le seul espoir de trouver une planète capable d'abriter la vie (je ne compte pas Europe)
Parce que :
Ok, la tournure de ta phrase me faisait penser que tu voulais dire : oui, Europe pourrait convenir, mais je ne la compte pas, sinon je l'aurai mis dans le même sac que toutes les planètes inhabitablesMilos a écrit : ↑sam. mars 27, 2021 10:16 pmCe domaine étant passionnant, on part un peu dans tous les sens.
En fait, quand je disaisc'était plutôt dans le sens abriter notre vie, une petite colonie de chercheurs stationnés sur une planète dans une sorte de "ferme spatiale" (un peu comme au pôle nord ou dans le film "seul sur Mars") pouvant se déplacer hors des shelters sans être iradiés/ébouillantés/glacés ou rotis dans les secondes qui suivent.Le seul espoir de trouver une planète capable d'abriter la vie (je ne compte pas Europe)
Sur Europe, la vie a peut-être éclos, mais au fond d'un océan recouvert d'un manteau de glace de plusieurs centaines de mètres. La surface demeure un endroit hostile.
ironclaude a écrit : ↑mar. mars 30, 2021 6:32 pmCa me rappelle une chanson :
"Y a queq chose qui cloche la-ddans
J'y retourne immédiatement"
(...)
le Neo 3 sera lancé le 20 avril 2021 par la fusée italienne Vega pour son 18ème tir. Conçus par Airbus Defence and Space sur fonds propres (600 millions d’euros), les lancements de la nouvelle constellation doivent s’échelonner entre 2021 et 2022. Ils viendront prendre la suite des satellites Pléiades-HR 1 et 2 lancés en 2011/2012 qui offraient déjà une résolution inférieure à 50 cm en panchromatique.
Pléiades-Neo (3, 4, 5 et 6) est une constellation composée de quatre satellites d'observation de la Terre à très haute résolution, conçue dans le prolongement des satellites Pléiades-HR. Ils disposeront de l'imageur Naomi en carbure de silicium d'une résolution au sol "inférieure à 30 cm", et d'une largeur de champ en mesure de couvrir 2 millions de km2 chaque jour. Équipés d'un terminal relais de communication par laser à haut débit, ils pourront transférer leurs données via le réseau EDRS (European Data Relay Satellite System), ce qui permettra d'accéder aux images 30 à 40 minutes après la demande. Ils évolueront sur une orbite héliosynchrone à 700 kilomètres orientée à 90 degré, et travailleront par paire, chacun sur un plan orbital distinct, afin d'obtenir une période de revisite au dessus d'un point d'intérêt ne dépassant pas 12h (contre 24h précédemment). D’un poids de 750 kilos, leur durée de vie est estimée de 6 à 10 ans en fonction du niveau d'utilisation.
Conçue pour un usage commercial, les excellentes performances de cette constellation permettront de compléter les capacités d’imagerie spatiale des armées européennes.
(...)
J'ignorais
Rendez-vous autour du 8 avril.(...)
Le 21 mars marquait le trentième jour martien (sol) de l’arrivée sur la planète rouge de l’astromobile américain Perseverance.
A cette occasion, les ingénieurs du centre JPL (Jet Propulsion Laboratory) de la Nasa et de l’université Caltech (California Institute of Technology) à Pasadena, en Californie, ont déclenché le décrochage du capot protecteur du mini-hélicoptère, logé sous l’astromobile, baptisé Ingenuity (Ingéniosité, en français).
Cette opération constitue la première étape avant le vol du mini-hélicoptère, qui devrait intervenir autour du 8 avril, dans une zone d’ores et déjà définie par les équipes du JPL.
Ce premier vol depuis un autre astre que la Terre devrait durer 30 secondes et culminant à 3 m de hauteur, la faible densité de l’atmosphère martienne nécessitant que les pales de l’engin tournent à la vitesse de 3 000 tours par minutes, soit aussi vite que les battements d’ailes d’un colibri.
D’ici là, il reste encore à éloigner l’astromobile (probablement d’une dizaine de mètres), à vérifier l’état de charge du mini-hélicoptère (et peut-être de le recharger) et de déployer ses pâles...
Les capacités spatiales chinoises sont en plein essor, dans tous les domaines d’intérêt militaire. Puissance de premier rang, la Chine peut s’appuyer sur une solide base industrielle, accolée à plusieurs centres de recherche. Avec la mise en place de la Force de soutien stratégique (FSS) (1), elle dispose d’une véritable structure optimisant les ressources comme les capacités.
(...)
Le plus clairvoyant ayant été l'ancien Président George H. Bush ( " Bush l'ancien " ) qui avait dit que les USA iraient sur Mars " après l'an 2000 " … Jusqu'à présent les faits ne lui ont pas donné tort !
Si j'ai bien calculé (EDT + 6), l'enregistrement serait visible à 9H30 lundi matin chez nous.NASA's Ingenuity helicopter is currently scheduled to attempt its first flight on Mars toward the end of the day on Sunday.
(...)
If the helicopter flies as expected on Sunday, the space agency will broadcast a livestream confirming the flight.
(...)
This livestream is expected to begin around 3:30 a.m. Eastern Daylight Time (12:30 a.m. Pacific Daylight Time) on Monday, April 12 and can be watched on NASA Television, the NASA app, and the space agency's website. It will also be broadcast on several of the agency's social media platforms, including the JPL YouTube and Facebook channels.
(...)
Rendez-vous donc maintenant à mercredi, peut-être...(...)
La Nasa a retardé de plusieurs jours le premier vol de son mini-hélicoptère sur Mars en raison d'un problème technique apparu lors du test de ses rotors, a annoncé samedi l'agence spatiale américaine.
Le voyage d'Ingenuity, qui doit être le tout premier vol d'un engin motorisé sur une autre planète, était prévu pour ce dimanche mais est maintenant en attente jusqu'au 14 avril au moins.
Un test à grande vitesse des rotors de l'hélicoptère de 1,8 kilogramme s'est terminé plus tôt que prévu en raison d'une alerte sur un problème potentiel.
(...)
"L'équipe de l'hélicoptère examine la télémétrie pour diagnostiquer et comprendre le problème", a déclaré la Nasa dans un communiqué. "A la suite de cela, ils reprogrammeront le test à pleine vitesse". La Nasa a précisé que l'hélicoptère était "sain et sauf" et qu'il avait envoyé des informations à la Terre.
Initialement, le plan pour dimanche était de faire voler Ingenuity sur place pendant 30 secondes pour prendre une photo du rover Perseverance, qui s'est posé sur Mars le 18 février avec l'hélicoptère attaché à sa face inférieure.
(...)
En cas de réussite, le second vol pourra avoir lieu pas plus de quatre jours plus tard. Jusqu'à cinq vols en tout sont prévus, de difficulté croissante. La Nasa voudrait pouvoir faire monter l'hélicoptère jusqu'à 5 mètres de hauteur, puis tenter de le faire avancer latéralement.
(...)
Quoiqu'il advienne, après un mois maximum, l'expérience Ingenuity s'arrêtera, pour laisser le rover Perseverance se consacrer à sa tâche principale: chercher des traces de vie ancienne sur Mars.
Le sujet n'est pas abordé dans l'article, mais pour une mission sur Mars, si cette technologie arrive à être mise au point, ça permettrait certainement de diminuer énormément le temps nécessaire à l'aller retour vers la planète rouge. On peut imaginer des versions plus grandes de ce propulseur, ou l'utilisation de plusieurs d'entre eux sur un vaisseau spatial Terre-Mars.(...)
La DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) vient de sélectionner Lockheed Martin, Blue Origin et General Atomics pour concevoir une fusée à propulsion nucléaire. Ce programme nommé DRACO (Demonstration Rocket for Agile Cislunar Operations) devrait pouvoir agir au-delà des orbites basses d’ici 2025. Dans le détail, General Atomics s’occupera du réacteur nucléaire quand à Blue Origin et Lockheed Martin se chargeront de la fusée et de son système de mission. Le coût de la première tranche du contrat serait de 27,6 millions de dollars pour la période 2021-2022.
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Selon la DARPA, par rapport aux technologies conventionnelles de propulsion spatiales, la propulsion nucléaire thermique offre un rapport poussée/poids élevé environ 10 000 fois supérieur à la propulsion électrique et deux à cinq fois plus important que la propulsion chimique. Cette technologie serait donc idéale pour les manœuvres prolongées en orbite ou pour les missions dans l’espace lointain nécessitant des accélérations et des décélérations fréquentes. La zone d’action du DRACO sera cis lunaire (entre la Terre et la Lune) et devrait lui permettre d’atteindre des orbites allant jusqu’à 400 000 kilomètres. Ce faisant, les Etats-Unis pourraient ainsi déplacer à volonté des satellites de communication ou de renseignement, et positionner des armements au-delà des capacités de surveillance adverses.
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